Le Pape auprès des enfants du dispensaire Sainte Marthe

1486910_600175410048606_1244827986_nLe Pape a effectué une brève visite samedi matin au dispensaire pédiatrique Sainte Marthe, dans l’enceinte même du Vatican, non loin de la Maison Sainte Marthe où il vit. Il y a été accueilli par sœur Antonietta Collacchi, une religieuse des Filles de la Charité qui dirige cet institut.

Créée sous Pie XI en 1922, cette structure vient en aide aux enfants pauvres de Rome, mais aussi aux enfants malades ou souffrant de malnutrition. Le dispensaire apporte un soutien médical et psychologique et fournit également de la nourriture, du lait, des médicaments, des vêtements, des couches ou encore des jouets pour les enfants. Actuellement, il accueille 270 familles, venues du monde entier.

Après la visite du dispensaire, le Pape s’est rendu dans la salle Paul VI, la salle des audiences générales, pour rencontrer les familles, les médecins et les bénévoles qui travaillent au dispensaire, .

Le sourire du Pape, un don pour tous

« Nous vous accueillons avec simplicité et avec joie » a dit sœur Antonietta Collacchi en accueillant le Pape, soulignant que cette visite était un « don pour tous, en particulier pour nos enfants ».

Le Saint-Père a également été salué par la mère d’un enfant pris en charge au dispensaire, une Péruvienne qui a remercié le Pape pour son sourire, « un sourire qui touche le cœur de tous et qui donne une grande paix ». « Nous sommes heureux, parce que, chaque jour, tu nous aides à rencontrer Jésus » s’est réjoui cette maman en tutoyant le Pape. « Nos enfants reçoivent aujourd’hui le plus beau cadeau de Noël qu’ils pouvaient imaginer : ton sourire, ta caresse, ton accolade », a-t-elle expliqué.

Une représentation de la Sainte Famille en céramique a été offerte au Pape pour le remercier de sa visite. Les familles présentes ont également souhaité un bon anniversaire au souverain pontife qui fêtera ses 77 ans dans trois jours.

« Merci pour la joie et pour l’amour que vous avez pour ces enfants. Merci pour le gâteau d’anniversaire! », s’est réjoui le Pape.

Radio Vatican

Le pape François, homme de l’année 2013

Le Pape élu « homme de l’année » par Time Magazine

Déclaration du Père Federico Lombardi – Cité du Vatican, 11 décembre 2013 (VIS).

Time2013Le Directeur de la Salle de Presse a réagi à la décision de Time Magazine (USA) de proclamer le pape François personnalité de l’année: « Ce n’est pas une surprise, a déclaré le Père Federico Lombardi, vu l’écho et l’attention créés par son élection et le début de son pontificat. Il est positif qu’un des plus prestigieux organes de presse internationale fasse le choix de saluer un homme qui parle au monde de valeurs spirituelles, religieuses et morales, et se bat en faveur de la paix et d’une plus grande justice. Sans rechercher ni réputation ni succès, le Pape annonce l’Evangile de l’amour de Dieu envers tous. Il est heureux si cela attire et donne espoir aux gens. Décerner au pape François cette reconnaissance journalistique signifie que beaucoup ont compris, même implicitement, son message. Et ceci est une raison de se réjouir. »

Réponse du Père Thomas Rosica, C.S.B. – Assistant du Bureau de presse du Saint-Siège pour les médias de langue anglaise

Je ne peux que faire écho de la réaction du Père Lombardi. La décision du Time Magazine n’est pas une surprise. Ce dont j’ai été personnellement témoin au cours des neuf derniers mois, particulièrement en travaillant en étroite collaboration avec les médias de langue anglaise du monde entier, c’est que nombreux d’entre vous n’ont pas seulement rapporté les faits et gestes du pape François, mais ont compris le grand cadeau que le monde avait reçu le 13 Mars 2013. La vie, les messages et les gestes du pape François ont clairement dépassé les clivages religieux. Il est un instrument de paix et d’espoir pour l’humanité. Il est évident qu’il se dépasse dans sa mission et avec joie. Le monde serait moins beau sans François, Evêque de Rome.

