Église en Sortie 23 septembre 2019

Cette semaine à Église en Sortie, on parle du livre Voyages spirituels, 50 itinéraires de rêve autour du monde avec la fondatrice de Spiritours Anne Godbout. On vous présente la première chronique des actualités de la rue avec l’abbé Claude Paradis. Et s’entretient de la Conférence religieuse canadienne avec son nouveau directeur général le père Alain Ambeault.

1/2 Sur la route du diocèse de Saint-Hyacinthe

Créé en 1852 par le bienheureux pape Pie IX, le diocèse de Saint-Hyacinthe longe le fleuve Saint-Laurent et la rivière Richelieu de Beloeil à Sorel en passant par Bromont et Granby. Nommé par le pape François le 29 juin 2017, Mgr Christian Rodembourg, évêque du diocèse, a fait de la tendresse de Dieu, le critère suprême de son action pastorale. Membre de la société de vie apostolique des missionnaires des saints apôtres, Mgr Rodembourg s’appuie sur une riche expérience professionnelle et pastorale qui, élevée par la Grâce, est à la hauteur de l’histoire de sainteté de son église particulière. Dans cette émission de « Sur la route des diocèses », nous partons à la rencontre des différents visages qui composent le peuple de Dieu de cette région du Québec.
Musique:
-Brave New World instrumental// Artiste: Fantoms
-Coming Home//Artiste : Gold Coast
-I Never Left You//Artiste : Stephen Keech
-Lost Kingdom// Artiste : Outside The Sky
-Woven//Artiste: Be Still The Earth

Église en Sortie 16 septembre 2019

Cette semaine à Église en Sortie, Francis Denis reçoit Chantal Beauvais, philosophe et rectrice de l’Université Saint-Paul d’Ottawa pour parler de l’histoire de cette institution et de la place de l’éducation supérieure catholique aujourd’hui. On vous présente un reportage sur les équipes Notre-Dame dans le diocèse de Saint-Hyacinthe. Dans la troisième partie de l’émission, l’auteure et journaliste Brigitte Bédard nous parle de son plus récent livre intitulé « J’étais incapable d’aimer ».

Sur la route du diocèse de Saint-Jean-Longueuil

Dans cette épisode de Sur la route des diocèses, Francis Denis part à la découverte du diocèse de Saint-Jean-Longueuil. Créé le 9 juin 1933 par le pape Pie XI, ce diocèse s’étend entre le fleuve Saint-Laurent et la rivière Richelieu. Ayant pour devise « Qu’ils soient un en nous » (Jn 17,21), ce diocèse est toujours fidèle à cette exhortation du Seigneur à voir dans la Trinité le modèle et le lien de l’unité des chrétiens. Installé le 28 octobre 2010, Mgr Lionel Gendron p.s.s., 5e évêque du lieu, est au service des quelques 600 000 catholiques présents sur son territoire. Que ce soit par son souci d’une éducation pour tous, sa présence constante auprès des plus pauvres, la place centrale qu’il réserve au charisme propre de la jeunesse ou par son approche globale qui rassemble tous les âges de la vie, le diocèse de Saint-Jean-Longueuil est un exemple d’une église en marche, à l’écoute des besoins des hommes et des femmes de notre temps.

Église en Sortie 9 septembre 2019

Cette semaine pour le premier épisode d’Église en Sortie de la saison 2019-2020, Francis Denis reçoit le prêtre et théologien Jean-Marc Barreau pour parler d’accompagnement spirituel. Dans la deuxième partie de l’émission, on vous présente un reportage sur la belle histoire de l’accueil d’une famille syrienne au diocèse de Saint-Jean-Longueuil.

« Hebdomada Papae » : j’en perds mon latin !

