Messe pour les vocations sacerdotales de l’Archidiocèse de Montréal

En EXCLUSIVITÉ sur les ondes de Sel et Lumière, voyez EN DIRECT la télé diffusion de la Messe pour les vocations sacerdotales de l’Archidiocèse de Montréal le vendredi 15 novembre prochain à 19h30. Cette Messe célébrée à la magnifique chapelle du Grand Séminaire de Montréal sera présidée par S.Exc. Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal. L’animation de cette Messe est confiée aux communautés présentent sur le territoire de l’Archidiocèse de Montréal ainsi qu’aux séminaristes étudiants au Grand Séminaire de Montréal.

Veuillez noter que cette Messe sera également disponible en direct sur la chaîne web de Sel et Lumière dès 19h30. Un rendez-vous à ne pas manquer!

2/2 Sur la route du diocèse de Bathurst

Dans cet épisode de l’émission « Sur la route des diocèses », nous poursuivons notre visite du diocèse de Bathurst. Après avoir constaté la force du témoignage de milliers d’hommes et de femmes consacrés dans la vie religieuse, nous poursuivons notre parcours de l’Église envoyée sur la péninsule acadienne.  Que ce soit par sa présence lors des événements douloureux de l’histoire, sa sollicitude auprès des pêcheurs des petites communautés locales, l’Église de la péninsule acadienne a toujours su mettre l’accompagnement au centre de ses priorités pastorales. Que ce soit par l’ardeur de sa dévotion à Sainte-Anne, son zèle pastoral pour être proche des marins et de leur famille ou par sa volonté ferme capable de surmonter les tragédies de l’existence, le diocèse de Bathurst est un exemple de « courage (capable de) rejoindre toutes les périphéries qui ont besoin de la lumière de l’Évangile » (EG no 20). Prions pour que fidèle à ses racines catholiques et françaises, le Peuple de Dieu puisse continuer sa mission particulière : celle de faire connaître le visage miséricordieux du Père. Partons donc à la rencontre du peuple de Dieu de cette région du Nouveau-Brunswick.

(1/2) Sur la route du diocèse de Bathurst

Situé dans la province du Nouveau-Brunswick, le diocèse de Bathurst s’inscrit dans l’histoire longue de l’Église en Amérique. Ayant des racines remontant à la présence des Récollets en 1619, la présence catholique dans ce coin de pays a accompagné l’ensemble du développement de la société acadienne jusqu’à nos jours. Comptant aujourd’hui quelques 80 000 catholiques, l’Église à Bathurst s’étend de Campbellton à l’île Miscou, en passant par Tracadie-Sheila, Caraquet et Paquetville. Nommé par le pape Benoît XVI et ordonné évêque le 25 avril 2015 en la cathédrale de Bathurst, Mgr Daniel Jodoin a fait de « l’Amour dans la vérité » le moteur de son action pastorale. Cherchant sans relâche à dynamiser la présence de l’Église dans tous les milieux, sa démarche s’inscrit en continuité avec l’ardeur des communautés religieuses qui ont profondément marqué l’histoire du diocèse. Le diocèse de Bathurst est également un exemple d’une soif inextinguible de proximité avec le Seigneur présent dans le cœur des pauvres et des malades. Que ce soit par le dévouement de l’ensemble des personnes consacrée à leur service ou bien par leur souci constant pour la formation et l’éducation de la jeunesse, l’Église envoyée sur la péninsule acadienne rayonne de par son « histoire de sacrifices, d’espérance et de lutte quotidienne » (EG 96) par amour de Dieu et du prochain. Dans cet épisode de « Sur la route des diocèses » nous amorçons notre parcours du diocèse de Bathurst, à la rencontre des différents visages de cette Église au Nouveau-Brunswick. Dans cet épisode de « Sur la route des diocèses » nous partons donc à la rencontre de cette Église qui, reconnaissante de son histoire, « enfonce ses racines dans la terre fertile et dans l’histoire de son propre lieu – de cet héritage reconnu comme- don de Dieu » (EG, 235).