Hommage du Pape François à Nelson Mandela

1_0_753309Le pape François a rendu ce vendredi un vibrant hommage à l’ancien président Nelson Mandela affirmant qu’il avait « forgé une nouvelle Afrique du Sud ».

Dans un télégramme au président sud-africain Jacob Zuma, le Pape « salue l’engagement constant montré par Nelson Mandela pour promouvoir la dignité humaine de tous les citoyens de la nation et forger une nouvelle Afrique du Sud basée sur les fermes fondations de la non-violence, de la réconciliation et de la vérité ».

« Je prie, conclut le Pape François, pour que l’exemple du défunt président puisse inspirer des générations de Sud-Africains à placer la justice et le bien commun en tête de leurs aspirations politiques ».

Photo: sculpture en hommage à Nelson Mandela, au sud de Durban

Radio Vatican

Le Pape prie pour les religieuses et toutes les personnes enlevées en Syrie

1_0_752535Le Pape François a lancé ce mercredi un appel pour les soeurs orthodoxes emmenées par des hommes armés dans la localité de Maaloula, dans le nord de la Syrie, et « toutes les personnes enlevées en raison du conflit » dans ce pays. A l’issue de l’audience générale sur la place Saint-Pierre, le Pape a évoqué le sort « des religieuses du monastère gréco-orthodoxe de Sainte Thècle à Maaloula en Syrie, qui ont été emmenées par la force par des hommes armés ».

« Nous prions pour ces soeurs et pour toutes les personnes enlevées en raison du conflit. Continuons à prier et à opérer ensemble pour la paix », a-t-il ajouté. Les soeurs ont été contraintes de quitter leur couvent par un groupe armé qui les a emmenées vers Yabroud.

« Noël, c’est se laisser rencontrer par Jésus »

1_0_751865« Noël n’est pas seulement une fête qui revient chaque année ou le souvenir d’une belle chose » , mais c’est « bien plus : nous allons sur ce chemin pour rencontrer le Seigneur. Noël est une rencontre. Et nous marchons pour Le rencontrer: Le rencontrer avec le cœur, avec la vie ; Le rencontrer vivant, comme Il l’est ; Le rencontrer avec foi. »

« Ce n’est pas facile de vivre avec la foi », a déclaré le Pape François dans l’homélie de la messe célébrée en la chapelle Sainte Marthe, en ce premier lundi du temps de l’Avent. « Le Seigneur, dans le texte que nous avons écouté, a ajouté le Pape en commentant le passage de l’Evangile du jour – où le centurion romain demande avec foi a Jésus de guérir son esclave – fut émerveillé par ce centurion, par sa foi. Il avait fait du chemin pour rencontrer le Seigneur, et il l’avait fait avec foi. Et c’est pour cela que non seulement il a rencontré le Seigneur, mais il a aussi ressenti la joie d’être rencontré par le Seigneur. Et c’est ce genre de rencontre que nous voulons : la rencontre de la foi ».

« Mais plus qu’être nous à rencontrer le Seigneur, a souligné le Pape, il est important de se laisser rencontrer par Lui ». « Quand nous sommes seulement nous à rencontrer le Seigneur, nous sommes nous, pour ainsi dire, les patrons de cette rencontre ; mais quand nous nous laissons rencontrer par Lui, c’est Lui qui entre en nous, c’est Lui qui nous renouvelle, parce que c’est cela que signifie la venue du Christ : renouveler le cœur, l’âme, la vie, l’espérance, le chemin. Nous sommes en chemin avec foi, avec la foi de ce centurion, pour rencontrer le Seigneur principalement pour nous laisser rencontrer par Lui ».

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Pour le Pape, il nous faut « adorer Dieu » envers et contre tout

1_0_750716« Certains pouvoirs de ce monde » voudraient que la religion soit « une chose privée ». Mais Dieu doit être adoré « avec confiance et fidélité » jusqu’à la fin. Réflexion du Pape François ce jeudi matin lors de la messe célébrée en la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican. « Les chrétiens qui aujourd’hui sont persécutés, a déclaré le Pape, sont le signe qui annonce la victoire finale de Jésus ».

Partant du passage de l’Evangile qui parle de la profanation du temple, le Pape en a parlé comme de la « profanation de la foi » qui sera le cœur de l’« épreuve finale » : « l’abomination, la désolation de l’abomination. Qu’est-ce que cela signifie ? Ce sera comme le triomphe du prince de ce monde, la défaite de Dieu », a ajouté le Pape dans son homélie. Donc, « la désolation de l’abomination », a insisté le Pape, « porte un nom précis : l’interdiction d’adorer ». « On ne peut parler de religion, ce serait une chose privée ? Publiquement on ne parle pas de ça. Les symboles religieux sont enlevés. On devrait obéir aux ordres donnés par les pouvoirs de ce monde. On peut faire un tas de choses, de belles choses, mais pas adorer Dieu. Interdiction d’adorer. Voilà le centre de cette fin », a encore affirmé le Pape.

Les chrétiens persécutés sont une prophétie de la victoire de Jésus

« Et lorsque l’on arrive à la plénitude, au ‘kairos’ de cette attitude païenne, quand s’accomplit ce temps, alors oui, Il arrivera : ‘Ils verront le Fils de l’homme arriver sur des nuées avec une grande puissance et gloire’. Les chrétiens qui souffrent la persécution, qui doivent supporter l’interdiction d’adorer sont une prophétie de ce qui arrivera à tous », a déclaré le Pape. Pourtant, a-t-il conclu, à partir du moment où « le temps des païens est accompli », c’est alors le moment de se redresser parce que « la victoire de Jésus-Christ est proche » : « N’ayons pas peur, Il nous demande seulement fidélité et patience ».

« Cette semaine, a conclu le Pape, il est bon que nous pensions à cette apostasie générale, qui s’appelle interdiction d’adoration et que nous nous demandions : ‘Moi, j’adore le Seigneur ? Moi, j’adore Jésus-Christ, le Seigneur ? Ou moitié moitié, je fais aussi le jeu du prince de ce monde ?’ Adorer jusqu’à la fin, avec confiance et fidélité : c’est la grâce que nous devons invoquer cette semaine ».

Radio Vatican

« Si nous sommes miséricordieux, nous ne craignons pas la mort »

1_0_750361Une Place Saint-Pierre battue par un vent glacial, une température frôlant zéro degré ! Un temps à ne pas mettre un Pape dehors, ni même un pèlerin. Ils étaient pourtant des dizaines de milliers ce mercredi matin pour l’audience générale autour du Pape François, tout aussi emmitouflé qu’eux. Gros manteau, écharpe, pour résister au froid. Et c’est tout naturellement du temps que le Pape a tout d’abord parlé en félicitant cette foule si nombreuse pour son courage d’affronter ce froid glacial.

La douleur des innocents, la mort des enfants, la vision religieuse et athée de la mort, ont alors été au centre de la catéchèse. « Pourquoi les enfants souffrent-ils, pourquoi meurent-ils ? », a déclaré François au début de sa catéchèse sur le Credo. « Si on la pense comme la fin de tout, a-t-il souligné, la mort fait peur, terrorise, se transforme en une menace qui brise toute relation et interrompt tout cheminement. Cela arrive lorsque nous considérons notre vie comme un temps renfermé entre deux pôles, la naissance et la mort, quand nous ne croyons pas en un horizon, quand on vit comme si Dieu n’existait pas ».