(Credit photo: Vatican Média) Le 8 juin dernier, une nouvelle émission radiophonique entrait en ondes sur Radio Vatican. Intitulé « Hebdomada Papae: notitiae vaticanae latine redditae », ce radiojournal a la particularité d’être diffusé dans la langue de Cicéron : le latin. Offrant des nouvelles hebdomadaires sur les événements significatifs de l’agenda du Pape, cette « nouveauté » semble paradoxalement anachronique. En effet, quelle utilité une telle émission peut-elle avoir en 2019 ? À qui peut bien s’adresser une telle programmation ? Loin de l’uniformisation actuelle de l’univers Podcast qui tend à généraliser l’usage de l’anglais, il me semble que cette initiative met de l’avant l’attachement de l’Église pour la diversité des cultures et pour sa propre tradition.

Un patrimoine vivant

L’intention avouée d’Andrea Tornielli, directeur éditorial de Vatican News, est de « faire revivre la langue officielle de l’Église catholique ». En effet, lorsque l’on parle de la langue latine, c’est souvent avec réticence. « C’est une langue morte ! » ou encore « Ça ne sert à rien !» ne sont que deux exemples de la myriade de préjugés tenaces qui continuent d’être véhiculés contre elle par la culture actuelle. Or,comme le dit le pape François :

Nous voyons aujourd’hui une tendance à homogénéiser les jeunes, à dissoudre les différences propres à leur lieu d’origine, à les transformer en êtres manipulables, fabriqués en série. Il se produit ainsi une destruction culturelle qui est aussi grave que la disparition des espèces animales et végétales. (CV no186)

Cette préservation d’une connaissance de base de la langue latine est donc constitutive d’une véritable « écologie intégrale » (LS no 145). Cela est vrai pour de nombreuses raisons. D’abord, l’universalité de l’Église requiert qu’elle ait une langue propre. N’étant ni française, ni anglaise, ni italienne, ni chinoise mais bien « catholicos », l’Église ne pourrait faire de l’une d’ elles sa langue officielle sans être perçue comme privilégiant une culture au détriment des autres. Pour les églises particulières, la langue vernaculaire est de mise dans la plupart des cas. Toutefois, pour les églises de tradition et de rite latin, le Concile Vatican II demande « À ce que les fidèles puissent dire ou chanter ensemble, en langue latine, aussi les parties de l’ordinaire de la messe qui leur reviennent » (SC no 54). De fait, et cela va de soi, la grande majorité du patrimoine ecclésial ayant été écrit en latin, il est indispensable d’avoir une certaine connaissance des « éléments latins ».

Une langue construite sur du roc

Une autre raison majeure en faveur d’une redécouverte du latin découle des racines culturelles et linguistiques latines de la langue française. En effet, le français est une langue latine et de fait, s’enracine dans la logique syntaxique, grammaticale et étymologique de cette langue millénaire. Avoir une base de latin permet donc de saisir la profondeur et la polysémie des termes, mots et concepts que nous utilisons tous les jours. À l’heure où l’on constate une perte de la richesse , une fragilisation de la présence francophone au Québec  ou du déclin de la qualité du français à tous les niveaux , il me semble qu’un certain retour au latin ne serait pas superflu. En effet, il m’apparaît contradictoire de prétendre chérir la langue française tout en négligeant une connaissance et une appréciation de base de ses racines. Notre langue française ne fut pas bâtie sur du « sable » mais sur le « roc » (Mt 7, 25-27) du latin. Affaiblir l’un allait forcément entraîner l’affaiblissement de l’autre.   Comment pouvoir sensibiliser et propager l’amour d’une langue sans en connaître les racines ? Et comment les francophones du Canada pourraient-ils redécouvrir ce patrimoine si l’Église Elle-même le négligeait ?

Ainsi, puisque trop souvent « les limites culturelles des diverses époques ont conditionné cette conscience de leur propre héritage éthique et spirituel, […]c’est précisément le retour à leurs sources qui permet aux religions de mieux répondre aux nécessités actuelles » (LS no 200) . Le patrimoine littéraire, religieux et linguistique du latin mérite d’être connu et utilisé. C’est ce que cette nouvelle émission radiophonique concrétise. Placet !