Église en Sortie 30 septembre 2019

Cette semaine à Église en Sortie, on parle du livre « Promenade en enfer »: Les livres à l’Index de la bibliothèque historique du Séminaire de Québec avec la documentariste et ethnologue Pierrette Lafond. On vous présente un reportage sur le carrefour de l’hospitalité sacerdotale organisé par l’Assemblée des évêques catholiques du Québec. Et on s’entretient du documentaire « Amoureuses » avec la réalisatrice Louise Sigouin.

Église en Sortie 23 septembre 2019

Cette semaine à Église en Sortie, on parle du livre Voyages spirituels, 50 itinéraires de rêve autour du monde avec la fondatrice de Spiritours Anne Godbout. On vous présente la première chronique des actualités de la rue avec l’abbé Claude Paradis. Et s’entretient de la Conférence religieuse canadienne avec son nouveau directeur général le père Alain Ambeault.

1/2 Sur la route du diocèse de Saint-Hyacinthe

Créé en 1852 par le bienheureux pape Pie IX, le diocèse de Saint-Hyacinthe longe le fleuve Saint-Laurent et la rivière Richelieu de Beloeil à Sorel en passant par Bromont et Granby. Nommé par le pape François le 29 juin 2017, Mgr Christian Rodembourg, évêque du diocèse, a fait de la tendresse de Dieu, le critère suprême de son action pastorale. Membre de la société de vie apostolique des missionnaires des saints apôtres, Mgr Rodembourg s’appuie sur une riche expérience professionnelle et pastorale qui, élevée par la Grâce, est à la hauteur de l’histoire de sainteté de son église particulière. Dans cette émission de « Sur la route des diocèses », nous partons à la rencontre des différents visages qui composent le peuple de Dieu de cette région du Québec.
Musique:
-Brave New World instrumental// Artiste: Fantoms
-Coming Home//Artiste : Gold Coast
-I Never Left You//Artiste : Stephen Keech
-Lost Kingdom// Artiste : Outside The Sky
-Woven//Artiste: Be Still The Earth

Église en Sortie 9 septembre 2019

Cette semaine pour le premier épisode d’Église en Sortie de la saison 2019-2020, Francis Denis reçoit le prêtre et théologien Jean-Marc Barreau pour parler d’accompagnement spirituel. Dans la deuxième partie de l’émission, on vous présente un reportage sur la belle histoire de l’accueil d’une famille syrienne au diocèse de Saint-Jean-Longueuil.

Le 26 juillet 2016, la Messe fut dite à Saint-Étienne-du-Rouvray

(Crédit photo: CNS/L’Osservatore Romano) Le 26 juillet 2016, en la petite église de Saint-Étienne-du-Rouvray en France, le père Jacques Hamel était assassiné alors qu’il célébrait l’Eucharistie accompagné d’une poignée de fidèles. Ce sacrilège suprême n’a cessé depuis de nous rappeler jusqu’où la foi en Jésus-Christ peut nous mener. Trois ans plus tard, il importe de faire mémoire du sens profond que revêt cet acte barbare. De ce véritable drame qui a précipité cette Rencontre définitive à laquelle le père Hamel avait passé sa vie à se préparer.

Au-delà des apparences 

Doux et humble de cœur, le père Hamel représentait tout ce que notre société considère comme ringard ou inutile. Or, si son meurtre nous a démontré une chose, c’est bien que ces critères sont eux-mêmes insignifiants et bien peu aptes à orienter notre jugement. Ce ministère caché, silencieux et constant d’un curé de campagne sans apparat, voilà ce que les flammes de l’enfer redoutent le plus. Cette journée-là, ce n’était ni les tensions politiques, ni la construction d’armements militaires, ni les myriades d’instruments mis au service d’une « paix » trop humaine que le prince de ce monde appréhendait le plus, mais bien le sacrifice sans éclat d’une vie donnée au quotidien. Comment se surprendre que l’amour du père Hamel ait déclenché la même rage du père du mensonge telle qu’elle s’était manifestée 2000 ans plus tôt au Golgotha? Qu’on se le tienne pour dit, ce que « Satan » craint le plus, c’est l’intensité de l’union d’une âme au Christ sauveur.