L’existence n’est pas un cheminement vers le Néant

« Cette conception de la mort, a commenté le Pape, est typique de la pensée athée, qui interprète l’existence comme un cheminement vers le néant, mais il existe aussi un athéisme pratique, qui consiste à vivre seulement pour ses propres intérêts, seulement pour les choses terrestres : si nous nous laissons envahir par cette vision erronée de la mort, nous n’avons d’autre choix que celui de l’occulter, de la nier, de la banaliser, pour qu’elle ne nous fasse pas peur, mais face à cette une fausse solution le cœur de l’homme se rebelle, avec ce désir que nous avons tous d’infini, cette nostalgie que tous nous avons de l’éternel ». « Dans les moments les plus douloureux de notre vie, a ajouté le Pape, quand nous avons perdu un être cher, des parents, un ami, un enfant, nous nous apercevons qu’un instinct puissant nous dit que notre vie ne finit pas avec la mort ». [Read more…]

« Le moment est de l’homme, le temps est de Dieu »

1_0_750165L’homme peut se croire maître du moment mais le Christ est le seul maître du temps. C’est le message adressé par le Pape François lors de la messe célébrée ce mardi matin en la Chapelle de la Maison Sainte-Marthe. Le Pape a recommandé cette vertu de pouvoir discerner chaque moment de la vie et de l’espérance en Jésus pour voir la fin des temps.
Deux conseils pour comprendre le cours du présent et se préparer à la fin des temps : la prière et l’espérance .

La prière, avec le discernement, aide à déchiffrer chaque moment de la vie et à les orienter vers Dieu. L’espérance est le phare d’un long voyage qui illumine le dernier abordage, celui d’une seule vie et ensemble – au sens eschatologique – celui de la fin des temps . Le Pape François commente l’Évangile du jour dans lequel Jésus explique aux fidèles dans le Temple ce qui se passera avant la fin de l’humanité, en les rassurant sur le fait que même la pire des tragédies ne jettera pas le désespoir sur celui qui croit en Dieu. Le Pape observe : « Sur ce chemin vers la fin du voyage de chacun d’entre nous mais également de l’humanité, le Seigneur conseille deux choses, deux choses différentes, qui sont différentes selon la façon dont nous vivons car vivre le moment est différent de vivre le temps. »

La prière et le discernement

« Le chrétien est un homme ou une femme qui sait vivre le moment et vivre le temps. Le moment est celui que nous avons en main maintenant : mais ce n’est pas le temps, ça passe ! Peut-être pouvons-nous nous sentir maître du moment mais la ruse est de nous croire maître du temps : le temps n’est pas le nôtre, le temps appartient à Dieu ! Le moment est dans nos mains et aussi notre liberté sur la façon de le prendre. Et de plus : nous pouvons devenir maître du moment, mais pour le temps il y a un seul maître, un seul Seigneur, Jésus Christ ». Donc, avertit le Pape François en citant les paroles de Jésus, il ne faut pas nous laisser tromper par le moment car il y aura quelqu’un qui profitera de la confusion pour se présenter comme le Christ. « Le chrétien, qui est un homme ou une femme du moment, doit avoir, affirme-t-il, ces deux vertus, ces deux comportements pour vivre le moment : la prière et le discernement. » [Read more…]

Résumé de l’exhortation apostolique « Evangelii Gaudium »

1_0_750059« La joie de l’Evangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus »: c’est par ces mots que s’ouvre l’exhortation apostolique Evangelii Gaudium dans laquelle le Pape François développe le thème de l’annonce de l’Evangile dans le monde actuel, en se basant, entre autres, sur la contribution offerte par les travaux du Synode qui s’est déroulé au Vatican du 7 au 28 octobre 2012 (« La nouvelle évangélisation pour la transmission de la foi chrétienne »). Après l’encyclique Lumen Fidei, rédigée en collaboration avec Benoît XVI, Evangelii Gaudium est le premier texte entièrement de la main du Pape François. Je désire, écrit-il, « m’adresser aux fidèles chrétiens, pour les inviter à une nouvelle étape évangélisatrice marquée par cette joie et indiquer des voies pour la marche de l’Eglise dans les prochaines années « . Il s’agit d’un appel vibrant à tous les baptisés afin que, avec une ferveur et un dynamisme nouveaux, ils portent à leurs prochains l’amour de Jésus dans un « état permanent de mission », en évitant « le grand risque du monde d’aujourd’hui, celui de tomber dans « une tristesse individualiste ».