Le 26 juillet 2016, la Messe fut dite à Saint-Étienne-du-Rouvray

(Crédit photo: CNS/L’Osservatore Romano) Le 26 juillet 2016, en la petite église de Saint-Étienne-du-Rouvray en France, le père Jacques Hamel était assassiné alors qu’il célébrait l’Eucharistie accompagné d’une poignée de fidèles. Ce sacrilège suprême n’a cessé depuis de nous rappeler jusqu’où la foi en Jésus-Christ peut nous mener. Trois ans plus tard, il importe de faire mémoire du sens profond que revêt cet acte barbare. De ce véritable drame qui a précipité cette Rencontre définitive à laquelle le père Hamel avait passé sa vie à se préparer.

Au-delà des apparences 

Doux et humble de cœur, le père Hamel représentait tout ce que notre société considère comme ringard ou inutile. Or, si son meurtre nous a démontré une chose, c’est bien que ces critères sont eux-mêmes insignifiants et bien peu aptes à orienter notre jugement. Ce ministère caché, silencieux et constant d’un curé de campagne sans apparat, voilà ce que les flammes de l’enfer redoutent le plus. Cette journée-là, ce n’était ni les tensions politiques, ni la construction d’armements militaires, ni les myriades d’instruments mis au service d’une « paix » trop humaine que le prince de ce monde appréhendait le plus, mais bien le sacrifice sans éclat d’une vie donnée au quotidien. Comment se surprendre que l’amour du père Hamel ait déclenché la même rage du père du mensonge telle qu’elle s’était manifestée 2000 ans plus tôt au Golgotha? Qu’on se le tienne pour dit, ce que « Satan » craint le plus, c’est l’intensité de l’union d’une âme au Christ sauveur.

La Messe fut dite

Cela nous semble contre intuitif et un non-sens total mais le martyre est en effet une grâce divine qui s’offre à certains d’entre nous. Le père Hamel fait partie de ces chrétiens choisis pour témoigner au monde de la valeur suprême de la vie surnaturelle et sacramentelle. Que ce meurtre ait eu lieu pendant la célébration de la Messe porte aussi son lot de signification. Alors que, du côté des assassins, leur acte incarnait la nature même du sacrilège, pour le père Hamel au contraire, leur acte lui a fait vivre concrètement le mystère qu’il était en train de célébrer. Contrairement à son plan, la haine de Satan a permis à ce prêtre d’agir (différemment mais véritablement) In persona Christi. Par la chair meurtrie du père Hamel, la mort du Christ s’est mystérieusement ré-actualisé pour la gloire de Dieu et le salut du monde. Ce jour-là, malgré les apparences, en l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray la Messe n’a jamais été interrompue … Ite Missa est.

La seule vraie efficacité

Faire mémoire de la vie et des circonstances dramatiques qui nous ont enlevé le père Hamel est une belle occasion pour remettre les mystères de la foi au centre de nos vies et de notre compréhension du monde. Une occasion aussi de nous stimuler à persévérer sur notre chemin du sacrifice de l’amour quotidien. Alors que notre société nous invite à chercher ce qui est flamboyant et grandiose et à dénigrer ce qui semble petit et humble, le père Hamel nous montre où loge l’efficacité véritable. C’est par l’union au Christ que l’Amour de Dieu rejoint notre monde. Ce n’est que de cette manière que ce dernier peut légitimement poursuivre sa route sur le chemin de l’histoire.

Plus vivant que jamais

Il y a trois ans, le père Hamel nous quittait brusquement. Cherchant à faire disparaître cette oasis de paix, les forces démoniaques ont déchaîné leur fureur contre ce curé d’Ars des temps modernes. Pensant supprimer les bienfaits d’une vie spirituelle intense, c’est plutôt une pluie de grâces émanant d’une intimité spirituelle consommée à laquelle elles doivent aujourd’hui se confronter. L’avancement de son procès en béatification en est une preuve. À la suite du Christ, Jacques Hamel est parmi nous, plus que jamais.

