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Mes frères et sœurs : En ce mois de juin, le Pape nous invite à prier pour grandir dans la compassion aÌ l’eìgard du monde, pour que chacun d’entre nous trouve la consolation dans une relation personnelle avec Jésus et apprenne, à partir de son Cœur, à avoir de la compassion pour le monde.
L’intention de prière de ce mois s’inscrit parfaitement dans la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus, traditionnellement liée au mois de juin. Cette dévotion ne doit pas se limiter à accrocher un portrait du Sacré-Cœur dans nos maisons comme un porte-bonheur. Elle doit s’enraciner dans une relation personnelle avec notre Seigneur Jésus-Christ.
L’encyclique Dilexit Nos du pape François constitue une excellente introduction et un approfondissement de cette dévotion particulière.
Nous trouvons de la consolation dans cette relation avec Jésus parce que son amour pour nous est à la fois guérisseur et transformateur. Apprendre du cœur de Jésus, c’est apprendre à aimer comme lui. Comme Jésus le dit à ses disciples lors de la dernière Cène, “Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.”
Apprendre du cœur de Jésus nous aide à être moins repliés sur nous-mêmes, mais à être davantage tournés vers l’extérieur ; moins préoccupés par la manière dont nous voulons recevoir et être reçus, et plus préoccupés par la manière dont nous désirons donner. C’est sur cette base que nous pouvons parler de compassion pour le monde.
Comme l’indique la racine du mot compassion – com-passio – la compassion va au-delà de la simple sentimentalité, mais constitue un amour qui nous pousse à souffrir avec les autres. Souffrir avec d’autres par amour donne un sens à quelque chose que nous essayons souvent d’éviter à tout prix.
C’est dans et par la mort et la résurrection de Jésus-Christ qu’il rachète l’acte de souffrir. C’est en fin de compte le destin d’aimer comme Jésus aime, et c’est un destin noble et vivifiant. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.



Testament – nous permet un rapprochement spécial : ce sont elles, dans la généalogie, qui annoncent que dans les veines de Jésus coule du sang païen, qui rappellent des histoires de rejet et de soumission. Dans des communautés où nous décelons encore des styles patriarcaux et machistes, il est bon d’annoncer que l’Évangile commence en mettant en relief des femmes qui ont marqué leur époque et fait l’histoire.
réconciliation, par conséquent, se concrétise et se consolide par l’apport de tous, elle permet de construire l’avenir et fait grandir l’espérance. Tout effort de paix sans un engagement sincère de réconciliation sera voué à l’échec.