Cette semaine à Église en sortie, Francis Denis reçoit le journaliste et écrivain Jean-Claude Guillebaud qui nous parle de la révolution médiatique ainsi que de son itinéraire spirituel. On vous présente un reportage sur l’événement de l’archidiocèse de Montréal: « À la suite de Maisonneuve, 375 ans plus tard! ». Et on s’entretient avec Mgr Paul-André Durocher, archevêque de Gatineau sur l’histoire et la réalité présente de son église particulière.
Le Noël des prêtres
Ce court documentaire présente la vie de prêtres durant la période de Noël. Le temps des fêtes est, pour la majorité des chrétiens, un temps fort de leur vie spirituelle, un temps non seulement de réjouissances en famille mais également de vacances et de repos. Pour les prêtres, le temps de Noël représente un temps d’intense préparation spirituelle et organisationnelle. Messe de minuit, célébration du pardon, souper des pauvres, fêtes des bénévoles, présences auprès des malades : la vie de prêtres durant le temps de Noël est loin d’être une période tranquille. Cela est encore moins le cas pour ceux qui ont parallèlement une carrière de chanteur populaire !
Au cours de cette production originale de Sel et Lumière, Francis Denis nous fait rencontrer deux prêtres et un évêque dans leur vie quotidienne durant le temps de Noël. Quotidien quelque peu transformé depuis qu’ils chantent avec Mario Pelchat et qu’ils l’accompagnent dans une série de spectacles partout au Québec.
Message du pape François pour la 55e journée de prière pour les vocations
Vous trouverez ci-dessous le message du pape François pour la 55e journée de prière pour les vocations:
Écouter, discerner, vivre l’appel du Seigneur
Chers frères et sœurs,
En octobre prochain, se déroulera la XVème Assemblée Générale ordinaire du Synode des évêques, qui sera consacrée aux jeunes, en particulier au rapport entre jeunes, foi et vocation. A cette occasion, nous aurons la possibilité d’approfondir comment, au centre de notre vie, il y a l’appel à la joie que Dieu nous adresse et comment cela est «le projet de Dieu pour les hommes et les femmes de tout temps» (SYNODE DES ÉVÊQUES, XVEME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE, Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel, Introduction).Il s’agit d’une bonne nouvelle qui nous est annoncée avec force par la 55ème Journée mondiale de Prière pour les Vocations : nous ne sommes pas plongés dans le hasard, ni entraînés par une série d’évènements désordonnés, mais, au contraire, notre vie et notre présence dans le monde sont fruits d’une vocation divine !
Même dans nos temps inquiets, le Mystère de l’Incarnation nous rappelle que Dieu vient toujours à notre rencontre et il est Dieu-avec-nous, qui passe le long des routes parfois poussiéreuses de notre vie et, accueillant notre poignante nostalgie d’amour et de bonheur, nous appelle à la joie. Dans la diversité et dans la spécificité de chaque vocation, personnelle et ecclésiale, il s’agit d’écouter, de discerner et de vivre cette Parole qui nous appelle d’en-haut et qui, tandis qu’elle nous permet de faire fructifier nos talents, nous rend aussi instruments de salut dans le monde et nous oriente vers la plénitude du bonheur.
Ces trois aspects – écoute, discernement et vie – servent aussi de cadre au début de la mission de Jésus, qui, après les jours de prière et de lutte dans le désert, visite sa synagogue de Nazareth, et là, se met à l’écoute de la Parole, discerne le contenu de la mission que le Père lui a confiée et annonce qu’il est venu pour la réaliser “aujourd’hui” (cf. Lc 4, 16-21).
Écouter
L’appel du Seigneur – il faut le dire tout de suite – n’a pas l’évidence de l’une des nombreuses choses que nous pouvons sentir, voir ou toucher dans notre expérience quotidienne. Dieu vient de manière silencieuse et discrète, sans s’imposer à notre liberté. Aussi, on peut comprendre que sa voix reste étouffée par les nombreuses préoccupations et sollicitations qui occupent notre esprit et notre cœur.
