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En cet été pluvieux au Canada, la fête de la Transfiguration tombe à point aujourd’hui pour nous donner de la lumière. Chaque année, le 6 août, 40 jours avant la fête de la Croix Glorieuse, l’Église fête la Transfiguration du Seigneur pour nous rappeler que le but de notre vie est d’être transfigurés par Dieu. L’évangile raconte que Jésus a pris avec lui sur la montagne Pierre, Jacques et Jean, les mêmes disciples qui seront à Gethsémani. Ce texte, que nous entendons aussi chaque année le deuxième dimanche de Carême, nous redit bien que nous sommes en marche vers la montagne de la rencontre avec Dieu. 
Il fut une époque où la publication d’une encyclique, d’une encyclique à caractère social de surcroit, aurait eu une résonnance monstre sur toute la planète, spécialement dans les pays marqués d’une forte tradition chrétienne. La chose est moins évidente de nos jours. À l’ère de Twitter et de la nouvelle instantanée, il est de plus en plus difficile de se saisir d’un texte magistral, encore plus lorsqu’il s’inspire d’une Parole éternelle et d’une doctrine sociale qui se développe depuis plus d’un siècle. Caritas in Veritate ne déroge pas à cette ‘règle’. La troisième encyclique de Benoît XVI s’inscrit dans l’enseignement social de l’Église en mettant en évidence des éléments ou des balises qui peuvent aider à traverser la crise économique actuelle. Mais voilà, les pistes sont tellement nombreuses, que le lecteur peu finir par perdre le fil conducteur du document. En bref, quelques recommandations du Saint-Père: