Synode 2023: communion, participation et mission avec Julian Paparella


Cette semaine à Parrêsia, Francis Denis s’entretient du processus synodale culminant avec la XVIe Assemblée générale dy Synode des évêques à Rome en 2023. Sont notamment abordés les thèmes de la Synodalité, de spiritualité, des étapes locales, continentales et universelles, de la complémentarité des ministères et des intuitions du pape François pour l’Église au XXIe siècle. Tout cela et bien plus sur Parrêsia, votre balado qui prend le temps de penser.

Saint Pierre, saint Paul et l’unité du genre humain

Ce mardi 29 juin, l’Église universelle fête la solennité des saints apôtres Pierre et Paul. La liturgie du jour revêt un caractère spécial à Rome puisqu’elle est non seulement présidée par le Pape (successeur de Pierre) mais également parce qu’elle est célébrée situé au-dessus du tombeau même du chef des apôtres. Outre cette commémoration et l’action de grâce pour la vie de ces deux témoins de la foi apostolique, cette journée est une invitation à réfléchir et nous inspirer des enseignements qu’ils nous ont tous deux laissés. 

Pierre ou l’unité par l’universalité

Nous connaissons tous ce passage de l’Évangile où Jésus affirme sans équivoque : « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église » (Mt 16,18). Ce mandat pastoral divin manifeste à quel point la mission de Pierre est celle du maintien de l’identité même de l’Église. Lorsque l’on construit un bâtiment, la pierre fondatrice doit toujours être parfaitement proportionnée et, d’une certaine manière, contenir en gestation l’ensemble de l’édifice à venir. Pierre devait donc, sous l’impulsion de l’Esprit Saint, incarner et devenir le signe des qualités essentielles de l’Église que sont l’unicité, la sainteté, la catholicité et l’apostolicité. Comme on le dit dans le CREDO, l’Église est « Une, Sainte, Catholique et Apostolique ». Comme le disait le pape émérite Benoît XVI en 2005 dans son homélie pour cette solennité :

La Catholicité n’exprime pas qu’une dimension horizontale, le rassemblement de nombreuses personnes dans l’unité ; elle exprime également une dimension verticale : ce n’est qu’en tournant le regard vers Dieu, seulement en s’ouvrant à Lui que nous pouvons devenir vraiment une seule chose.

Notre attachement à Pierre et ses successeurs est donc le signe que nous sommes en lien avec l’intention que Dieu a donnée à l’Église dès sa fondation. Par notre union à l’évêque de Rome, c’est-à-dire par l’écoute attentive et la mise en pratique de ses enseignements, nous avons la garantie que nous sommes sur le droit chemin. Nous sommes certains de ne pas nous laisser égarer par des fausses doctrines qui ont toujours pour résultat la division. Aujourd’hui, c’est donc unis au pape François que nous pouvons également recevoir les grâces attachées au véritable culte « en esprit et en vérité » (Jn 4, 23). Grâce à ce charisme de l’unité, tous les chrétiens peuvent pleinement recevoir en eux la présence salvatrice du Christ. Ainsi donc, « Par Lui, avec Lui et en Lui », l’unité verticale avec Dieu est rétablie. Cela a aussi pour effet de solidifier l’unité de la communauté.

À la verticalité, le charisme de Pierre ajoute donc l’horizontalité nécessaire au déploiement de la grâce au sein même de nos communautés. Par l’unité que chaque membre entretient avec Dieu le Père, Fils et Esprit Saint, se déploie une unité mystérieuse au sein des chrétiens. Personnellement transfigurés par la Grâce de l’adoption filiale qui fait de nous des fils et des filles d’un même Père, l’unité désormais solidifiée peut dès lors rayonner au-delà de ses frontières. Cette catholicité « horizontale » permet donc de garder les portes grandes ouvertes afin d’accueillir tous ceux qui sentent l’appel à la plénitude de la vie et de l’existence.

Paul : modèle missionnaire par excellence

 L’unité incarnée par le ministère et la vie de Pierre et de ses successeurs devait être « complétée » par un autre charisme, tout aussi nécessaire et cohérent avec le premier. Alors que la communauté croyante est réunie par Dieu autour de Pierre, cette dernière ne peut se contenter de rester sur place. Elle ne peut souffrir d’un entre-soi « autoréférentiel » (no 94)comme le dit le pape François. Bien que les portes restent toujours ouvertes, la force de la charité vécue doit faire un pas de plus dans le don. Elle nous pousse au-dehors, à la rencontre de toute personne humaine. Historiquement, c’est à Paul que fut donné la grâce d’être le modèle du missionnaire. D’incarner l’élan qui découle de la catholicité de l’Église.

À travers les siècles, des milliers de missionnaires allaient suivre son exemple. Parcourant tous les continents de la terre à toutes les époques, les chrétiens n’ont jamais cesser de proposer le Christ à tous. Cette dynamique missionnaire allait cependant garder ce caractère d’universalité en cherchant, non seulement à inclure tous les peuples et cultures dans l’assemblée priante mais également en cherchant à transfigurer de l’intérieur toutes les réalités humaines. Ainsi, chaque « langue, peuple ou nation » allait désormais être en mesure d’inclure la Révélation dans sa vie propre et déployer toujours un peu plus la beauté et la grandeur de la création nouvelle s’opérant dans l’histoire.

Pierre, Paul et l’unité du genre humain

On l’aura compris, les saints apôtres Pierre et Paul sont plus que jamais pertinent pour notre époque. À l’heure de la globalisation, de la mondialisation des communications, de la diversité et complexité des rapports sociaux, une culture de la rencontre est plus que jamais nécessaire. En ce sens, la dynamique missionnaire de l’Apôtre des nations et la force de l’unité de Pierre peuvent nous inspirer et, ainsi, transformer les diverses tensions en occasions d’échange et d’acceptation du mystère de notre humanité commune. Ce mystère, nous le savons, ne saura jamais totalement épuisé ni par les uns, ni par les autres. Au « choc des civilisations » nous devons substituer une « culture de la rencontre » capable d’affirmer les différences afin que tous aient l’opportunité de manifester leur portion du mystère du genre humain qui leur est donné d’incarner.

Une prière pour mettre ses souliers

Chacun a ses propres prières et rituels de prière du matin, mais j’ai pensé partager avec vous une prière que j’ai découverte et que j’ai commencé à réciter avant le début de la journée.

Il est intéressant de noter que cette prière a trait au fait de mettre ses chaussures!

Cette prière est celle des Missionnaires de la Charité, l’ordre fondé par Sainte Mère Teresa. Les sœurs récitent des prières spécifiques lorsqu’elles s’habillent avec chaque vêtement principal (selon Mother Teresa – An Authorized Biography). Cette prière particulière pour les chaussures m’enracine dans ma foi et me pousse à aller de l’avant. Heureusement, elle est facile à retenir parce qu’elle est associée à cette activité simple et répétitive de mettre ses chaussures!

Le livre explique : « En chaussant leurs sandales, ils se sont engagés à suivre Jésus [en disant] :

« Où que vous alliez trouver des âmes, souvenez-vous qu’elles sont pour moi inestimables et que, comme vous, elles sont aimées d’un Amour pur ».

De nombreux aspects de cette prière me touchent particulièrement. Pour commencer, cette courte prière est une forme d’abandon, de mission et de déclaration d’amour, tout cela en même temps – tout en mettant vos chaussures. Cette prière est également un rappel vocal et physique de ce que signifie être un témoin de l’Évangile, un instrument d’évangélisation. Où que nous allions, cette prière nous permet de garder le contact avec l’essentiel.

En outre, cette prière invite le porteur des chaussures à se laisser guider pleinement et entièrement par Dieu dans ses activités quotidiennes. On se vide de votre propre volonté pour faire totalement place à la volonté de Dieu au cours de la journée. Elle place Dieu au centre, comme moteur et directeur de notre vie et ce, dans tout ce que nous faisons.

Enfin, je suis toujours frappée par ces mots qui soulignent que les âmes auxquelles nous sommes envoyés sont « inestimables » aux yeux de Dieu. Ils me rappellent de témoigner de la foi, même lorsque je suis épuisée, à court « d’air spirituel » ou confrontée à mes propres épreuves. Cette prière m’invite à me détacher, à changer mes plans, ou à « mourir pour les besoins des autres » – chaque fois que Dieu m’appelle. Au milieu de moments difficiles ou imprévus, cette phrase refait souvent surface dans mon esprit.