Il convient alors de se préparer à une écoute profonde de sa Parole et de la vie, à prêter aussi attention aux détails de notre quotidien, à apprendre à lire les évènements avec les yeux de la foi, et à se maintenir ouverts aux surprises de l’Esprit.
Nous ne pourrons pas découvrir l’appel spécial et personnel que Dieu a pensé pour nous, si nous restons fermés sur nous-mêmes, dans nos habitudes et dans l’apathie de celui qui passe sa propre vie dans le cercle restreint de son moi, perdant l’opportunité de rêver en grand et de devenir protagoniste de cette histoire unique et originale que Dieu veut écrire avec nous.
Jésus aussi a été appelé et envoyé ; pour cela, il a eu besoin de se recueillir dans le silence, il a écouté et lu la Parole dans la Synagogue et, avec la lumière et la force de l’Esprit Saint, il en a dévoilé la pleine signification, référée à sa personne-même et à l’histoire du peuple d’Israël.
Cette attitude devient aujourd’hui toujours plus difficile, plongés comme nous le sommes dans une société bruyante, dans la frénésie de l’abondance de stimulations et d’informations qui remplissent nos journées. Au vacarme extérieur, qui parfois domine nos villes et nos quartiers, correspond souvent une dispersion et une confusion intérieure, qui ne nous permettent pas de nous arrêter, de savourer le goût de la contemplation, de réfléchir avec sérénité sur les évènements de notre vie et d’opérer, confiants dans le dessein bienveillant de Dieu pour nous, un discernement fécond.
Mais, comme nous le savons, le Royaume de Dieu vient sans faire de bruit et sans attirer l’attention (cf. Lc 17, 21), et il est possible d’en accueillir les germes seulement lorsque, comme le prophète Elie, nous savons entrer dans les profondeurs de notre esprit, le laissant s’ouvrir à l’imperceptible souffle de la brise divine (cf. 1 R 19, 11-13).
Discerner
En lisant, dans la synagogue de Nazareth, le passage du prophète Isaïe, Jésus discerne le contenu de la mission pour laquelle il a été envoyé et il le présente à ceux qui attendaient le Messie : « L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur » (Lc 4, 18-19).
De la même manière, chacun de nous peut découvrir sa propre vocation seulement à travers le discernement spirituel, un «processus grâce auquel la personne arrive à effectuer, en dialoguant avec le Seigneur et en écoutant la voix de l’Esprit, les choix fondamentaux, à partir du choix de son état de vie (Synode des Évêques, XVème Assemblée Générale Ordinaire, Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel, II, 2).
Nous découvrons en particulier, que la vocation chrétienne a toujours une dimension prophétique. Comme nous témoigne l’Ecriture, les prophètes sont envoyés au peuple dans des situations de grande précarité matérielle et de crise spirituelle et morale, pour adresser au nom de Dieu des paroles de conversion, d’espérance et de consolation. Comme un vent qui soulève la poussière, le prophète dérange la fausse tranquillité de la conscience qui a oublié la Parole du Seigneur, discerne les évènements à la lumière de la promesse de Dieu et aide le peuple à apercevoir des signes d’aurore dans les ténèbres de l’histoire.
Aujourd’hui aussi, nous avons grand besoin du discernement et de la prophétie ; de dépasser les tentations de l’idéologie et du fatalisme et de découvrir, dans la relation avec le Seigneur, les lieux, les instruments et les situations à travers lesquels il nous appelle. Chaque chrétien devrait pouvoir développer la capacité à “lire à l’intérieur” de sa vie et à saisir où et à quoi le Seigneur l’appelle pour continuer sa mission.
Vivre
Enfin, Jésus annonce la nouveauté de l’heure présente, qui enthousiasmera beaucoup et durcira d’autres : les temps sont accomplis et c’est Lui le Messie annoncé par Isaïe, oint pour libérer les prisonniers, rendre la vue aux aveugles et proclamer l’amour miséricordieux de Dieu à toute créature. Vraiment « aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Ecriture que vous venez d’entendre » (Lc 4, 20), affirme Jésus.
La joie de l’Evangile, qui nous ouvre à la rencontre avec Dieu et avec les frères, ne peut attendre nos lenteurs et nos paresses ; elle ne nous touche pas si nous restons accoudés à la fenêtre, avec l’excuse de toujours attendre un temps propice ; elle ne s’accomplit pas non plus pour nous si nous n’assumons pas aujourd’hui-même le risque d’un choix. La vocation est aujourd’hui ! La mission chrétienne est pour le présent ! Et chacun de nous est appelé – à la vie laïque dans le mariage, à la vie sacerdotale dans le ministère ordonné, ou à la vie de consécration spéciale – pour devenir témoin du Seigneur, ici et maintenant.
Cet “aujourd’hui” proclamé par Jésus, en effet, nous assure que Dieu continue à “descendre” pour sauver notre humanité et nous rendre participants de sa mission. Le Seigneur appelle encore à vivre avec lui et à marcher derrière lui dans une relation de proximité particulière, à son service direct. Et s’il nous fait comprendre qu’il nous appelle à nous consacrer totalement à son Royaume, nous ne devons pas avoir peur ! C’est beau – et c’est une grande grâce – d’être entièrement et pour toujours consacrés à Dieu et au service des frères.
Le Seigneur continue aujourd’hui à appeler à le suivre. Nous ne devons pas attendre d’être parfaits pour répondre notre généreux “me voici”, ni nous effrayer de nos limites et de nos péchés, mais accueillir avec un cœur ouvert la voix du Seigneur. L’écouter, discerner notre mission personnelle dans l’Église et dans le monde, et enfin la vivre dans l’aujourd’hui que Dieu nous donne.
Que Marie la très Sainte, la jeune fille de périphérie, qui a écouté, accueilli et vécu la Parole de Dieu faite chair, nous garde et nous accompagne toujours sur notre chemin.
Du Vatican, 3 décembre 2017 Premier Dimanche de l’Avent
[01850-FR.01] [Texte original: Italien]
FRANÇOIS
Homélie du pape François lors de la Messe avec les jeunes à la cathédrale Sainte-Marie de Yangon
Vous trouverez ci-dessous le texte de l’homélie du pape François lors de la Messe avec les jeunes à la cathédrale Sainte-Marie de Yangon:
Alors que ma visite à votre belle terre approche de sa conclusion, je m’unis à vous afin de remercier Dieu pour les nombreuses grâces que nous avons reçues en ces jours. En vous regardant, vous, jeunes du Myanmar, et tous ceux qui nous suivent au dehors de cette cathédrale, je désire partager une phrase de la première lecture d’aujourd’hui, qui résonne en moi. Il s’agit du prophète Isaïe, que Saint Paul a repris dans sa lettre à la jeune communauté chrétienne de Rome. Écoutons encore une fois ces paroles: «comme ils sont beaux les pas des messagers qui annoncent une bonne nouvelle!» (cf. Rm 10, 15; Is 52, 7).
Chers jeunes du Myanmar, après avoir entendu vos voix et vous avoir écouté chanter aujourd’hui, je voudrais vous appliquer ces paroles à vous. Oui, vos pas sont beaux, et il est beau et encourageant de vous voir, parce que vous nous portez «une bonne nouvelle », la bonne nouvelle de votre jeunesse, de votre foi et de votre enthousiasme. Bien sûr, vous êtes une bonne nouvelle parce que vous êtes des signes concrets de la foi de l’Église en Jésus Christ, qui nous apporte une joie et une espérance qui n’auront jamais de fin.
Certains se demandent comment est-il possible de parler de bonnes nouvelles quand beaucoup souffrent autour de nous. Où sont les bonnes nouvelles quand tant d’injustice, de pauvreté et de misère jettent une ombre sur nous et sur notre monde ? Mais je voudrais que de ce lieu parte un message très clair. Je voudrais que les gens sachent que vous, jeunes hommes et jeunes femmes du Myanmar, vous n’avez pas peur de croire en la bonne nouvelle de la miséricorde de Dieu, parce qu’elle a un nom et un visage: Jésus Christ. Comme messagers de cette bonne nouvelle, vous êtes prêts à porter une parole d’espérance à l’Église, à votre pays, au monde. Vous êtes prêts à porter la bonne nouvelle aux frères et aux sœurs qui souffrent et qui ont besoin de vos prières et de votre solidarité, mais aussi de votre passion pour les droits humains, pour la justice et pour la croissance de ce que Jésus donne: l’amour et la paix.