Pour une jeunesse bien enracinée

(Photo credit: CNS/Vatican Media) Nous poursuivons aujourd’hui notre parcours de l’exhortation apostolique du pape François « Christus Vivit » aux jeunes et à tout le peuple de Dieu. Le chapitre six offre de riches réflexions sur le thème de l’enracinement. Ce thème, devenu central dans notre monde globalisé, l’est encore davantage dans la vie des jeunes qui vivent d’importantes tensions à ce niveau. En effet, étant pour la plupart nés avec internet, leur identité n’est plus uniquement liée à leur géographie, leur patrie ou leur histoire familiale. Elle ne souffre plus de frontière et ne tolère pour référence que l’immensité des possibles. Or, nous dit le Pape : « Je souffre de voir que certains proposent aux jeunes de construire un avenir sans racines, comme si le monde commençait maintenant. Car « il est impossible que quelqu’un grandisse s’il n’a pas de racines fortes … » (no 179). Comment donc distinguer « la joie de la jeunesse d’un faux culte à la jeunesse » (no 180) ? C’est ce que nous allons maintenant explorer.

Une jeunesse caricaturée

Pour bien comprendre la différence entre le vrai et le faux, le Pape nous offre, dans ce court chapitre, une série de critères. Dans un premier temps, il montre comment beaucoup ont intérêt à ce que les jeunes soient facilement manipulables et crédules. Pour lui, de nombreux intérêts cherchent, à des fins idéologiques, à façonner des « jeunes qui méprisent l’histoire, qui rejettent la richesse spirituelle et humaine qui a été transmise au cours des générations, qui ignorent tout ce qui les a précédés » (no 181). C’est donc, pour le pape François, l’intérêt même des manipulateurs qui nous renseignent sur ce qui ne constitue par une jeunesse authentique.

Une jeunesse caricaturée sera donc d’abord auto révérencielle en ce sens qu’elle ne voudra pas évoluer en continuité ou cohérence avec ce qui l’a précédée. Cherchant davantage à se défaire de son héritage familial, national, spirituel plutôt qu’à l’assumer, cette jeunesse déracinée finit inévitablement dans l’enfermement d’une prétendue supériorité morale, « comme si tout ce qui n’est pas jeune était détestable et caduque. Le corps jeune devient le symbole de ce nouveau culte, et donc tout ce qui a rapport avec ce corps est idolâtré, désiré sans limites ; et ce qui n’est pas jeune est regardé avec mépris » (no 182).

L’homogénéité de la jeunesse laisse aussi présager sa grande vulnérabilité devant ceux qui veulent en profiter. En effet, selon le Pape, « Nous voyons aujourd’hui une tendance à homogénéiser les jeunes, à dissoudre les différences propres à leur lieu d’origine, à les transformer en êtres manipulables, fabriqués en série » (no 186). Cela peut se voir particulièrement dans les plus petits pays où les cultures propres ont bien du mal à se protéger contre les assauts parfois envahissants des différentes « formes de colonisation culturelle, qui déracinent les jeunes des appartenances culturelles et religieuses dont ils proviennent » (no 185). Au Québec, il est facile de voir le ravage que fait à notre jeunesse l’omniprésence d’une certaine culture américaine. En effet, personne ne sera surpris de voir la jeunesse d’aujourd’hui mieux connaître les super héros cinématrographiques que les pionniers de notre histoire. En ce sens, l’Église doit aider les jeunes à trouver un meilleur équilibre entre leurs intérêts pour la culture ambiante et leur propre culture correspondant mieux aux « traits les plus précieux de leur identité » (no 185).

Pour une jeunesse libre

Au contraire, nous dit le Pape, une jeunesse véritablement libre doit toujours faire preuve d’esprit critique. La jeunesse consciente des nombreux intérêts qui ne cherchent qu’à manipuler son authenticité, sait reconnaître ce qui, dans son propre patrimoine, est estimable et ce qui l’est moins. Elle sait être ouverte à « recueillir une sagesse qui se communique de génération en génération, qui peut coexister avec certaines misères humaines, et qui n’a pas à disparaître devant les nouveautés de la consommation et du marché » (no 190).

