Messes de la Neuvaine à saint Joseph en direct de la Crypte de l’Oratoire à Montréal

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L’un des plus importants pèlerinages de l’année à l’Oratoire Saint-Joseph de Montréal a lieu au mois de mars alors que se tient la grande neuvaine annuelle dédiée à saint Joseph. Pendant neuf jours, du 10 au 18 mars 2015, Télévision Sel + Lumière télédiffusera la messe quotidienne célébrée à 19h30 dans la Crypte de l’Oratoire. Ces célébrations seront une merveilleuse préparation à la fête de saint Joseph, époux de Marie, et qui sera présidée le 19 mars par le Père Thomas Rosica c.s.b à 8 :00 am. La neuvaine à saint Joseph est présentée sous un thème différent chaque année, mettant en valeur un aspect ou l’autre de la foi chrétienne. Cette année le thème de la neuvaine est : « Avec Joseph, sur le chemin du bonheur ». Soyez nombreux à vous joindre à nous par l’entremise de la télévision et la prière en cette période importante de l’année liturgique !

Pour plus d’information, vous pouvez accéder à l’horaire en cliquant le lien ci-dessous :

http://www.saint-joseph.org/sites/default/files/documents/feuillet_neuvaine2015-web.pdf

Échos du Vatican – 24 février 2015

Le pape François appelle à vivre le Carême dans la vérité du coeur

Lors de la messe qu’il a célébrée ce vendredi 20 février en la chapelle de la résidence Sainte-Marthe, le Pape François a insisté sur l’effort de cohérence que chaque chrétien doit entreprendre dans le temps du Carême.

Ne pas utiliser Dieu pour masquer les injustices

Les chrétiens, spécialement pendant la période du Carême, sont appelés à vivre de façon cohérente l’amour pour Dieu et l’amour pour le prochain. C’est un des passages clefs de l’homélie de la messe que le Pape François a célébrée ce vendredi matin en la chapelle Sainte-Marthe. Le Pape a mis en garde contre celui qui envoie un chèque à l’Église et qui ensuite, se comporte injustement avec ses employés.

Le peuple proteste devant le Seigneur parce qu’il n’écoute pas leurs jeûnes. Le Pape François a commencé sa méditation en partant du passage d’Isaïe dans la première lecture. Et ensuite, il a souligné qu’il faut opérer une distinction entre le « formel et le réel ». Pour le Seigneur, a-t-il observé, « il ne s’agit pas de faire le jeûne, de ne pas manger de viande » et ensuite de« se disputer et exploiter les ouvriers ». Voilà pourquoi Jésus a condamné les pharisiens qui accomplissaient « tant d’actes extérieurs mais sans la vérité du cœur ».

L’amour pour Dieu et pour son prochain sont unis

Au contraire, le jeûne que désire Jésus est celui qui défait les chaînes injustes, qui libère les opprimés, qui habille les pauvres, qui fait justice.« Ceci, a répété le Pape, est le vrai jeûne, le jeûne qui n’est pas seulement extérieur, comme une application externe, mais c’est un jeûne qui vient du cœur ».

« Sur les Tables de la loi, il y a la loi sur Dieu et la loi sur le prochain et tous deux vont ensemble. Je ne peux pas dire : « J’accomplis les trois premiers commandements…et les autres, plus ou moins. Non, si tu fais ceci, tu ne peux pas faire cela et si tu fais cela, tu dois faire ceci. Ils sont unis : l’amour pour Dieu et l’amour du prochain sont une unité et si tu veux faire une pénitence qui soit réelle et non formelle, tu dois la faire devant Dieu et avec ton frère, avec ton prochain ».