Mais je voudrais aussi mettre devant vous un défi. Avez-vous écouté attentivement la première lecture ? Là saint Paul répète par trois fois la parole sans. C’est une petite parole, qui cependant nous pousse à penser à notre place dans le projet de Dieu. En effet, Paul pose trois questions, que je voudrais adresser à chacun de vous personnellement. La première: «Comment croire en lui, si on ne l’a pas entendu?» La deuxième: «Comment entendre si personne ne proclame?» La troisième: «Comment proclamer sans être envoyé?» (cf. Rm 10, 14-15).
J’aimerais que tous, vous pensiez à fond à ces trois questions. Mais n’ayez pas peur ! Comme un père (peut-être serait-il mieux de dire un grand-père !) bienveillant, je ne veux pas que vous soyez seuls à affronter ces questions. Permettez-moi de vous offrir quelques pensées qui puissent vous conduire sur le chemin de la foi et vous aider à discerner ce que le Seigneur vous demande.
La première question de saint Paul est: «Comment croire en lui, si on ne l’a pas entendu?». Notre monde est plein de beaucoup de bruits et de distractions qui peuvent étouffer la voix de Dieu. Pour que d’autres soient appelés à en entendre parler et à croire en Lui, ils ont besoin de le trouver dans des personnes qui soient authentiques, des personnes qui sachent comment écouter. C’est certainement ce que vous voulez être. Mais seul le Seigneur peut vous aider à être authentiques. Pour cela, parlez-lui dans la prière. Apprenez à écouter sa voix, en lui parlant tranquillement du plus profond de votre cœur.
Mais parlez aussi aux saints, à nos amis du ciel qui peuvent nous inspirer. Comme saint André, que nous fêtons aujourd’hui. Il était un simple pécheur et il est devenu un grand martyr, un témoin de l’amour de Jésus. Mais avant de devenir un martyr, il a fait ses erreurs et il a eu besoin d’être patient, d’apprendre graduellement comment être un vrai disciple du Christ. Vous aussi, n’ayez pas peur d’apprendre de vos erreurs ! Que les saints puissent vous guider vers Jésus, en vous enseignant à mettre vos vies entre ses mains. Vous savez que Jésus est plein de miséricorde. Donc partagez avec Lui tout ce que vous avez dans le cœur : les peurs et les préoccupations, les rêves et les espérances. Cultivez la vie intérieure, comme vous feriez dans un jardin ou dans un champ. Cela demande du temps, demande de la patience. Mais comme un cultivateur sait attendre la croissance de la moisson, ainsi, si vous savez avoir de la patience, le Seigneur vous donnera de porter beaucoup de fruit, un fruit que vous pourrez ensuite partager avec les autres.
La seconde question de Paul est: «Comment entendre si personne ne proclame ? » Voilà une grande tâche confiée de manière spéciale aux jeunes : être “disciples-missionnaires”, messagers de la bonne nouvelle de Jésus, surtout pour vos contemporains et vos amis. N’ayez pas peur de mettre de la pagaille, de poser des questions qui fassent réfléchir les gens ! Et n’ayez pas peur si parfois vous vous verrez être peu nombreux et éparpillés ici et là. L’Évangile croît toujours à partir de petites racines. Pour cela, faites-vous entendre! Je voudrais vous demander de crier, mais non, non pas avec la voix, je voudrais que vous criiez par votre vie, par votre cœur, pour être ainsi des signes d’espérance pour celui qui est découragé, une main tendue pour celui qui est malade, un sourire accueillant pour celui qui est étranger, un soutien attentif pour celui qui est seul.