La Messe fut dite

Cela nous semble contre intuitif et un non-sens total mais le martyre est en effet une grâce divine qui s’offre à certains d’entre nous. Le père Hamel fait partie de ces chrétiens choisis pour témoigner au monde de la valeur suprême de la vie surnaturelle et sacramentelle. Que ce meurtre ait eu lieu pendant la célébration de la Messe porte aussi son lot de signification. Alors que, du côté des assassins, leur acte incarnait la nature même du sacrilège, pour le père Hamel au contraire, leur acte lui a fait vivre concrètement le mystère qu’il était en train de célébrer. Contrairement à son plan, la haine de Satan a permis à ce prêtre d’agir (différemment mais véritablement) In persona Christi. Par la chair meurtrie du père Hamel, la mort du Christ s’est mystérieusement ré-actualisé pour la gloire de Dieu et le salut du monde. Ce jour-là, malgré les apparences, en l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray la Messe n’a jamais été interrompue … Ite Missa est.

La seule vraie efficacité

Faire mémoire de la vie et des circonstances dramatiques qui nous ont enlevé le père Hamel est une belle occasion pour remettre les mystères de la foi au centre de nos vies et de notre compréhension du monde. Une occasion aussi de nous stimuler à persévérer sur notre chemin du sacrifice de l’amour quotidien. Alors que notre société nous invite à chercher ce qui est flamboyant et grandiose et à dénigrer ce qui semble petit et humble, le père Hamel nous montre où loge l’efficacité véritable. C’est par l’union au Christ que l’Amour de Dieu rejoint notre monde. Ce n’est que de cette manière que ce dernier peut légitimement poursuivre sa route sur le chemin de l’histoire.

Plus vivant que jamais

Il y a trois ans, le père Hamel nous quittait brusquement. Cherchant à faire disparaître cette oasis de paix, les forces démoniaques ont déchaîné leur fureur contre ce curé d’Ars des temps modernes. Pensant supprimer les bienfaits d’une vie spirituelle intense, c’est plutôt une pluie de grâces émanant d’une intimité spirituelle consommée à laquelle elles doivent aujourd’hui se confronter. L’avancement de son procès en béatification en est une preuve. À la suite du Christ, Jacques Hamel est parmi nous, plus que jamais.

Homélie du pape François au Sanctuaire de Şumuleu Ciuc en Roumanie

(Photo: CNS/Paul Haring) Vous trouverez ci-dessous le texte complet de l’homélie du pape François lors de la Messe au Sanctuaire marial de Şumuleu Ciuc en Roumanie:

Avec joie et reconnaissance à Dieu, je me trouve aujourd’hui avec vous, chers frères et sœurs, dans ce cher Sanctuaire marial, riche d’histoire et de foi, où, en tant qu’enfants, nous venons rencontrer notre Mère et nous reconnaître comme frères. Les sanctuaires, lieux quasi “sacramentels” d’une Église hôpital de campagne, gardent la mémoire du peuple fidèle qui, au milieu de ses épreuves, ne se lasse pas de chercher la source d’eau vive où rafraîchir son espérance. Ce sont des lieux de fête et de célébration, de larmes et de demandes. Nous venons aux pieds de la Mère, sans beaucoup de paroles, pour nous laisser regarder par elle et pour qu’avec son regard, elle nous mène à Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie (Jn 14, 6).