Ce qui nous amène au deuxième point d’une jeunesse à même de relever les nouveaux défis qui s’offrent à chaque génération. En effet, pour le pape François, « La rupture entre générations n’a jamais aidé le monde et ne l’aidera jamais » (no 191). Il faut donc que la jeunesse soit capable de se mettre à l’écoute des personnes plus âgées afin que « les communautés possèdent une mémoire collective, car chaque génération reprend les enseignements de ceux qui ont précédé, laissant un héritage à ceux qui suivront » (no 191).

Cela revêt au Québec un caractère particulier puisqu’une rupture générationnelle a bel et bien eu lieu au siècle passé. En effet, dans les années 60, ce que l’on appelle généralement la « Révolution Tranquille » a créé une discontinuité historique ; si bien que, de nos jours, une multitude de jeunes ne connaissent presque rien de leur histoire. C’est donc par fidélité aux principes soi-disant « émancipateurs » hérités de leurs parents qu’ils ignorent aujourd’hui pratiquement tout ce qui les constitue. De leur langue jusqu’au nom de rue en passant par la littérature et l’horizon de signification de leurs aïeuls, la jeunesse d’aujourd’hui semble dépourvue des fondements de son identité. Ainsi, au Québec, « faire mémoire de cette bénédiction qui se poursuit de génération en génération est un héritage précieux qu’il faut savoir garder vivant pour pouvoir le transmettre nous aussi ». Cet exercice de mémoire passe nécessairement par l’examen critique des différents mythes inventés par la génération précédente (par exemple celui de la « Grande Noirceur », etc.) en cherchant à retrouver le lien avec le temps long de l’histoire. Cela pourra se faire, par exemple, en reprenant contact, à travers la culture, avec nos morts, avec ceux qui gisent depuis plus de 400 ans dans les cimetières qui parsèment notre territoire.

Pour une guérison de la mémoire

Dans son « Rapport présenté à Sa Sainteté le Pape François en prévision de la visite ad limina apostolorum de mai 2017 », les évêques du Québec faisaient référence à cette problématique importante pour l’avenir des jeunes générations au Québec. Citant l’Observatoire Justice & Paix, le document constate lui aussi que :

« Rarement dans l’histoire un peuple aura-t-il vécu une volte-face culturelle aussi radicale que le Québec du demi-siècle passé. Ceci s’est manifesté notamment dans le domaine religieux, où la coupure a été la plus nette. … Pour un peuple qui a vécu dans un rapport étroit entre la foi et la culture pendant près de quatre siècles, une telle mutation n’a-t-elle pas des conséquences préoccupantes pour son avenir ? »

Ce vide culturel des jeunes d’aujourd’hui hérité de leurs parents interpelle donc l’ensemble de l’Église au Québec. Ce déficit doit être perçu comme une opportunité à saisir. Nous devons trouver les meilleurs moyens (ou devrais-je dire « témoins ») qui sauront manifester qu’assumer pleinement son héritage culturel catholique est un avantage humain et spirituel pour affronter la vie avec confiance et espérance.

Église en sortie 21 juin 2019

Cette semaine à Église en Sortie, Francis Denis reçoit Suzanne Desrochers de l’Office de catéchèse du Québec pour parler du document « Oser ! : outils d’animation pour une conversion missionnaire en formation à la vie chrétienne ». On vous présente un reportage sur l’Institut de formation théologique du Diocèse de Saint-Hyacinthe. Dans la troisième partie de l’émission, on s’entretient de la béatification de Guadalupe Ortiz de Landàzuri avec la collaboratrice au Bureau d’information de l’Opus Dei au Canada, Monique David.

Église en Sortie 14 juin 2019

Cette semaine à Église en Sortie, Francis Denis reçoit l’auteur, compositeur et interprète Guylan Seft pour parler de son plus récent album : « Nostalgie de l’ailleurs ». On vous présente la dernière chronique des actualités de la rue de la saison avec l’abbé Claude Paradis. Dans la troisième partie de l’émission, on s’entretient avec le philosophe et théologien Jean Proulx pour parler de son plus récent livre intitulé « J’ai perdu un être cher ».

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