La dernière question de Paul est: «Comment proclamer sans être envoyé?» Au terme de la messe, nous serons tous envoyés prendre les dons que nous avons reçus et les partager avec les autres. Cela pourrait être un peu décourageant, du moment que nous ne savons pas toujours où Jésus peut nous envoyer. Mais il ne nous envoie jamais sans marcher en même temps à nos côtés, et toujours un petit peu devant nous, pour nous introduire dans de nouvelles et magnifiques parties de son Royaume.
Comment le Seigneur envoie-il saint André et son frère Simon Pierre dans l’Évangile d’aujourd’hui? «Suivez-moi» leur dit-il (cf. Mt 4, 19). Voilà ce que signifie être envoyés: suivre le Christ, ne pas se précipiter en avant avec ses propres forces! Le Seigneur invitera certains d’entre vous à le suivre comme prêtres et à devenir de cette façon “pécheurs d’hommes”. Il en appellera d’autres à devenir des personnes consacrées. Et d’autres encore il les appellera au mariage, à être des pères et des mères affectueux. Quelle que soit votre vocation, je vous exhorte: soyez courageux, soyez généreux et, surtout, soyez joyeux!
Ici dans cette belle Cathédrale dédiée à l’Immaculé Conception, je vous encourage à regarder Marie. Quand elle a dit oui au message de l’ange, elle était jeune comme vous ; mais elle a eu le courage de faire confiance à la bonne nouvelle qu’elle avait entendue et de la traduire dans une vie de fidèle dévouement à sa vocation, de total don de soi et de confiance complète à la tendre prévenance de Dieu. Comme Marie, puissiez-vous être tous humbles mais courageux pour porter Jésus et son amour aux autres !
Chers jeunes, avec une grande affection, je vous confie tous ainsi que vos familles à sa maternelle intercession. Et je vous demande, s’il vous plaît, de vous rappeler de prier pour moi. Que Dieu bénisse le Myanmar! [Myanmar pyi ko Payathakin Kaung gi pei pa sei]
[01795-FR.01] [Texte original: Italien]
Église en sortie 20 octobre 2017
Cette semaine à Église en sortie on reçoit Mathieu Bock-Côté qui nous parle de son tout dernier livre « Le nouveau Régime« . On vous présente un reportage sur le Festival de l’Assomption au sanctuaire Notre-Dame du Cap. Dans la troisième partie de l’émission, Francis Denis s’entretient avec Martin Lemay à propos de son livre « À La Défense de Maurice Duplessis« .
Vidéo des Intentions de prière du Pape François pour le mois août: les artistes
La Vidéo du Pape est une initiative développée par le Réseau Mondial de Prière du Pape (Apostolat de la Prière) pour collaborer à la diffusion des intentions mensuelles du Saint-Père à propos des défis de l’humanité.
Intentions de prière du Pape François pour le mois de Juillet 2017
Vous trouverez ci-dessus la vidéo des intentions de prière du pape François pour le mois de juillet 2017 : Les personnes éloignées de la foi chrétienne »:
N’oublions jamais que notre joie est en Jésus Christ, que son amour est fidèle et inépuisable. Car, lorsqu’un chrétien est triste, cela veut dire qu’il s’est éloigné de Jésus. En ces moments-là, il ne faut pas le laisser seul. Nous devons lui offrir l’espérance chrétienne ; par la parole certes, mais plus encore par notre témoignage, par notre liberté, par notre joie.
Prions pour nos frères et sœurs qui se sont éloignés de la foi, afin qu’ils redécouvrent, par notre prière et notre témoignage évangélique, la beauté de la vie chrétienne. N’oublions jamais que notre joie est en Jésus Christ, que son amour est fidèle et inépuisable. Car, lorsqu’un chrétien est triste, cela veut dire qu’il s’est éloigné de Jésus. En ces moments-là, il ne faut pas le laisser seul. Nous devons lui offrir l’espérance chrétienne ; par la parole certes, mais plus encore par notre témoignage, par notre liberté, par notre joie. Prions pour nos frères et sœurs qui se sont éloignés de la foi, afin qu’ils redécouvrent, par notre prière et notre témoignage évangélique, la beauté de la vie chrétienne.