Nous ne le faisons pas de n’importe quelle manière, nous sommes des pèlerins. Ici, chaque année, le samedi de Pentecôte, vous vous rendez en pèlerinage pour honorer le vœu de vos aïeux et pour fortifier votre foi en Dieu et votre dévotion à la Vierge, représentée par cette statue monumentale en bois. Ce pèlerinage annuel appartient à l’héritage de la Transylvanie, mais il honore en même temps les traditions religieuses roumaines et hongroises ; y participent aussi des fidèles d’autres confessions et il est un symbole de dialogue, d’unité et de fraternité, un appel à retrouver les témoignages d’une foi devenue vie et d’une vie qui s’est faite espérance. Partir en pèlerinage, c’est savoir que nous venons comme peuple dans notre maison. C’est savoir que nous avons conscience de constituer un peuple. Un peuple dont les mille visages, les mille cultures, langues et traditions sont la richesse ; le saint Peuple fidèle de Dieu qui est en pèlerinage avec Marie, chantant la miséricorde du Seigneur. Si, à Cana en Galilée, Marie a intercédé auprès de Jésus pour qu’il accomplisse le premier miracle, dans chaque sanctuaire, elle veille et intercède non seulement auprès de son Fils mais aussi auprès de chacun de nous pour que nous ne nous laissions pas voler la fraternité par les voix et les blessures qui nourrissent la division et le cloisonnement. Les vicissitudes complexes et tristes du passé ne doivent pas être oubliées ou niées, mais elles ne peuvent pas constituer non plus un obstacle ou un argument pour empêcher une coexistence fraternelle désirée. Partir en pèlerinage signifie se sentir appelés et poussés à marcher ensemble, en demandant au Seigneur la grâce de transformer les rancœurs et les méfiances anciennes et actuelles en de nouvelles opportunités de communion ; c’est quitter nos sécurités et notre confort à la recherche d’une nouvelle terre que le Seigneur veut nous donner. Partir en pèlerinage, c’est le défi de découvrir et de transmettre l’esprit du vivre ensemble, de ne pas avoir peur de nous mélanger, de nous rencontrer et de nous aider. Partir en pèlerinage, c’est participer à cette marée un peu chaotique qui peut se transformer en une véritable expérience de fraternité, en une caravane toujours solidaire pour bâtir l’histoire (cf. Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 87). Partir en pèlerinage, c’est regarder non pas tant ce qui aurait pu être (et n’a pas été) mais tout ce qui nous attend et que nous ne pouvons pas reporter davantage. C’est croire au Seigneur qui vient et qui est au milieu de nous, promouvant et encourageant la solidarité, la fraternité, le désir du bien, de vérité et de justice (cf. ibid., n. 71). Partir en pèlerinage, c’est s’engager à lutter pour que ceux qui hier étaient demeurés en arrière deviennent les protagonistes de demain, et pour que les protagonistes d’aujourd’hui ne soient pas laissés en arrière demain. Et cela, chers frères et sœurs, requiert le travail artisanal de tisser ensemble l’avenir. C’est pourquoi nous sommes ici pour dire ensemble : Mère enseigne-nous à bâtir l’avenir.

Le pèlerinage dans ce sanctuaire tourne notre regard vers Marie et vers le mystère de l’élection de Dieu. Elle, une jeune fille de Nazareth, petite localité de Galilée, à la périphérie de l’empire romain et aussi à la périphérie d’Israël, a été capable par son ‘oui’ d’engager la révolution de la tendresse (cf. ibid., n.88). Le mystère de l’élection de Dieu qui pose son regard sur le faible pour confondre les forts, nous pousse et nous encourage nous aussi à dire “oui”, comme elle, comme Marie, afin de parcourir les chemins de la réconciliation. Chers frères et sœurs, ne l’oublions pas: celui qui risque, le Seigneur ne le déçoit pas! Marchons et marchons ensemble, prenons des risques, en laissant l’Évangile être le levain capable de tout imprégner et de donner à nos peuples la joie du salut, dans l’unité et dans la fraternité.

[00956-FR.02] [Texte original: Italien

Messe pour les vocations sacerdotales de l’Archidiocèse de Montréal en direct sur S+L

En EXCLUSIVITÉ sur les ondes de Sel et Lumière, voyez EN DIRECT la télé diffusion de la Messe pour les vocations sacerdotales de l’Archidiocèse de Montréal le vendredi 26 avril prochain à 19h30. Cette Messe célébrée à la magnifique chapelle du Grand Séminaire de Montréal sera présidée par S.Exc. Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal. L’animation de cette Messe est confiée aux communautés présentent sur le territoire de l’Archidiocèse de Montréal ainsi qu’aux séminaristes étudiants au Grand Séminaire de Montréal.

Vous trouverez au lien suivant le feuillet de la célébration:

Feuillet Messe vocationnelle 26 avril 2019

Veuillez noter que cette Messe sera également disponible en direct sur la chaîne web de Sel et Lumière dès 19h30. Un rendez-vous à ne pas manquer!

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