Bonne nouvelle: Sel et Lumière maintenant disponible sur la Côte-Nord du Québec

Sel et Lumière : maintenant disponible sur la Côte-Nord du Québec grâce à une expansion de Vidéotron
Depuis septembre, Vidéotron a introduit Sel et Lumière à de nouveaux marchés dans la région de la Côte-Nord. Grâce à la modernisation de leur système de câbles, plusieurs milliers de clients de Vidéotron auront accès à Télévision Sel et Lumière pour la première fois.  Les régions desservies incluent Tadoussac, Colombier, Baie Commeau et les régions des Escoumins, et des Chutes aux Outardes.  Le nombre d’abonnés à Sel et Lumière sur Vidéotron continue d’augmenter, en moyenne de 20% et plus par an.

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Homélie de la messe d’ouverture de l’Année de la foi


11 octobre 2012

En cette messe d’ouverture de l’Année de la foi, le pape Benoit XVI a prononcé une homélie dans laquelle il a évoqué le Concile Vatican II. La voici dans son intégralité:

Vénérés frères
Chers frères et soeurs,

À 50 ans de l’ouverture du Concile Oecuménique Vatican II, c’est avec une joie profonde que nous inaugurons aujourd’hui l’Année de la foi. Je suis heureux de saluer toutes les personnes présentes, en particulier Sa Sainteté Bartholomée I, Patriarche de Constantinople, ainsi que Sa Grâce Rowan Williams, Archevêque de Canterbury. J’ai une pensée spéciale pour les Patriarches et les Archevêques majeurs des Églises orientales catholiques et pour les Présidents des Conférences épiscopales. Pour faire mémoire du Concile, que certains d’entre nous ici présents et que je salue affectueusement ont eu la grâce de vivre personnellement, cette célébration est encore enrichie par quelques signes spécifiques : la procession initiale qui rappelle la procession inoubliable des Pères conciliaires lorsqu’’ils firent leur entrée solennelle dans cette Basilique ; l’intronisation de l’Evangéliaire, copie de celui-là même qui a été utilisé durant le Concile ; les sept Messages finaux du Concile ainsi que le Catéchisme de l’Église catholique que je remettrai à la fin de la Messe, avant la Bénédiction. Non seulement ces signes nous rappellent le devoir de commémoration qui est le nôtre, mais ils nous offrent aussi l’opportunité de dépasser cette perspective pour aller au-delà. Ils nous invitent à entrer plus avant dans le mouvement spirituel qui a caractérisé Vatican II, pour se l’’approprier et lui donner tout son sens. Ce sens fut et demeure la foi en Christ, la foi apostolique, animée par l’’élan intérieur qui pousse à annoncer le Christ à chaque homme et à tous les hommes pendant le pèlerinage de l’Église sur les chemins de l’histoire.

La cohérence entre l’Année de la foi que nous ouvrons aujourd’hui et le chemin que l’Église a parcouru depuis les 50 dernières années est évidente : à commencer par le Concile, puis à travers le Magistère du Serviteur de Dieu Paul VI qui, déjà en 1967, avait proclamé une « Année de la foi », jusqu’’au Grand Jubilé de l’’an 2000 par lequel le Bienheureux Jean-Paul II a proposé à nouveau à toute l’’humanité Jésus-Christ comme unique Sauveur, hier, aujourd’’hui et pour toujours. Entre ces deux pontifes, Paul VI et Jean-Paul II, existe une convergence totale et profonde précisément au sujet du Christ, centre du cosmos et de l’histoire, ainsi qu’au regard du zèle apostolique qui les a portés à l’annoncer au monde. Jésus est le centre de la foi chrétienne. Le chrétien croit en Dieu par Jésus qui nous en a révélé le visage. Il est l’’accomplissement des Écritures et leur interprète définitif. Jésus-Christ n’est pas seulement objet de la foi mais, comme le dit la Lettre aux Hébreux, il est « celui qui donne origine à la foi et la porte à sa plénitude » (He 12,2).