« Où que vous alliez trouver des âmes, souvenez-vous qu’elles sont pour moi inestimables et que, comme vous, elles sont aimées d’un Amour pur ».

Quelle prière! Si simple et si puissante!

Comme mentionné ci-dessus, il y a des prières supplémentaires associées aux autres vêtements portés par les Missionnaires de la Charité. Il y a une prière spécifique pour le moment où elles mettent leur habit, leur ceinture et leur sari. Alors si vous voulez aussi découvrir le reste de leurs belles prières « pour se préparer le matin », les voici :

Habit

Un rappel de la séparation d’avec le monde: « Que le monde ne soit rien pour moi et moi rien pour le monde ».

Gaine

Un rappel de la pureté angélique de Marie: « Entourée et protégée par cette pauvreté absolue qui a couronné tout ce que tu as fait pour Jésus ».

Sari

Un rappel pour imiter la modestie de Marie: « Ô très Sainte Vierge Marie, couvrez-moi du manteau de votre modestie et que ce sari me rende de plus en plus semblable à vous. »

Je pense que ce sont des prières fantastiques!  Quelle que soit votre situation dans la vie ou ce à quoi ressemblent vos vêtements de tous les jours. Même si vous ne portez pas d’habit, ni de sari (voile), une ou deux de ces prières matinales peuvent vraiment être un moyen d’ancrage pour commencer votre journée! Quelle belle façon d’intégrer la spiritualité dans notre routine matinale!

Bonne prière!

 

Église en sortie 26 octobre 2020

Cette semaine à Église en Sortie, on parle de la conversion missionnaire de l’Église avec Mgr Martin Laliberté, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Québec. On vous présente le 3e épisode de la série « Je suis Mission ». Et on s’entretient du discours moral de Jésus avec le prêtre et théologien Paul-Eugène Chabot m.s.c.

Église en sortie 12 octobre 2020

Cette semaine à Église en Sortie, on parle de la catéchèse en ce temps de COVID-19 avec la directrice de l’Office de catéchèse du Québec Suzanne Desrochers. On vous présente le 1er épisode de la série « Je suis Mission ». Et on s’entretient du mois missionnaire avec le directeur des Oeuvres pontificales missionnaires au Canada le père Yoland Ouellet o.m.i.

Sur la route du diocèse de Trois-Rivières

Même s’il fut fondé le 8 juin 1852 par le bienheureux Pape Pie IX, le diocèse de Trois-Rivières a néanmoins une histoire qui remonte jusqu’au tout début de la Nouvelle-France. Présent sur l’ensemble du territoire de la Mauricie de la rive nord du fleuve Saint-Laurent, il s’étend de Maskinongé à Sainte-Anne-de-la-Pérade en passant par La Tuque, Shawinigan et Wemotaci. Neuvième évêque du lieu, Mgr Luc Bouchard nommé par le pape Benoît XVI en 2012 a fait du « Don de la Vie » le moteur de son action pastorale. Soucieux de répondre aux besoins spirituels et temporels des hommes et des femmes qui lui sont confiés, il accompagne une équipe à la hauteur des défis de l’annonce de l’Amour de Dieu au XXIe siècle. Dans cet épisode de « Sur la route des diocèses », nous partons donc à la rencontre des différents visages du Peuple de Dieu dans cette région du Québec.

Sur la route du diocèse de Saint-Jean-Longueuil

Dans cette épisode de Sur la route des diocèses, Francis Denis part à la découverte du diocèse de Saint-Jean-Longueuil. Créé le 9 juin 1933 par le pape Pie XI, ce diocèse s’étend entre le fleuve Saint-Laurent et la rivière Richelieu. Ayant pour devise « Qu’ils soient un en nous » (Jn 17,21), ce diocèse est toujours fidèle à cette exhortation du Seigneur à voir dans la Trinité le modèle et le lien de l’unité des chrétiens. Installé le 28 octobre 2010, Mgr Lionel Gendron p.s.s., 5e évêque du lieu, est au service des quelques 600 000 catholiques présents sur son territoire. Que ce soit par son souci d’une éducation pour tous, sa présence constante auprès des plus pauvres, la place centrale qu’il réserve au charisme propre de la jeunesse ou par son approche globale qui rassemble tous les âges de la vie, le diocèse de Saint-Jean-Longueuil est un exemple d’une église en marche, à l’écoute des besoins des hommes et des femmes de notre temps.

Sur la route du diocèse de Chicoutimi (2e partie)

Dans cet épisode de « Sur la route des diocèses », Francis Denis vous présente la deuxième partie de son escale dans le diocèse de Chicoutimi à la rencontre de ces visages qui forment le peuple de Dieu dans cette région du Québec. Après avoir retracé les différentes étapes de l’histoire de ce diocèse, Francis Denis nous fait découvrir les services pastoraux qui parsèment son territoire. Que ce soit par sa présence paroissiale auprès des peuples autochtones, ses sanctuaires, son engagement social ou sa présence auprès des jeunes, le diocèse de Chicoutimi est pleinement engagé et disponible aux motions de l’Esprit Saint qui ne cessent de surprendre.

JMJ Panama 2019, à quoi s’attendre ?


(CNS photo/Bob Roller)
Du 22 au 27 janvier 2019 auront lieu au Panama les Journées mondiales de la jeunesse. Ayant pour thème, « Voici la servante du Seigneur; que tout m’advienne selon ta parole », (Lc 1, 38), les JMJ 2019 s’inscrivent dans le sillon des synodes et événements analogues qui ont eu pour but, cette année, de faire de la jeunesse un axe privilégié de la mission de l’Église aujourd’hui. Mais à quoi doit-on s’attendre pour cette édition hors du commun ? À quoi doit-on se préparer alors que nous sommes à quelques jours du début de cet événement de foi ?

Un événement à échelle humaine

Se déroulant dans un pays d’Amérique latine et en plein mois de janvier, il est clair que cette édition sera de dimension plus restreinte. En effet, lorsqu’on pense JMJ, on a tous en tête les images des éditions de Madrid, Manille ou Cologne. Ces rencontres avaient réuni des millions de jeunes, d’où une atmosphère de joyeuse frénésie qui a pu marquer tous ceux qui en ont fait l’expérience. Or, voulant davantage respecter l’horaire des scolaires de l’hémisphère sud, le Vatican avait décidé de célébrer cette édition des JMJ au mois de janvier. Ainsi, le Panama semblait le pays idéal pour réaliser cette première expérience d’une JMJ à dimension humaine. Est-ce que cela signifie un changement de vision pour les JMJ ? Aurons-nous dorénavant des événements plus petits avec tous les avantages et désavantages que cela comporte? Le déroulement de cette édition Panama 2019 permettra certainement de comparer les deux approches et de délimiter les orientations à venir.

Un pape latino-américain en Amérique latine

Nous savons la proximité du pape François, originaire d’Argentine, pour tous les enjeux liés à l’Amérique latine. Ayant minutieusement éviter un retour dans son pays natal, certainement par sacrifice personnel et voulant donner l’exemple d’une « Église en sortie », le Pape s’est rendu plusieurs fois sur le continent américain. Grâce à l’énergie de cette jeunesse enthousiaste à le rencontrer ou à sa parenté culturelle et linguistique avec elle, je crois qu’on peut s’attendre à voir aux JMJ un Pape très énergique et d’humeur festive. Enfin, le Pape ne manquera pas à son devoir de prêcher l’Évangile et parler des fruits  qu’il génère dans nos vies. En effet, les défis auxquels fait face l’Amérique latine à l’heure actuelle sont multiples : polarisation, politique accrue, crise économique, migration de masse, déforestation, narcotrafic et corruption ne sont que quelques exemples des tensions internes actuelles. Fidèle à son franc parler, le pape François ne manquera pas d’exhorter les jeunes à prendre leurs responsabilités là où ils se trouvent et à accepter de faire face à l’aventure de la vie dans la joie et l’espérance du Christ pour le monde.

