Église en sortie 29 avril 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, nous vous présentons une entrevue en deux parties dans laquelle le cardinal archevêque de Québec, Gérald-Cyprien Lacroix, nous parle, à la fois, de ses nombreuses implications au niveau de l’Église universelle et de sa perception de la transformation missionnaire de son Église particulière. Également, dans cet épisode, vous pourrez  faire connaissance avec  la communauté de l’Emmanuel à Québec dans le cadre d’un reportage sur la Messe des jeunes qui se tient tous les dimanches à 19h00 à l’église Saint-Thomas d’Aquin de Québec. Bonne émission !

Église en sortie 22 avril 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, nous vous présentons une entrevue avec Alain Faubert, prêtre du diocèse de Montréal et membre du conseil Communautés et Ministères de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec (Noté que le 19 avril, Mgr Faubert a été nommé évêque auxiliaire de Montréal par le pape François). Il s’est entretenu avec Francis Denis sur le récent document intitulé : « Le tournant missionnaire des communautés chrétiennes Devenir une « Église en sortie » à la suite de La Joie de l’Évangile ». Ensuite, nous vous présentons un reportage sur la JMJ du Diocèse de Montréal suivi de la    chronique du père Claude Paradis sur les « actualités de la rue ».

Église en sortie 15 avril 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, nous vous présentons une émission spéciale sur l’œcuménisme avec en première partie, une entrevue avec Adriana Bara PhD, directrice du Centre Canadien d’œcuménisme ainsi qu’un extrait du discours du père Irénée Baubien s.j. fondateur de cette institution. Dans la deuxième partie de l’émission, nous vous présentons une entrevue avec Mgr Christian Lépine dans laquelle il dresse un portrait de la compréhension catholique de l’Unité des chrétiens.

Nous sommes tous en « situation irrégulière » !

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Vendredi dernier, le pape François publiait son exhortation apostolique post synodale sur l’amour dans la famille. J’ai déjà donné mes impressions sur ce que je retenais de ma première lecture du texte. Aujourd’hui et dans les semaines à venir, j’aimerais vous présenter mon analyse de chacun des chapitres du document. Cette semaine, je propose donc ma compréhension du chapitre premier d’Amoris Laetitia.

Entre mystère et réalité

Le premier chapitre de l’exhortation nous met en contact direct avec une vérité fondamentale de la foi catholique que j’appellerais le « dialogue entre mystère et réalité ». Souvent, on présente l’enseignement moral de Jésus comme étant en opposition avec la réalité d’aujourd’hui, avec notre monde moderne. De cela découlerait une impossibilité de mettre concrètement ces enseignements en pratique. Ainsi, le grand nombre de situations dites « irrégulières », avec lesquelles l’Église devrait maintenant composer, légitimeraient la constante réprimande faite à l’Église de la nécessité de changer ses enseignements. En ce sens, je crois que le premier chapitre d’Amoris Laetitia répond à cette critique d’une manière admirable en nous replongeant au racine de la fo catholique.

En effet, dans un premier, temps, il est important de comprendre que la foi et l’appartenance à l’Église ne dépendent en aucune manière des bonnes actions des personnes. Le salut n’est pas d’abord méritoire. Elle est un don gratuit de Dieu. Nul n’est donc sauvé sur ses propres mérites mais sur ceux du Christ de qui nous recevons constamment la grâce de nous y associer par son Église. En d’autres termes, il n’y a ni salut obligatoire pour tous, puisque nous devons librement nous associer au mérite du Christ, ni exclusion totale puisque personne ne se sauve par lui-même. Nous sommes tous en « situation irrégulière » ! Nous avons tous besoin de la Miséricorde de Dieu. Cette vérité fondamentale est au cœur des enseignements du pape François sur la famille et sur l’Église.

Éternelle disponibilité

En ces  « temps de relations frénétiques et superficielles » (no 28)[1], on pourrait être tenté de se décourager et de croire que la situation des familles d’aujourd’hui est irrécupérable. A contrario, Amoris Laetitia, me semble-t-il, se place dans la logique inverse, celle de l’espérance. En effet, le texte débute en manifestant à quel point « la Bible abonde en familles, en générations, en histoires d’amour et en crises familiales, depuis la première page […] jusqu’à la dernière page » (no8)[2]. L’enseignement de Jésus sur la famille ne doit donc pas être compris comme une série de règles inertes à suivre pour se sauver soi-même mais comme la présence de Dieu en marche avec les personnes et toujours prêt à pardonner.

Nécessaire ouverture

Toutefois, cette invitation universelle à la vie éternelle doit être accueillie, dès ici bas, par des « oui » concrets à l’Amour de Dieu dans notre vie. La famille n’est-elle pas le lieu idéal de mise en pratique de cette vie nouvelle présente en nous depuis le baptême et qui n’attend que notre disponibilité pour se manifester ? Car, si « la famille, en effet, n’est pas étrangère à l’essence divine même » (no 11)[3], la prise de conscience de cette vie déjà présente n’attend que nous pour rayonner au-delà, d’où la vocation missionnaire de toute famille. Voilà pourquoi, le Pape insiste sur la nécessité d’une spiritualité familiale dans laquelle « est présentée l’icône de la famille de Nazareth, avec sa vie quotidienne faite de fatigues, voire de cauchemars » (no 30)[4].

Ainsi, sans prétendre épuiser la richesse du texte lui-même, le premier chapitre représente à mon sens un résumé de l’enseignement de l’Église dans le langage pastoral de la miséricorde. Tant par son souci d’affirmer que le contexte actuel est loin d’être étranger aux difficultés des familles que par son insistance sur la constante disponibilité et invitation de Dieu envers toutes les personnes, le pape François démontre une sagesse d’enseignement en présentant la logique de la Grâce dans un équilibre entre les largesses de la miséricorde de Dieu et notre liberté capable de choix éternellement définitifs. La semaine prochaine j’entamerai l’analyse du chapitre 2 d’Amortis Laetitia.

Église en sortie 8 avril 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, nous présentons une entrevue avec Élisabeth Garant Directrice générale du Centre justice et foi / Revue Relations qui s’est entretenu avec Francis Denis sur l’histoire de la revue Relations. Puis, on vous présente un reportage sur le vernissage inaugurant les activités du 75e anniversaire de la revue Relations. Dans la deuxième partie de l’émission, nous vous présentons une entrevue réalisée avec Mgr Gilles Lemay, évêque d’Amos, lors de l’Assemblée Générale de la Conférence des évêques catholiques du Canada 2015 à Cornwall

Amoris Laetitia ou la famille sur la voie de la charité

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Aujourd’hui même à midi heure de Rome, le pape François a publié sa très attendue exhortation apostolique intitulée Amoris Laetitia sur le thème de l’amour dans la famille. Ce document de 258 pages pour l’édition française est le fruit des travaux des deux synodes sur la famille qui ont eu lieu au Vatican en 2014 et 2015. Bien que, dès les premières pages du texte, le Pape « ne recommande pas une lecture générale hâtive » (no 7), la rédaction de ce premier article nécessitait que je le lise dans son entièreté assez rapidement… Toutefois, n’ayez crainte, nous aurons l’occasion d’en reparler dans une série d’articles dans lesquels nous nous arrêterons plus longuement sur les nombreux thèmes abordés. Je vous propose aujourd’hui mes premières impressions suite à ma lecture d’Amoris Laetitia, espérant que dans notre prochain rendez-vous, vous aurez eu l’occasion de parcourir cet important document vous-mêmes.

La première chose qui me vient à l’esprit après la lecture d’Amoris Laetitia c’est que ce texte respire la préoccupation de l’Église et du pape François pour les familles d’aujourd’hui. Conscient de sa mission d’accompagner tous les fidèles et tous les humains, on perçoit avec quelle intensité le présent Pape souhaite que tous puissent découvrir la grandeur de cette vocation humaine. Pour cela, le Pape souhaite que l’on redécouvre l’essence de l’attitude de l’Église qui consiste en ce qu’il appelle la « via caritatis » (no 306) qui signifie en français la voie de la charité. En effet, on a souvent taxé l’Église d’être dogmatique et d’avoir un enseignement qui n’est plus en accord avec notre monde d’aujourd’hui. Il me semble que ce document répond magnifiquement à cette critique, à la fois, en manifestant que l’Église est non seulement parfaitement consciente et à l’écoute de la réalité contemporaine mais aussi qu’elle est capable d’un esprit critique envers elle-même et face au monde, esprit qu’elle puise à la lumière de la Révélation d’amour accomplie en Jésus-Christ.