L’’Évangile de ce jour nous dit que Jésus, consacré par le Père dans l’Esprit-Saint, est le sujet véritable et pérenne de l’évangélisation. « L’Esprit du Seigneur est sur moi pour cela il m’’a consacré par l’’onction et m’’a envoyé annoncer aux pauvres une bonne nouvelle » (Lc 4,18). Cette mission du Christ, ce mouvement, se poursuit dans l’’espace et dans le temps, il traverse les siècles et les continents. C’’est un mouvement qui part du Père et, avec la force de l’’Esprit, porte la bonne nouvelle aux pauvres de tous les temps, au sens matériel et spirituel. L’’Église est l ’instrument premier et nécessaire de cette œœuvre du Christ parce qu’elle est unie à Lui comme le corps l’est à la tête. « Comme le Père m’’a envoyé, moi-aussi je vous envoie » (Jn 20, 21). C’’est ce qu’’a dit le Ressuscité aux disciples et, soufflant sur eux, il ajouta : « Recevez l’’Esprit Saint » (v. 22). C’est Dieu le sujet principal de l’évangélisation du monde, à travers Jésus-Christ ; mais le Christ lui-même a voulu transmettre à l’’Église sa propre mission, il l’a fait et continue de le faire jusqu’’à la fin des temps en répandant l’’Esprit-Saint sur les disciples, ce même Esprit qui se posa sur Lui et demeura en Lui durant toute sa vie terrestre, Lui donnant la force de « proclamer aux prisonniers la libération et aux aveugles la vue », de « remettre en liberté les opprimés » et de « proclamer une année de grâce du Seigneur » (Lc 4, 18-19).

Le Concile Vatican II n’a pas voulu consacrer un document spécifique au thème de la foi. Pourtant, il a été entièrement animé par la conscience et le désir de devoir, pour ainsi dire, s’’immerger à nouveau dans le mystère chrétien, afin d’’être en mesure de le proposer à nouveau efficacement à l’’homme contemporain. A cet égard, le Serviteur de Dieu Paul VI déclarait deux ans après la clôture de l’Assise conciliaire : « Si le Concile ne traite pas expressément de la foi, il en parle à chaque page, il en reconnait le caractère vital et surnaturel, il la répute entière et forte et établit sur elle toutes ses affirmations doctrinales. Il suffirait de rappeler quelques affirmations conciliaires […] pour se rendre compte de l’’importance essentielle que le Concile, en cohérence avec la tradition doctrinale de l’’Église, attribue à la foi, à la vraie foi, celle qui a pour source le Christ et pour canal le magistère de l’Eglise (Catéchèse de l’’Audience générale du 8 mars 1967). Ainsi s’exprimait Paul VI.

Mais nous devons maintenant remonter à celui qui a convoqué le Concile Vatican II et qui l’’ouvrit : le Bienheureux Jean XXIII. Dans son discours inaugural, celui-ci présenta le but principal du Concile en ces termes : « Voici ce qui intéresse le Concile Œœcuménique : que le dépôt sacré de la doctrine chrétienne soit défendu et enseigné de façon plus efficace. (…) Le but principal de ce Concile n’’est donc pas la discussion de tel ou tel thème de doctrine … pour cela il n’’est pas besoin d’’un Concile … Il est nécessaire que cette doctrine certaine et immuable, qui doit être fidèlement respectée, soit approfondie et présentée de façon à répondre aux exigences de notre temps » (AAS 54 [1962], 790.791-792)

À la lumière de ces paroles, on comprend ce que j’ai moi-même eu l’occasion d’expérimenter : durant le Concile il y avait une tension émouvante face au devoir commun de faire resplendir la vérité et la beauté de la foi dans l’aujourd’’hui de notre temps, sans pour autant sacrifier aux exigences du moment présent ni la confiner au passé : dans la foi résonne l’éternel présent de Dieu, qui transcende le temps et qui pourtant ne peut être accueillie par nous que dans notre aujourd’hui qui est unique. C’’est pourquoi je considère que la chose la plus importante, surtout pour un anniversaire aussi significatif que celui-ci, est de raviver dans toute l’’Église cette tension positive, ce désir d’’annoncer à nouveau le Christ à l’’homme contemporain. Mais afin que cet élan intérieur pour la nouvelle évangélisation ne reste pas seulement virtuel ou ne soit entaché de confusion, il faut qu’il s’appuie sur un fondement concret et précis, et ce fondement est constitué par les documents du Concile Vatican II dans lesquels il a trouvé son expression. Pour cette raison, j’ai insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de revenir, pour ainsi dire, à la  » lettre  » du Concile – c’’est-à-dire à ses textes –pour en découvrir aussi l’’esprit authentique, et j’ai répété que le véritable héritage du Concile réside en eux. La référence aux documents protège des excès ou d’une nostalgie anachronique et ou de courses en avant et permets d’’en saisir la nouveauté dans la continuité. Le Concile n’’a rien produit de nouveau en matière de foi et n’’a pas voulu en ôter ce qui est antique. Il s’est plutôt préoccupé de faire en sorte que la même foi continue à être vécue dans l’’aujourd’’hui, continue à être une foi vivante dans un monde en mutation.

Si nous acceptons la direction authentique que le Bienheureux Jean XXIII a voulu imprimer à Vatican II, nous pourrons la rendre actuelle durant toute cette Année de la foi, dans l’’unique voie de l’’Église qui veut continuellement approfondir le dépôt de la foi que le Christ lui a confié. Les Pères conciliaires entendaient présenter la foi de façon efficace. Et s’ils se sont ouverts dans la confiance au dialogue avec le monde moderne c’est justement parce qu’’ils étaient sûrs de leur foi, de la solidité du roc sur lequel ils s’’appuyaient. En revanche, dans les années qui ont suivi, beaucoup ont accueilli sans discernement la mentalité dominante, mettant en discussion les fondements même du depositum fidei qu’’ils ne ressentaient malheureusement plus comme leurs dans toute leur vérité.

Si aujourd’hui l’Église propose une nouvelle Année de la foi ainsi que la nouvelle évangélisation, ce n’est pas pour célébrer un anniversaire, mais parce que c’’est une nécessité, plus encore qu’’il y a 50 ans ! Et la réponse à donner à cette nécessité est celle voulue par les Papes et par les Pères du Concile, contenue dans ses documents. L’’initiative même de créer un Conseil Pontifical destiné à promouvoir la nouvelle évangélisation, que je remercie pour les efforts déployés pour l’’Année de la foi, entre dans cette perspective. Les dernières décennies ont connu une « désertification » spirituelle. Ce que pouvait signifier une vie, un monde sans Dieu, au temps du Concile, on pouvait déjà le percevoir à travers certaines pages tragiques de l’’histoire, mais aujourd’hui nous le voyons malheureusement tous les jours autour de nous. C’’est le vide qui s’’est propagé. Mais c’’est justement à partir de l’’expérience de ce désert, de ce vide, que nous pouvons découvrir de nouveau la joie de croire, son importance vitale pour nous, les hommes et les femmes. Dans le désert on redécouvre la valeur de ce qui est essentiel pour vivre ; ainsi dans le monde contemporain les signes de la soif de Dieu, du sens ultime de la vie, sont innombrables bien que souvent exprimés de façon implicite ou négative. Et dans le désert il faut surtout des personnes de foi qui, par l’’exemple de leur vie, montrent le chemin vers la Terre promise et ainsi tiennent en éveil l’’espérance. La foi vécue ouvre le cœœur à la Grâce de Dieu qui libère du pessimisme. Aujourd’’hui plus que jamais évangéliser signifie rendre témoignage d’’une vie nouvelle, transformée par Dieu, et ainsi indiquer le chemin. La première Lecture nous a parlé de la Sagesse du voyageur (cf. Sir 34,9-13) : le voyage est une métaphore de la vie et le voyageur sage est celui qui a appris l’’art de vivre et est capable de le partager avec ses frères – comme c’’est le cas pour les pèlerins sur le Chemin de Saint-Jacques ou sur les autres voies qui ont connu récemment, non par hasard, un regain de fréquentation. Comment se fait-il que tant de personnes ressentent le besoin de parcourir ces chemins ? Ne serait-ce pas parce qu’ils trouvent là, ou au moins y perçoivent quelque chose du sens de notre être au monde ? Voici alors la façon dont nous pouvons penser cette Année de la foi : un pèlerinage dans les déserts du monde contemporain, au cours duquel il nous faut emporter seulement ce qui est essentiel : ni bâton, ni sac, ni pain, ni argent et n’ayez pas deux tuniques –comme dit le Seigneur à ses Apôtres en les envoyant en mission (cf. Lc 9,3) – mais l’’Évangile et la foi de l’’Église dont les documents du Concile Œœcuménique Vatican II sont l’’expression lumineuse, comme l’’est également le Catéchisme de l’’Église catholique, publié il y a 20 ans maintenant.