Le Pape invite à « retrouver la fraîcheur originale de l’Evangile », en cherchant « de nouvelles voies » et « des méthodes créatives », et à ne pas enfermer Jésus dans nos « schémas ennuyeux ». Il faut une « conversion pastorale et missionnaire, qui ne peut laisser les choses comme elles sont » et une « réforme des structures » ecclésiales pour les rendre plus missionnaires. Le Souverain Pontife pense aussi à une « conversion de la papauté » pour qu’elle soit « plus fidèle à la signification que Jésus Christ entend lui donner et aux besoins actuels de l’évangélisation ». Le souhait que les Conférences épiscopales puissent offrir leur contribution afin que « le sentiment collégial se réalise concrètement ne s’est pas pleinement réalisé ». Il est nécessaire de procéder à une « décentralisation salutaire ». Dans ce processus de renouveau, il ne faut pas avoir peur de réviser certaines coutumes de l’Eglise qui ne sont pas « directement liées au cœur de l’Evangile…certains usages s’étant très enracinés dans le cours de l’histoire ».

Pour témoigner de l’accueil de Dieu, il faut « avoir partout des Eglises avec les portes ouvertes » afin que ceux qui cherchent ne rencontrent pas « la froideur d’une porte close ». « Même les portes des sacrements ne devraient pas se fermer pour n’importe quelle raison ». Ainsi, l’Eucharistie « n’est pas un prix destiné aux parfaits, mais un généreux remède et un aliment pour les faibles. Ces convictions ont aussi des conséquences pastorales que nous sommes appelés à considérer avec prudence et audace ». Le Pape réaffirme qu’il préfère une Eglise « accidentée, blessée et sale pour être sortie dans la rue, plutôt qu’une Eglise malade de la fermeture et du confort de s’accrocher à ses propres sécurités. Je ne veux pas une Eglise préoccupée d’être le centre et qui finit renfermée dans un enchevêtrement de fixations et de procédures. Si quelque chose doit saintement nous préoccuper…c’est que tant de nos frères vivent » sans l’amitié de Jésus-Christ. [Read more…]

Le Pape à Sainte-Marthe : les chrétiens font des choix définitifs

1_0_749696Malgré les difficultés, même dans les situations les plus extrêmes, il ne faut pas hésiter à se confier à Dieu. C’est le message adressé par le pape François lors de la messe qu’il a célébrée ce lundi matin dans la chapelle de la Maison Sainte-Marthe. Revenant sur les deux figures évoquées dans les lectures du jour, celles des Juifs esclaves à la cour de Nabuchodonosor, et la veuve qui va au Temple adorer le Seigneur, il a rappelé que les chrétiens sont appelés à des choix définitifs, comme nous l’enseignent les martyrs de chaque époque.

La veuve et les jeunes esclaves « ont choisi le Seigneur avec un cœur grand, sans intérêt personnel, sans mesquinerie. Et cela ils ne l’ont pas fait par fanatisme, non ; ils se sont confiés parce qu’ils savaient que le Seigneur est fidèle. »

« Quand nous entendons la vie des martyrs, quand nous lisons dans les journaux les persécutions contre les chrétiens, aujourd’hui nous pensons à ces frères et sœurs dans des situations limites, qui font ce choix. Eux sont un exemple pour nous et ils nous encouragent à jeter sur le trésor de l’Eglise tout ce que nous avons pour vivre » a ajouté le Pape.

Sans aller chercher des exemples de martyrs, il suffit de regarder autour de soi et de voir « toutes ces mamans, tous ces pères de famille qui chaque jour font des choix définitifs pour aller de l’avant avec leur famille, avec leurs enfants. Et cela, c’est un trésor dans l’Eglise. Eux, ils nous donnent un témoignage, et devant tant de personnes qui nous donnent ce témoignage, nous demandons au Seigneur la grâce du courage, du courage d’aller de l’avant dans notre vie chrétienne, dans les situations habituelles, communes, chaque jour et même dans les situations limites ».

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