Messe de la Solennité de l’Assomption dans le stade de Daejeon

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Homélie de Sa Sainteté le Pape François
Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie
Daejeon, World Cup Stadium
15 août 2014

Chers frères et sœurs dans le Christ,

En union avec toute l’Église, nous célébrons l’Assomption de la Vierge Marie, corps et âme, dans la gloire du ciel. L’Assomption de Marie nous montre notre propre destinée comme enfants adoptifs de Dieu et membres du Corps du Christ. Comme Marie notre mère, nous sommes appelés à participer pleinement à la victoire du Seigneur sur le péché et sur la mort, et à régner avec lui dans son Royaume éternel.

Le ‘‘grand signe’’ présenté dans la première lecture – une femme vêtue de soleil et couronnée d’étoiles (cf. Ap 12, 1) – nous invite à contempler Marie intronisée dans la gloire à côté de son divin Fils. Il nous invite aussi à prendre conscience de l’avenir que, encore aujourd’hui, le Seigneur ressuscité ouvre devant nous. Traditionnellement, les Coréens célèbrent cette fête à la lumière de leur expérience historique, reconnaissant l’affectueuse intercession de Marie à l’œuvre dans l’histoire de la nation et dans la vie de son peuple. [Read more…]

Homélie du Pape François du 7 juillet 2014

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Lundi matin, le Pape a célébré la messe en la chapelle Sainte-Marthe avec six victimes de prêtres pédophiles venues d’Allemagne, d’Irlande et du Royaume-Uni, et avec les membres de la commission pontificale pour la protection des mineurs. Voici la traduction française de son homélie réalisée par Sel et Lumière :

L’image de Pierre qui, voyant sortir Jésus de l’interrogatoire, croisa son regard et se mit à pleurer me touche particulièrement aujourd’hui. En effet, votre regard m’arrive au cœur avec ceux de tant d’hommes et de femmes, de garçons et de filles. Je sens le regard de Jésus et je demande la grâce que l’Église puisse pleurer et faire réparation pour ces enfants qui ont trahi leur mission, qui ont abusé de personnes innocentes. Aujourd’hui je vous suis reconnaissant d’être venus jusqu’ici.

Depuis longtemps, je sens dans mon cœur une douleur profonde, une souffrance, longtemps cachée, dissimulée avec une complicité qui n’a pas d’explication, jusqu’à ce que quelqu’un sente le regard de Jésus, et un autre la même chose, et un autre la même chose… et ils ont eu le courage de soutenir ce regard. Ces petits qui ont commencé à pleurer, comme par contagion, ont réveillé notre conscience devant ce crime et ce péché grave.

Voilà mon tourment et ma douleur devant le fait que certains prêtres et évêques ont violé l’innocence de mineurs et ainsi leur propre vocation sacerdotale en les abusant sexuellement. Il s’agit de beaucoup plus que des actes répréhensibles. C’est comme un culte sacrilège car ces enfants ont été confiés au charisme sacerdotal pour être amenés vers Dieu, et eux les ont sacrifiés à l’idole de leur concupiscence. Ils ont profané l’image même de Dieu par laquelle nous avons été créés. L’enfance, nous le savons tous, est un trésor. Le cœur des jeunes, ouvert et plein de confiance, contemple les mystères de l’Amour de Dieu et se montre disponible à la foi d’une manière unique. Aujourd’hui, le cœur de l’Église regarde les yeux de Jésus dans ces jeunes enfants garçons et filles et veut pleurer. Elle demande la grâce de pleurer devant de tels actes exécrables d’abus perpétrés contre des mineurs. Des actes qui ont laissé des cicatrices pour toute la vie. [Read more…]

« Le Seigneur a envoyé son ange et il m’a arraché aux mains d’Hérode »

Homélie du Pape François pour la Solennité de Saints Pierre et Paul

En ce dimanche de la Solennité de Saint Pierre et Saint Paul, le Pape François a remis le pallium à 24 nouveaux archevêques métropolitains du monde entier. Le pallium est cette bande d’étoffe de laine blanche qui posée sur les épaules représente la brebis portée par le berger comme le Christ, et donc symbole de la charge pastorale de celui qui le porte. L’évêque de Rome la confère aux archevêques métropolitains et aux primats comme symbole de leur juridiction en communion avec le Siège de Pierre.

Au moment de l’homélie, le Pape a adressé quelques mots à la délégation du Patriarcat de Constantinople, à Rome, comme chaque année, pour cette solennité des Saints Pierre et Paul. Une délégation menée cette année par le Métropolite Jean de Pergame Zizioulas, déjà reçue samedi par le Pape au Vatican. « Prions le Seigneur, a déclaré François, pour que cette visite puisse renforcer nos liens fraternels dans le chemin vers la pleine communion entre les deux Eglises sœurs, une communion tellement désirée ». [Read more…]

Les prêtres doivent être avant tout des pasteurs

1_0_805106Des pasteurs avant d’être des érudits qui n’oublient jamais le Christ, leur « premier amour » et restent toujours ses fidèles : c’est le portrait qu’a dressé le Pape François, lors de l’homélie de la messe célébrée en la Chapelle de la maison Sainte Marthe, en parlant de tous ceux qui se consacrent à Dieu dans le sacerdoce. 

« Comment se porte mon premier amour ? » C’est-à-dire, suis-je amoureux de toi comme au premier jour ? Suis-je heureux avec toi ou est-ce que je t’ignore ? Ce sont des questions universelles qu’il convient de souvent se poser, nous dit le Pape François. Et pas seulement les conjoints à l’intérieur d’un couple mais aussi les prêtres et les évêques devant Jésus. Car c’est lui, affirme t’il, qui nous demande comme il le fit un jour avec Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? ». L’homélie du Pape prend précisément appui sur ce dialogue tiré de l’Évangile où le Christ demande par trois fois au premier des Apôtres s’il l’aime plus que les autres, une façon-observe t’il- de l’élever au rang de « premier amour ».

« C’est la question que je me pose à moi-même, à mes frères évêques et aux prêtres : Est-ce comme le premier amour? Suis-je amoureux comme le premier jour ? Ou le travail et les préoccupations me détournent vers d’autres choses et me font oublier un peu l’amour ? Mais les conjoints se disputent. C’est normal. Mais lorsqu’il n’y a pas d’amour, on ne se dispute pas : on rompt. »

Ne jamais oublier son premier amour

« Il ne faut jamais oublier son premier amour. Jamais », répète le Pape François qui met en relief trois autres aspects dont il faut tenir compte dans le dialogue entre un prêtre et Jésus. Être avant tout- avant l’étude, avant de vouloir devenir « un intellectuel de la philosophie, de la théologie ou de la patrologie » – un « pasteur », comme Jésus sollicita Pierre. « Fais paître mes brebis ». Le reste, soutient le Pape, vient « ensuite » :

« Fais paître. Avec la théologie, la philosophie la patrologie, avec ce que tu étudies mais fais paître. Sois un pasteur. Car le Seigneur nous a appelés pour cela. Et les mains de l’évêque sur notre tête, c’est pour être pasteur. C’est une deuxième question, non ? La première, c’est : Comment va ton premier amour ? Et la deuxième : « Suis-je un pasteur ou un employé de cette ONG qui s’appelle l’Église ? Il y a une différence. Suis-je un pasteur ? C’est une question que je dois me poser, que les évêques doivent se faire, même les prêtres : tous. Fais paître. Fais pâturer. Va de l’avant ».

Suivre le Christ, et être des pasteurs

Et il n’y a pas de « gloire » ni de « majesté », observe le Pape François, pour le pasteur qui s’est consacré à Jésus : « Non, frère. Le plus souvent, il finira de la façon la plus commune, la plus humiliante aussi : au lit alors qu’ils t’apportent à manger, qu’ils doivent te vêtir…Mais inutile, là, malade… ».Le destin, c’est « finir-répète t’il-comme Lui a fini » : « un amour qui meurt » comme « la semence du grain et ainsi viendra le fruit. Mais moi, je ne le verrai pas ». Finalement, le quatrième aspect, «la parole la plus forte », indique le Pape François avec laquelle Jésus conclut son dialogue avec Pierre, « suis-moi » :

« Si nous avons perdu l’orientation et que nous ne savons pas comment répondre à propos de l’amour, que nous ne savons pas comment répondre sur le fait d’être pasteur et que nous ne savons pas comment répondre ou que nous n’avons pas la certitude que le Seigneur ne nous laissera pas seuls dans les moments les plus graves de la vie, dans la maladie, il dit: “Suis-moi”. C’est cela, notre certitude. Marcher sur les empreintes de Jésus. Sur ce chemin. « Suis-moi « .»

Le Pape François termine par ces mots : « Que le Seigneur nous donne à tous, évêques et prêtres, la grâce de toujours trouver ou de se souvenir de notre premier amour, d’être des pasteurs, de ne pas avoir honte de finir humiliés sur un lit ou ayant perdu la tête. Et qu’il nous donne toujours la grâce de suivre Jésus, de marcher sur les empreintes de Jésus : la grâce de le suivre » [Read more…]

« L’Eglise n’est pas une maison en location »

1_0_804832Le Pape François a une fois encore dénoncé « les affairistes » dans l’Eglise, et dans l’homélie de la messe célébrée ce jeudi matin en la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican, il a pointé du doigt, en « martyrisant un peu la langue italienne », les « uniformisti, alternativisti, vantaggisti » (ceux qui sont pour l’uniformité, ceux qui ont toujours une alternative, ceux qui cherchent des avantages ) qui considèrent l’Eglise non comme leur maison, mais comme une maison en location, que l’on occupe avec un pied dedans et un pied dehors.

« Il y a ceux qui se disent chrétiens et qui vont à l’Eglise en y cherchant seulement des avantages personnels et qui finissent par y faire des affaires. Ces gens-là, a souligné le Pape, nous en avons tous rencontrés dans les communautés paroissiales ou diocésaines, comme dans les congrégations religieuses. « Certains d’entre eux se considèrent même des bienfaiteurs de l’Eglise, ils se sont pavanés comme des bienfaiteurs, mais en cachette faisaient leurs affaires ».

« Dans l’Eglise il y a ceux qui veulent l’uniformité, que tous soient pareils. Ils sont rigides, ils n’ont aucune liberté, et confondent entre ce que Jésus a prêché dans l’Evangile et ce qui n’est que leur propre doctrine ». « Dans l’Eglise enfin, a ajouté le Pape, il y a ceux qui sont pour l’alternative, ceux qui ont toujours leur propre idée et qui surtout ne veulent pas qu’elle soit comme celle de l’Eglise, parce qu’eux ont une alternative. Ils entrent dans l’Eglise avec cette idéologie. Leur appartenance à l’Eglise n’est que partielle et pour eux aussi l’Eglise n’est qu’une maison en location. Pourtant l’Eglise, a conclu le Pape, n’est pas une maison en location, mais une maison à vivre ».

Radio Vatican

Homélie du pape François lors de la messe au Cénacle

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Chers Frères,
C’est un grand don que le Seigneur nous fait, de nous réunir ici, au Cénacle, pour célébrer l’Eucharistie. Ici, en ce lieu où Jésus consomma la dernière Cène avec ses Apôtres ; où, ressuscité, il apparut au milieu d’eux ; où l’Esprit Saint descendit avec puissance sur Marie et sur les disciples. Ici est née l’Église, et elle est née en sortie. D’ici elle est partie, avec le Pain rompu entre les mains, les plaies de Jésus dans les yeux, et l’Esprit d’amour dans le cœur.
Au Cénacle, Jésus ressuscité, envoyé du Père, communiqua aux Apôtres son Esprit-même et avec cette force, il les envoya renouveler la face de la terre (cf. Ps 104, 30).
Sortir, partir, ne veut pas dire oublier. L’Église en sortie garde la mémoire de ce qui est arrivé ici ; l’Esprit Paraclet lui rappelle chaque parole, chaque geste et en révèle le sens.
Le Cénacle nous rappelle le service, le lavement des pieds que Jésus a accompli, comme exemple pour ses disciples. Se laver les pieds les uns les autres signifie s’accueillir, s’accepter, s’aimer, se servir réciproquement. Cela veut dire servir le pauvre, le malade, l’exclus.
Le Cénacle nous rappelle, avec l’Eucharistie, le sacrifice. Dans chaque célébration eucharistique, Jésus s’offre pour nous au Père, pour que nous aussi nous puissions nous unir à Lui, en offrant à Dieu notre vie, notre travail, nos joies et nos peines…, tout offrir en sacrifice spirituel. [Read more…]

Homélie de sa Sainteté le Patriarche œcuménique Bartholomée lors de la célébration de prière commune

 

patriarch_address(Saint-Sépulcre, 25 mai 2014)

« Soyez sans crainte, vous. Je sais que vous cherchez Jésus, le crucifié. Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit ; venez voir l’endroit où il gisait » (Mt 28, 5-6)

Sainteté et cher frère bien-aimé en Christ,
Béatitude, Patriarche de la Cité sainte de Jérusalem, frère bien-aimé et concélébrant dans le Seigneur,
Éminences, Excellences, Très révérends représentants des Églises et confessions chrétiennes,
Frères et sœurs estimés,

C’est avec révérence, émotion et Nous sommes venus comme les femmes myrrhophores, le premier jour de la semaine, « voir le sépulcre » (Mt 28,1), et nous aussi, comme elles, entendons l’exhortation de l’ange : « Soyez sans crainte. » Faites disparaître de vos cœurs toute peur, n’hésitez pas, ne désespérez pas. Ce tombeau rayonne d’un message de courage, d’espérance et de vie. [Read more…]

Homélie du pape François à la Place de la Mangeoire à Bethléem

homily« Et voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une mangeoire » (Lc 2, 12).

Quelle grande grâce de célébrer l’Eucharistie en ce lieu où est né Jésus ! Je remercie Dieu et je vous remercie vous qui m’avez accueilli pendant mon pèlerinage : le Président Mahmoud Abbas et les autres Autorités ; le Patriarche Fouad Twal, les autres Évêques et les Ordinaires de Terre Sainte, les prêtres, les personnes consacrées et tous ceux qui œuvrent pour tenir vive la foi, l’espérance et la charité en ces territoires ; les représentations de fidèles provenant de Gaza, de la Galilée, les migrants de l’Asie et de l’Afrique. Merci de votre accueil !

L’Enfant Jésus, né à Bethléem, est lesigne donné par Dieu à qui attendait le salut, et il reste pour toujours le signe de la tendresse de Dieu et de sa présence dans le monde. « Voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un enfant… ».

Aujourd’hui également les enfants sont un signe. Signe d’espérance, signe de vie, mais aussi signe “diagnostic” pour comprendre l’état de santé d’une famille, d’une société, du monde entier. Quand les enfants sont accueillis, aimés, défendus, protégés dans leurs droits, la famille est saine, la société est meilleure, le monde est plus humain. Pensons à l’œuvre que réalise l’Institut Effetà Paolo VI en faveur des enfants palestiniens sourds-muets : c’est un signe concret de la bonté de Dieu. [Read more…]

Homélie du pape François pour la messe internationale au stade d’Amman

Capture 1Dans l’Évangile, nous avons entendu la promesse de Jésus aux disciples : « Je prierai le Père, et il vous donnera un autre Paraclet, pour qu’il soit avec vous à jamais » (Jn 14,16). Le premier Paraclet est Jésus lui-même ; l’« autre » est l’Esprit Saint.

Nous nous trouvons ici non loin du lieu où l’Esprit Saint est descendu avec puissance sur Jésus de Nazareth, après que Jean l’ait baptisé dans le Jourdain (Cf. Mt 3,16). L’Évangile de ce dimanche, ainsi que ce lieu, dans lequel par la grâce de Dieu je suis en pèlerinage, nous invitent à méditer sur l’Esprit Saint, sur ce qu’il accomplit dans le Christ et en nous, et que nous pouvons résumer ainsi : l’Esprit accomplit trois actions : il prépare, il oint, il envoie.

Au moment du baptême, l’Esprit se pose sur Jésus pour le préparer à sa mission de salut ; mission caractérisée par le style du Serviteur humble et doux, prêt au partage et au don total de soi. Mais l’Esprit Saint, présent dès le début de l’histoire du salut, avait déjà opéré en Jésus au moment de sa conception dans le sein virginal de Marie de Nazareth, réalisant l’événement admirable de l’Incarnation : “ l’Esprit Saint viendra sur toi, il te couvrira de son ombre – dit l’ange à Marie – et tu enfanteras un Fils auquel tu donneras le nom de Jésus ” (Cf. Lc 1, 35). Ensuite, l’Esprit Saint avait agi en Siméon et Anne le jour de la présentation de Jésus au Temple (Cf. Lc 2,22). Tous deux dans l’attente du Messie ; tous deux inspirés par l’Esprit Saint, Siméon et Anne ont l’intuition, à la vue de l’enfant, qu’il est vraiment Celui qui est attendu par tout le peuple. Dans l’attitude prophétique des deux vieillards s’exprime la joie de la rencontre avec le Rédempteur et, dans un certain sens, une préparation de la rencontre entre le Messie et le peuple a lieu. [Read more…]

« La paix de Jésus n’est pas une chose, mais une personne »

1_0_800694Partant de l’Evangile du jour selon Saint Jean, quand Jésus doit affronter la passion avant d’annoncer à ses disciples : « Je vous donne ma paix », le Pape François a insisté sur la paix solide et sans fin qui est donnée à qui accueille dans son cœur l’Esprit Saint, à la différence de celui qui choisit de faire confiance de façon « superficielle », préférant la tranquillité offerte par l’argent ou par le pouvoir.

Le Pape a différencié deux types de « paix » : celle des choses – l’argent, le pouvoir, la vanité – et la paix en personne, celle de l’Esprit Saint. La première risque toujours de s’évanouir (« aujourd’hui, tu es riche et tu es quelqu’un, mais demain non »). La
deuxième, au contraire, « personne ne peut l’enlever et c’est donc une paix définitive ».

Les paix offertes par le monde sont superficielles

Selon François, « la paix que nous donne le monde est un peu superficielle, c’est une certaine tranquillité et une certaine joie », mais seulement « jusqu’à un certain point. On peut se dire “Moi, je suis en paix parce j’ai tout arrangé pour vivre, pour toute ma vie, je ne dois pas me faire de souci.” Je n’aurai pas de problèmes parce que j’ai beaucoup d’argent ». Jésus nous met en garde contre cette paix de la richesse, prévient le Pape, de ne pas avoir confiance en cette paix, parce qu’avec un grand réalisme, il nous dit : « Faites attention car il y a des voleurs et les voleurs peuvent te voler tes richesses ! » La paix qui te procure
de l’argent n’est pas une paix définitive. Une chute de la Bourse et tout l’argent disparaît ! Ce n’est pas une paix sûre : c’est une paix superficielle, temporelle
» assure François. [Read more…]

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