Vénérés et chers Frères, le 11 octobre 1962 on célébrait la fête de la Vierge Marie, Mère de Dieu. C’est à elle que nous confions l’Année de la foi, comme je l’’ai fait il y a une semaine lorsque je suis allé en pèlerinage à Lorette. Que la Vierge Marie brille toujours comme l’’étoile sur le chemin de la nouvelle évangélisation. Qu’’elle nous aide à mettre en pratique l’’exhortation de l’Apôtre Paul : « Que la Parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et reprenez-vous les uns les autres avec une vraie sagesse.… Et tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus Christ, en offrant par lui votre action de grâce à Dieu le Père » (Col 3,16-17). Amen.

Fête de St Jean de Brébeuf, d’Isaac Jogues et de leurs compagnons martyrs

En la fête de St Jean de Brébeuf, d’Isaac Jogues et de leurs compagnons martyrs, nous publions l’homélie prononcée par Mgr Gérald Lacroix ce matin a la messe de la plénière de la CECC

Très chers frères et soeurs, « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit ». « Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. » Avec un peu d’expérience en jardinage ou en agriculture, nous constatons que Jésus dit vrai lorsqu’il parle de la semence, du grain qui doit être mis en terre, « mourir », pour donner du fruit. C’est un processus naturel. Mais ça prend de la foi, une bonne dose de foi pour le suivre et pren-dre le chemin du don de notre vie afin qu’à la suite de Jésus, elle donne du fruit. Et cela n’est pas naturel, mais plutôt surnaturel. [Read more…]

Documentaire sur l’université catholique de Bethléem à Ottawa

Ce soir à 19h à l’Université St Paul d’Ottawa, Sel et Lumière présente Across the divide, un documentaire qui nous met au coeur de la vie des étudiantes et étudiants de l’université de Bethléem.

Ce documentaire réalisé par Kris Dmytrenko sortira cet automne en français .

 

Funérailles du Cardinal Carlo Maria Martini, s.j. en direct sur S+L

Avec un accord particulier avec le père Federico Lombardi, s.j., le Centre de Télévision du Vatican, la chaîne nationale RAI d’Italie, et Telepace en Italie, Sel et Lumière transmettra en direct les funérailles du Cardinal Carlo Maria Martini, s.j., archevêque émérite de Milan, lundi matin 3 septembre 2012, à partir de 9h55 (ET).  La messe sera diffusée en direct de la cathédrale (Duomo) de Milan.  Nous vous invitons à vous joindre à nous et à prier en action de grâce pour la vie et le ministère fécond de ce grand pasteur et maître, qui se trouve maintenant dans la présence du Seigneur de l’Église qu’il a aimé et servi avec dévouement.  Pour ceux et celles qui n’ont pas accès à notre chaine sur vos télévisions, vous pourrez vous joindre à nous à travers notre service « live streaming » sur notre site Internet: http://saltandlighttv.org/live/

Père Thomas Rosica, c.s.b.,
Directeur général, Télévision Sel et Lumière

Mariage lumineux

Elena et Joshua

 

Danielle et Brendan


Ce mois d’août commence par des réjouissances.
Deux de nos collègues se sont mariés samedi 4 aout :
Danielle Jones, qui assure le montage et qui travaille dans l’ombre, pour réaliser nos émissions.

Joshua Lanzarini, notre webmestre qui effectue la mise à jour de notre site, visité par des milliers de personnes du monde entier.

Ces deux mariages se sont déroulés le même jour mais dans deux endroits différents
Joshua et Elena en Italie
Danielle et Brendan à Toronto

Rayonnants de joie, leur amour dynamise et illumine notre équipe.
Nous leur offrons tous nos vœux de bonheur et de fidélité.

