Ce reportage relate l’expérience de deux femmes qui ont été au coeur de l’organisation de la visite de Jean-Paul II dans la ville de Québec les 9 et 10 septembre 1984.
Merci à ECDQ pour sa contribution.
Pensées et réflexions de votre chaîne catholique
Ce reportage relate l’expérience de deux femmes qui ont été au coeur de l’organisation de la visite de Jean-Paul II dans la ville de Québec les 9 et 10 septembre 1984.
Merci à ECDQ pour sa contribution.
Le 9 septembre 1984, Jean-Paul II arrivait à Québec pour une visite de douze jours en sol canadien, le plus long voyage de son pontificat. Il venait à la rencontre de tous les Canadiens qui n’ont pas hésité à aller à la rencontre de ce grand frère et pasteur.
Quels sont vos souvenirs de cette visite?
Photo: Service photographique du Vatican
Cette semaine marque le 25e anniversaire de la première visite d’un pape en terre canadienne. Jean-Paul II arrivait à Québec le 9 septembre 1984 pour un voyage de 11 jours, le plus long de son pontificat, qui l’a mené d’un bout à l’autre de notre grand pays. Si la plupart des diocèses et communautés font peu état de cet anniversaire, des Canadiens de partout se sont retrouvés cette semaine-là pour célébrer – d’où le thème simple mais évocateur de cette visite: « Célébrons notre foi. » Car c’est d’abord en tant que frère et pasteur que Jean-Paul II était venu à notre rencontre.
Pour souligner cet anniversaire, Télévision Sel + Lumière présente une émission spéciale avec des gens qui ont contribué à faire de ce voyage un moment fort de notre histoire.
Pape, Pasteur et Pèlerin relatera des moments forts, ainsi que quelques anecdotes, de la visite de Jean-Paul II au Canada en 1984.
Ce soir 19h30 et 23h30
En rappel mardi 8 septembre 12h30 et samedi 12 septembre 19h30 et 23h30.
Vous avez des souvenirs à partager? Commentez ce blogue ou écrivez-nous à info@seletlumieretv.org jusqu’au 20 septembre.
Plusieurs parents catholiques (et bien d’autres aussi) prendront note ce soir du jugement défavorable de la Cour supérieure du Québec à leur endroit. D’après le jugement, le programme d’éthique et culture religieuse en vigueur depuis un an ne brime pas la liberté de conscience et de religion des parents demandeurs. Ces derniers devraient donc rentrer dans les rangs avec leurs enfants qui suivront le cours dicté par le Ministère de l’Éducation.
Tout cela nous révèle un peu plus le type de rapport qu’entretient l’État laïc avec les religions et les croyances des personnes. La foi étant reléguée au privé, le citoyen catholique est en bout de ligne sommé de se taire lorsque sa foi et son Église sont présentées de manière insipide et dénaturée à ses enfants. C’est du moins ce que pensent des milliers de parents québécois. Après des mois de travail et de mobilisation, le jugement de la Cour supérieure est un soufflet pour ces parents et pour la Coalition pour la liberté en éducation qui milite en leur nom.
Après l’instauration du programme d’ECR en 2008, le jugement est la deuxième manche perdue par les opposants au cours d’ECR. Il est cependant trop tôt pour déclarer ces parents K.O. Lorsque des citoyens se sentent brimés dans leurs droits les plus fondamentaux, rien ne peut les empêcher de se battre. Il y a donc fort à parier que le jugement sera porté en appel.
L’ensemble des vidéos du site de Télévision Sel + Lumière sont de retour en ligne. Merci de votre patience et de votre compréhension.
Dû à un problème avec un serveur vidéo, les vidéos de notre site internet ne sont plus accessibles depuis quelques heures. Nous faisons tout pour rétablir la situation dès que possible. D’ici là, l’édition quotidienne de Zoom sera mise en ligne sur le blogue de Sel + Lumière.
Veuillez nous excuser pour ce problème technique.
Le 5 août 2009 marque le 2e anniversaire du rappel à Dieu du Cardinal Jean-Marie-Lustiger. En mission à Paris au printemps 2009, j’ai eu la chance de poser quelques questions au Cardinal André Vingt-Trois, actuel archevêque de Paris, ‘fils spirituel’ du Cardinal Lustiger, à propos de l’héritage de son prédécesseur. L’entretien a eu lieu dans les studios de KTO à Paris.
L’évangile d’aujourd’hui (Mt 14, 22-36) présente le récit de la tempête apaisée. Jésus s’adresse aux disciples dans la barque. Ils sont pris de peur en voyant Jésus marcher sur les eaux. Il leur dit : « Confiance! N’ayez pas peur!» Ces paroles furent reprises par un Pape bien connu en 1978. C’est ce même message que portait Saint Jean-Marie Vianney dont nous célébrons le 150e anniversaire du retour vers Dieu. Ce «n’ayez pas peur », ce «je suis avec vous toujours,» le Curé d’Ars le proclamait d’une façon spéciale à travers le sacrement du pardon. Plus de 100 000 pèlerins ont convergés vers le petit village français pendant la dernière année de ministère du saint prêtre. Ils allaient à la rencontre d’un prêtre ET à la rencontre de Jésus-Christ, parfois sans s’en douter. Croyaient-ils tous en l’amour du Père qui embrasse et embrase tout? Les conversions des cœurs à Ars au 19e siècle nous donne un aperçu de la grâce de la miséricorde et par-dessous tout, de cet Amour infini qui fait disparaître la peur.
Il y en a qui disent : “J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner”. C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et elle n’en a point : elle est infinie.
Jean-Marie Vianney
Ayons une pensée et une prière spéciale à l’intention de tous les prêtres du monde. Qu’à la suite du curé d’Ars, leur patron, ils soient des témoins de l’amour infinie de Dieu pour l’humanité.
Le Soleil d’hier présentait un intéressant article qui soulignait les 20 ans de l’affaire Chantal Daigle et de la décision de la Cour d’appel reconnaissait les droits de Tremblay sur le fœtus porté par son ex-conjointe, un jugement qui allait cependant être cassé deux semaines plus tard quand la Cour suprême a rendu une décision qui a fait école en droit canadien.
Le jugement de la Cour d’appel affirmait que l’enfant à naître avait un statut civil, peu importe le stade de la grossesse, et donc le droit de naître. Avant que la Cour suprême ne rende son jugement, la jeune femme s’était rendue à Boston pour subir un avortement, à la vingtième semaine de grossesse.
La décision de la Cour suprême a fait jurisprudence. Elle reconnaissait que le fœtus n’est pas compris dans le terme « être humain » employé dans la Charte québécoise des droits de la personne. Le problème est que le Charte en question n’a jamais définit ce qu’était « une personne humaine ». Aux yeux de la Cour suprême, si le législateur avait voulu accordé au fœtus le droit à la vie, il n’aurait pas laissé cette définition, ni la protection de ce droit, dans l’incertitude. Définir ce qu’est une personne, ajoutait la Cour, ne relève pas du simple jeu linguistique. [Read more…]
L’archevêque de Toronto, Mgr Thomas Collins, a fait savoir aujourd’hui que l’allocation de ShareLife assigné à Développement et Paix devra être utilisée pour des projets approuvés par les évêques locaux. Suite aux allégations à l’effet que D&P financerait indirectement des groupes en faveur de l’avortement, Mgr Collins avait demandé que l’on retienne l’allocation (1,125 million de dollars) à l’organisme pour 2009. Celle-ci représente environ le dixième du budget total de l’organisme de solidarité internationale des évêques du Canada. Organisme de charité et de solidarité du diocèse de Toronto, ShareLife réserve une portion des dons qu’elles amassent pour l’aide internationale et la remet à D&P.
Mgr Collins estime qu’une révision en profondeur de D&P est nécessaire pour garantir sa pérennité. Les recommandations des évêques qui ont enquêté au Mexique sont d’ailleurs une première étape à cet effet.
Mgr Collins suggère deux principes qui devraient gouverner la manière dont D&P finance des projets à l’étranger:
Encore une fois, LifeSiteNews était le seul site qui présentait la déclaration de l’archevêque de Toronto, s’en servant à son avantage, affirmant avoir découvert le pot-aux-roses que Mgr Collins dénoncerait par sa déclaration. Comme si on nous poussait à croire que Collins estime que le rapport de la délégation envoyée au Mexique n’est pas allé assez loin dans son enquête et ses recommandations. C’est mal comprendre les propos de l’archevêque.
La décision de Mgr Collins et ses suggestions font suite à sa rencontre avec la direction de Développement et Paix et de ShareLife la semaine dernière. Il existe un dialogue ouvert entre les divers intervenants dans ce dossier. La déclaration faite aujourd’hui n’est pas un désaveu à l’endroit de D&P mais un appel à travailler ensemble pour renouveler cet organisme. C’est ce sur quoi l’ensemble des évêques canadiens se pencheront cet automne lors de leur plénière annuelle. Ils le feront en collaboration avec les laïcs engagés au service de la solidarité et du développement intégral de nos frères et sœurs des régions défavorisées du monde.
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