C’est un grave péché que d’utiliser Dieu pour masquer l’injustice

« On peut avoir la foi, a-t-il poursuivi, mais- comme le dit l’apôtre Jacques- « sans œuvres, la foi est comme morte. A quoi cela sert-il ? Ainsi, si une personne assiste à la messe tous les dimanches et communie, on peut lui poser les questions suivantes : « Quel est ton rapport avec tes employés ? Les paies-tu en noir ? Leur paies-tu un juste salaire ? Leur verses-tu une contribution pour leur pension ? Pour leur assurer les soins de santé ? »

« Combien sont les hommes et les femmes de foi, qui ont la foi mais qui ne partagent pas les Tables de la loi : « Oui, je fais cela »- Mais donnes-tu l’aumône ?- Oui, j’envoie toujours un chèque à l’Église- Ah, d’accord. Mais avec ton Église, chez toi, avec ceux qui dépendent de toi- que ce soit tes enfants, tes grands-parents, tes employés- es-tu généreux ? Es-tu juste ? Tu ne peux pas faire d’offres à l’Église pour camoufler l’injustice que tu accomplis avec tes employés. C’est un péché très grave : c’est utiliser Dieu pour masquer l’injustice ».

« Et ça, a t’il repris, c’est ce que le prophète Isaïe nous fait comprendre aujourd’hui au nom du Seigneur”: “Celui qui ne fait pas justice avec les personnes qui dépendent de lui n’est pas un bon chrétien”. Et n’est pas un bon chrétien, ajoute t’il,  celui qui ne se défait pas de quelque chose qui lui est nécessaire pour le donner à un autre qui en a besoin ». Le chemin de Carême, a-t-il encore dit, « est double, envers Dieu et envers le prochain : c’est-à-dire qu’il est réel et pas seulement formel. Ce n’est pas seulement ne pas manger de viande le vendredi, faire quelque chose et puis, accroître l’égoïsme, l’exploitation du prochain, l’ignorance des pauvres ». Il y a celui qui, raconte le Pape, s’il a besoin de se soigner, se rend à l’hôpital et comme il est affilié à une mutuelle, il est tout de suite visité. « C’est une bonne chose, a commenté le Pape, il remercie le Seigneur. Mais, dis-moi, as-tu pensé à ceux qui n’ont pas ce même rapport social avec l’hôpital et que lorsqu’ils arrivent, ils doivent attendre 6, 7 ou 8 heures, même pour quelque chose d’urgent. »

Pendant le Carême, nous faisons place dans notre cœur pour celui qui a commis une faute

Il y a des personnes, à Rome, a-t-il averti, qui vivent ainsi et le Carême est le moment « pour penser à eux : que puis-je faire pour les enfants, pour les personnes âgées qui n’ont pas la possibilité d’être visitées par un médecin », qui attendent peut-être « huit heures et ensuite, obtiennent un rendez-vous pour la semaine prochaine ». « Que fais-tu pour ces personnes ? »  demande le Pape François. « Grâce à Dieu, j’ai une famille qui accomplit les commandements, qui n’ont pas de problèmes… »  « Mais en cette période de Carême, demande encore le Pape, il y a-t-il dans ton cœur un endroit pour ceux qui n’ont pas accompli les commandements ? Qui ont mal agi et sont en prison ? » :

« Non, pas ces personnes… Mais lui se trouve en prison : si tu n’es pas en prison, c’est parce que le Seigneur t’a aidé à ne pas tomber. Dans ton cœur, les prisonniers ont-ils une place ? Pries-tu pour eux afin que le Seigneur les aide à changer de vie ? Accompagne, Seigneur, notre chemin de Carême pour que l’observation extérieure corresponde à un profond renouvellement de l’Esprit. Voilà notre prière. Que le Seigneur nous donne cette grâce ».

Radio Vatican

Échos du Vatican – 17 février 2015

Message du Pape François pour la XXXe Journée mondiale de la Jeunesse

AFP3476493_Articolo« Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8)

Chers jeunes,

Nous continuons notre pèlerinage spirituel vers Cracovie, où en juillet 2016 se tiendra la prochaine édition internationale des Journées Mondiales de la Jeunesse. Sur notre chemin nous avons choisi comme guide les Béatitudes évangéliques. L’année dernière nous avons réfléchi sur la Béatitude des pauvres en esprit, insérée dans le contexte plus large du « discours sur la montagne ». Nous avons découvert ensemble la signification révolutionnaire des Béatitudes et l’appel fort de Jésus à nous lancer avec courage dans l’aventure de la recherche du bonheur. Cette année nous réfléchirons sur la sixième Béatitude : « Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8).

  1. Le désir du bonheur

Le mot bienheureux ou plutôt heureux apparaît neuf fois dans cette première grande prédication de Jésus (cf. Mt 5, 1-12). Il est comme un refrain qui nous rappelle l’appel du Seigneur à parcourir avec lui une route qui, malgré tous les défis, est la voie du vrai bonheur.

Oui, chers jeunes, la recherche du bonheur est commune à toutes les personnes, de tous les temps, et de tous les âges. Dieu a déposé dans le cœur de chaque homme et de chaque femme un désir irrépressible de bonheur, de plénitude. Ne sentez-vous pas que vos cœurs sont inquiets et en recherche continuelle d’un bien qui puisse étancher leur soif d’infini ? [Read more…]

Messe avec les cardinaux et angélus du dimanche 15 février 2015

REUTERS666172_ArticoloLe Pape aux nouveaux cardinaux : « Servir les exclus est notre unique titre d’honneur ! »

Ce dimanche, le pape François a présidé la Messe dans la Basilique Saint-Pierre de Rome. Accompagné par le Collège des cardinaux, cette célébration avait pour but de rendre grâce à Dieu le lendemain de la création de vingt nouveaux cardinaux venant de partout dans le monde. Nous vous présentons ici l’homélie du pape François lors de cette Messe dominicale. Elle est très importante non seulement parce qu’elle se réfère à cette rencontre avec les cardinaux mais aussi parce qu’elle offre une profonde réflexion sur la mission et la vocation du pape François, de ses espoirs pour l’Église entière. Cette homélie du Pape devrait être considérée comme une très bonne introduction au prochain Synode des évêques sur la famille en octobre 2015. Ci-dessous, vous trouverez la version officielle de la traduction française de l’homélie du Saint-Père.

“Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier”… Jésus, saisi de compassion, étendit la main, le toucha et lui dit : “ Je le veux, sois purifié!” (cf. Mc 1, 40-41). La compassion de Jésus ! Ce “pâtir avec” qui le rapprochait de toute personne souffrante! Jésus, ne se ménage pas, au contraire il se laisse impliquer dans la douleur et dans le besoin des gens… simplement, parce qu’il sait et veut “pâtir avec”, parce qu’il a un cœur qui n’a pas honte d’avoir “compassion”.

« Il ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville, mais restait à l’écart, dans des endroits déserts » (Mc 1, 45). Cela signifie que, en plus de guérir le lépreux, Jésus a pris aussi sur lui la marginalisation que la loi de Moïse imposait (cf. Lv 13, 1-2. 45-46). Jésus n’a pas peur du risque d’assumer la souffrance de l’autre, mais il en paie le prix jusqu’au bout (cf. Is 53, 4). [Read more…]

“Le cardinal doit être incardiné dans l’Eglise et docile à l’Esprit”

BXVI Consistory 2015Cité du Vatican, 14 février 2015 (VIS). Ce matin en la Basilique vaticane, le Saint-Père a imposé la barrette et attribué leur titre cardinalice au nouveaux Cardinaux. Sur les vingt désignés ne manquait que Mgr.José de Jesús Pimiento Rodríguez, retenu pour raison de santé et d’âge. Il recevra le cardinalat dans quelques jours en Colombie. Présent auprès des Cardinaux, Benoît XVI a été applaudi par l’assemblée puis salué par son successeur. Au début de la cérémonie, le nouveau Cardinal Préfet du Tribunal suprême de la signature Apostolique, Mgr.Dominique Mamberti s’est adressé au Pape au nom de ses confrères: Devenir cardinal, a-t-il dit, “nous insère de manière particulière dans l’histoire de l’Eglise de Rome qui, selon la belle formule d’Ignace d’Antioche, préside à la charité. Ainssi sommes nous invités à sortir de nous mêmes et de nos commodes habitudes pour servir la mission de l’Eglise, ce qui implique ouvrir encore plus notre horizon”. Avant de remettre la barrette, l’anneau et le titre à chacun des élus, le Pape François a prononcé l’allocution suivante:

Chers frères cardinaux,

Le cardinalat est certainement une dignité, mais elle n’est pas honorifique. Le mot « cardinal », qui évoque la « charnière », le dit bien ; ce n’est donc pas quelque chose d’accessoire, de décoratif, qui fait penser à une décoration, mais un pivot, un point d’appui et de mouvement essentiel à la vie de la communauté. Vous êtes des « pivots » et vous êtes incardinés dans l’Église de Rome, qui « préside au rassemblement universel de la charité » (Conc. Oecum. Vat. II, Const. Lumen Gentium, 13 ; cf. Ign. Ant., Ad Rom., Prologue). Dans l’Église, toute présidence vient de la charité, doit s’exercer dans la charité et a comme fin la charité. En cela aussi l’Église qui est à Rome joue un rôle exemplaire : à la manière dont elle préside dans la charité, toute Église particulière est appelée, dans son domaine, à présider dans la charité. [Read more…]

Échos du Vatican – 10 février 2015

Réflexion pour la Journée mondiale des malades, le 11 février 2015

sick10La maladie

Il m’arrive parfois de rêver que j’aurais pu créer un monde meilleur que ce que Dieu a fait. Bien sûr, quelqu’un pourrait répliquer que Dieu a bien fait un monde meilleur que celui-ci, mais que nos premiers ancêtres l’ont ruiné. Cette même personne pourrait ajouter que les humains continuent de ruiner la Terre par leur fierté, leur avidité et leur égoïsme.

Mais la maladie? Dans la comédie musicale Un violon sur le toit (Fiddler on the Roof), Tevye demande à Dieu : « Est-ce que cela gâcherait un vaste plan quelconque si j’étais un homme riche? » Je rêve de demander la même question à Dieu à propos de la maladie. Le plan éternel ne serait-il pas aussi bon, sinon mieux, s’il n’y avait pas de maladie?

D’accord, assez rêver, passons à la théologie. La théologie est parfois meilleure que le rêve… alors voici quelques préliminaires théologiques. En premier lieu, la maladie existe en notre monde à cause du péché originel. Elle ne fait pas partie du «plan éternel» et elle n’est pas non plus un châtiment divin. En second lieu, l’Église parle vraiment du « faute heureuse » de la chute (l’Exultet). Avec le Verbe incarné de Dieu, ce monde est infiniment mieux que l’original. La maladie fait partie de ce monde.

sick11Je pense alors que si on enlevait la maladie, on gâcherait le vaste plan éternel. Il s’agit là du fondement de la structure de notre compréhension de la maladie. Par où commencer? La maladie tombe dans le périmètre du problème du mal. Nous pouvons entrevoir brièvement le sens de ce mystère qui nous enveloppe. En voici quelques aperçus.

La douleur et la souffrance n’ont aucune valeur intrinsèque, comme si Dieu se plaisait à voir les gens souffrir. Nous travaillons selon le plan de Dieu pour éliminer la douleur. Les centres de soins palliatifs, lorsqu’ils parviennent à gérer la douleur physique, mentale et spirituelle, s’inscrivent en continuité historique avec les grandes œuvres des congrégations religieuses d’hommes et de femmes vouées au soin des malades et des mourants.

Certaines personnes endurent la douleur afin de garder la tête claire au lieu d’être sans douleur, mais avec un esprit confus. Ceci est tout à fait acceptable. Dans de telles situations, la douleur peut être associée au Christ pour l’œuvre du Salut.

La douleur peut nous amener à prendre conscience de notre faiblesse, à réaliser à quel point nous sommes dépendants des autres, et ultimement, dépendants de Dieu. Nous aimons croire que nous sommes les maîtres de tout ce qui nous entoure. La souffrance nous empêche d’avoir cette prétention. Sans ce constat, il nous est impossible de vivre la première béatitude, « Bienheureux les pauvres d’esprit, » sans laquelle toute vie spirituelle est impossible. Nous pouvons nous appuyer uniquement sur la force de Dieu.

La douleur et la souffrance nous rapprochent. Combien de fois, les gens créent des liens en aidant une personne malade : parents, amis, travailleurs de la santé et bénévoles de tout acabit.

À la fin, la souffrance et la douleur demeurent un mystère. Bienheureux ceux et celles qui sont malades, qui ne comprennent pas tout, mais qui se soumettent à la volonté de Dieu qui les aime sans compter. Ces personnes sont un don pour toute l’Église, car elles évangélisent à travers leur amour incarné et leur endurance patiente.

Père Leo Walsh, c.s.b.

Déclaration du président de la CECC sur l’aide médicale à mourir

DurocherDéclaration sur l’aide médicale à mourir
de Mgr Paul-André Durocher, archevêque de Gatineau et
président de la Conférence des évêques catholiques du Canada

De par leur foi, les catholiques sont appelés à aider toute personne dans le besoin, surtout les pauvres, les souffrants et les mourants. Réconforter les personnes mourantes et les accompagner dans l’amour et la solidarité sont des expressions importantes de la miséricorde chrétienne reconnues par l’Église depuis ses débuts.

Toutefois, aider une personne à se suicider n’est ni un acte de justice ou de miséricorde, ni un soin palliatif. La décision prise aujourd’hui par la Cour suprême du Canada ne change pas l’enseignement catholique. «  Ainsi une action ou une omission qui, de soi ou dans l’intention, donne la mort afin de supprimer la douleur, constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect du Dieu vivant, son Créateur.  » (Catéchisme de l’Église catholique, 2277)

Les évêques de notre pays invitent les Canadiens et les Canadiennes, surtout les catholiques, à faire tout en leur pouvoir pour apporter réconfort et appui à toutes les personnes qui sont mourantes et à celles qui leur sont chères, pour qu’aucune d’entre elles, pour des raisons de solitude, de vulnérabilité, de perte d’autonomie ou par peur de souffrir ou de ressentir de la douleur, sentent qu’elle n’a d’autre choix que d’avoir recours au suicide. La Conférence des évêques catholiques du Canada continuera de promouvoir les soins palliatifs et les soins à domicile, et d’encourager tous les fidèles à travailler à améliorer le mieux-être des personnes âgées, handicapées, malades et socialement isolées.

Mes frères évêques et moi exhortons les gouvernements et les cours à interpréter la décision d’aujourd’hui au sens le plus strict du terme, à résister aux pressions d’aller plus loin en approuvant de prétendus actes d’«  homicide par compassion  » et d’euthanasie. Nous faisons de nouveau appel aux gouvernements provinciaux et territoriaux pour qu’ils assurent des soins palliatifs de qualité dans toutes leurs juridictions. Nous implorons également les agences gouvernementales et professionnelles de mettre en place des politiques et des directives qui respectent la liberté de conscience de tous les travailleurs et administrateurs de la santé qui ne voudront pas et qui ne pourront pas accepter le suicide comme une solution médicale à la souffrance et à la douleur.

+ Paul-André Durocher
Archevêque de Gatineau
Président de la Conférence des évêques
catholiques du Canada
Le 6 février 2015

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