 

 

 

Focus catholique: Syrie terre de réconciliation

Depuis des mois la Syrie est plongée dans une guerre fratricide. Malgré les combats violents et les drames qui en découlent, beaucoup de Syriens prônent un retour à la paix à travers le dialogue et la compréhension mutuelle. Le Père Paolo Dall’Oglio s.j. nous parle de son expérience de 30 ans en Syrie ainsi que des circonstances qui ont mené à son extradition.

Cette émission sera diffusée sur nos ondes vendredi 3 août et dimanche 6 août à 19h30.

Batman : Un super héros de plus?

Image: Courtoisie de CNS

La sortie du dernier chapitre de la trilogie Batman The Dark Knight rises fut ternie par une tragédie indescriptible soulevant toutes sortes de questions de société. Mais le film comme tel pose lui aussi beaucoup de questions à la pensée contemporaine. Comment en effet, ce genre de film où l’on se projette dans un monde chaotique  où la violence semble la seule solution pour résoudre les conflits peut-il rapporter 160 millions au box office en une fin de semaine ?

Je dois dire que je suis de la génération qui a grandi aux côtés des super héros. J’ai vu tous les films de Batman à leur sortie au cinéma. Plusieurs personnes que je connais ont de la difficulté à comprendre pourquoi je suis attiré par ce genre de film. Il est certain que ces films d’action nous font vivre des sensations fortes et nous font sortir de notre vie quotidienne. Cependant, dans le cas du film The Dark Knight rises, je peux affirmer que cela va beaucoup plus loin. Cette trilogie nous met en face de l’une des angoisses les plus profondes de notre temps : tout homme est capable du pire. On a affaire à beaucoup plus qu’un simple film de super héros où les bons et les méchants s’affrontent dans un combat sans merci.

En effet, depuis des décennies déjà, les sciences humaines nous ont appris à ne plus diaboliser les êtres humains. La psychologie, la sociologie, l’économie, les sciences politiques, etc. n’ont cessé de nous rappeler que nos comportements sont fortement influencés par des agents extérieurs. Ce qui a pu porter beaucoup d’entre nous à douter de leur capacité même de choisir le bien c’est-à-dire d’être véritablement libre. Cela signifie que nous avons même parfois de la peine à identifier une personne méchante comme responsable de ses actes.  Ce qui m’a marqué dans ce film, c’est que les vilains semblent totalement libres et conscients de la gravité de leurs actes. Les bons comme les méchants sont à la recherche du même but : rétablir la justice, la loi et l’ordre. [Read more…]

Focus Catholique: la Montée Jeunesse

Du 18 au 21 mai 2012, des centaines de jeunes se sont retrouvés à Montréal pour trois jours de prière, de musique et de partage.

Découvrez le dynamisme de la Montée Jeunesse dans ce nouveau Focus catholique.

Vendredi 20 juillet 19h30 et 23h30
Dimanche 22 juillet 19h30 et 23h30

Chorale Anguelos

Hier, j’étais fatiguée par la chaleur. Je suis allée écouter les jeunes de la chorale Anguelos de l’École Chevreul à Marseille à la paroisse Sacré-Cœur de Toronto. Ces jeunes voix m’ont rafraichie et réjouie !!!
Un air de la Méditerranée souffle sur cette chorale de jeunes qui offre un répertoire varié avec notamment de magnifiques chants à Marie.

Donc en cet été , la Provence vient à vous par les voix magnifiques des jeunes de la chorale Anguelos. Ne les manquez pas lors de leur passage :
Pierrefonds-Roxboro
Mercredi 25 juillet
A 20h à l’église Marie-Reine de la Paix
Sherbrooke
Jeudi 26 juillet à l’église St François d’Assise à 19h
Trois Rivières
Vendredi 27 juillet à la cathédrale
Messe à 17h et concert à 19h
Québec
Samedi 28 juillet concert à 19h à la cathédrale

Rivière-du-Loup
29 juillet: concert à 19h à l’église St-Patrice
30 juillet: Concert à 19h à la cathédrale
Chicoutimi
31 juillet: concert à 19h à  la paroisse du Sacré-Coeur
Alma
1 août: Concert à 19h – paroisse St-Joseph
Charlesbourg
3 août: concert à 19h à l’église St-Charles-Borromée

Bon concert

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