Une visite apostolique suivant le « canon franciscain »

Les voyages apostoliques du pape François, lorsqu’on les compare à ceux de ses prédécesseurs, ont leurs particularités. Par exemple, dans la majorité des cas, le pape François non seulement assiste à plusieurs rencontres avec, les autorités civiles, les évêques, les prêtres, les religieux et religieuses mais également il visite des centres caritatifs, des prisons, etc. L’agenda actuel du Saint-Père au Panama confirme cette habitude.

Ainsi, après son arrivée au Panama en soirée le mercredi 23 janvier prochain, le Pape se rendra le lendemain jeudi après-midi au palais présidentiel pour une cérémonie protocolaire avec le président (9h14-10h30) suivie d’une rencontre avec les autorités civiles, politiques et diplomatiques (10h40-11h10). En fin d’après-midi, le Pape rencontrera les évêques d’Amérique centrale en l’église Saint-François d’Assise (11h15-12h20) avant de se rendre au Parc S. Maria la Antigua pour une célébration d’accueil et d’ouverture des JMJ Panama 2019 (17h30-19h30).

La journée de vendredi le 25 janvier sera une journée sous le signe de la pénitence.  Elle débutera en fin d’après-midi (l’horaire ne fait pas mention de l’avant-midi mais on peut supposer qu’il soit dédié au repos) avec une liturgie, sans doute émouvante, avec les jeunes détenus du pénitencier de Pacora (10h30-11h45). C’est vers 17h30 que le Pape présidera au Chemin de Croix avec les jeunes au Parc Santa Maria la Antigua. L’horaire du pape François se poursuit samedi avec la célébration de la Sainte Messe avec des prêtres, et des personnes consacrées et des leaders de mouvements laïcs (9h00-11h00) en la Basilique-cathédrale Santa-Maria la Antigua. Lors de cette célébration, le Saint-Père consacrera notamment l’autel principal. Sa journée se poursuivra avec la Veillée de prière avec les jeunes au parc Saint Jean-Paul II (18h10-20h00).

La journée de dimanche débutera avec la célébration de la Messe des Journées Mondiales de la Jeunesse Panama 2019 au Parc Saint Jean-Paul II (7h30-10h00) suivie de la visite à la maison caritative « Le Bon samaritain » où il présidera à la récitation de la prière de l’Angelus (10h45-11h45). Le pape se rendra ensuite au stade Rommel Fernandez pour une rencontre avec les bénévoles impliqués dans la préparation et la réalisation des JMJ Panama 2019. C’est vers 18h00 que le pape François se rendra à l’aéroport international de Tocumen pour une cérémonie de départ en compagnie des autorités civiles et politiques.

Une couverture exclusive au Canada

Depuis notre fondation en 2002 suivant les JMJ de Toronto, Sel et Lumière est la référence au Canada pour connaître et suivre l’ensemble des voyages apostoliques. Cette édition des JMJ 2019 au Panama ne fait pas exception! Consultez notre horaire détaillé des diffusions de l’ensemble des célébrations et rencontres et ne manquez pas notre émission spéciale « Centrale JMJ » du lundi au vendredi 19h30 où j’aurai la joie de vous présenter un résumé complet des faits saillants de la journée ainsi que des témoignages de jeunes pèlerins et évêques canadiens grâce notre équipe présente sur place. Un merci tout spécial à notre station sœur KTO Télévision en France pour leur traduction simultanée et leur fantastique travail sur le terrain. Bonnes Journées mondiales de la jeunesse à tous jeunes et moins jeunes !

Sur la route du diocèse d’Amos (2e partie)

Dans ce 2e épisode de « Sur la route des diocèses », Francis Denis nous transporte dans le diocèse d’Amos à la rencontre des différents visages de cette église particulière. Sous l’épiscopat de Mgr Gilles Lemay, évêque du lieu, l’Église à Amos est pleinement engagée dans la transformation missionnaire voulue par le pape François. Que ce soit dans sa volonté de transmettre son riche héritage ou par la proximité avec les pauvres, les jeunes et toute personne habitant sur ce territoire aux dimensions démesurées, l’Église catholique à Amos est un bon exemple d’un Peuple de Dieu au service des besoins spirituels et humains des âmes auxquelles il est envoyé.

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