En ce sens, les deux précédents synodes l’ont démontré : l’Église n’est pas cette institution fermée et rétrograde mais bien une communauté d’hommes et de femmes qui marchent ensemble à la suite du Christ; une communauté universelle qui s’interroge sur les meilleurs chemins à prendre pour rester le plus fidèle possible à l’amour qui repose en leur être depuis le baptême. Comment donc réaliser ce projet de Dieu sur nous dans nos familles aujourd’hui? C’est la question fondamentale à laquelle ce texte tente d’apporter sa contribution.

Pour ce faire, le pape manifeste que le dessein de Dieu sur la famille n’est pas un idéal abstrait mais une réalité concrète. C’est pourquoi, on ne doit jamais se décourager de nous-mêmes ou des situations dans lesquelles nous nous trouvons. Nous ne sommes pas parfaits et la perfection à laquelle nous sommes destinés n’est pas de ce monde. Les chutes et les échecs sur le chemin sont pour Dieu et pour nous des occasions de réconciliation dont le but sublime est de manifester la grandeur de la Miséricorde de Dieu.

C’est le deuxième point qui a attiré mon attention : ce souci de montrer que la miséricorde est la clé de compréhension de tout l’enseignement et de la pratique de l’Église. En effet, la miséricorde « n’est pas seulement l’agir du Père, mais elle devient le critère pour comprendre qui sont ses véritables enfants. En résumé, nous sommes invités à vivre de miséricorde parce qu’il nous a d’abord été fait miséricorde » (no 310). Selon moi, tout le texte tient à revisiter cet enseignement sur la famille si incompris par bon nombre de personnes aujourd’hui; parmi lesquelles on retrouve malheureusement beaucoup de catholiques. Que ce soit dans la présentation des enseignements bibliques et magistériels sur la famille (chapitre 1 et 3), dans l’analyse des défis contemporains auxquels toutes les familles font face dans leur volonté (consciente ou non) de réaliser leurs plus grandes aspirations (chapitre 2 et 5), dans la présentation de la beauté et de l’héroïcité nécessaires à la mise en pratique des exigences de l’amour véritable (chapitre 4 et 7) ou de l’approche pastorale nécessaire pour accompagner les familles dans la réalisation de leur vocation universelle à la sainteté (chapitre 6 et 8), l’ensemble du document semble être orienté vers la proximité avec Dieu qui se trouve aux côtés de chacun d’entre nous et qui nous invite à le connaître et l’aimer par l’entremise de nos relations familiales « où se reflète, par grâce, le mystère de la Sainte Trinité » ( no 86).

Nous reviendrons, dans les prochaines semaines, sur les différents thèmes abordés dans cette exhortation apostolique qui, des plus polémiques aux plus apparemment anodins, auront sans doute eu l’occasion de faire surface ici et là dans l’actualité. Entre temps, je vous recommande fortement la lecture de ce document qui saura réchauffer le cœur de tous les lecteurs qui forcément sentiront l’immense trésor de sagesse dont l’Église est dépositaire et dont elle nous fait part gratuitement s’appuyant sur ce don ultime de Dieu par son Fils sur la Croix.

Église en sortie 1er avril

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, nous vous présentons une entrevue avec le père Jean-Marc Barreau, théologien et aumônier à l’hôpital Marie-Clarac. Il s’entretient avec Francis Denis au sujet de son dernier ouvrage intitulé François et la miséricorde. Ensuite, vous verrez un reportage sur la célébration des funérailles, à l’église du Très Saint-Sacrement de Québec, des victimes québécoises des attentats terroristes survenus au Burkina Faso. Dans la deuxième partie de l’émission, nous vous présentons une entrevue réalisée avec Brigitte Bédard, journaliste et auteur du livre autobiographique : Et tu vas danser ta vie !

Église en sortie 18 mars 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, Francis Denis reçoit Antoine Malenfant, rédacteur en chef à la revue Le Verbe dans un reportage sur le lancement du dernier numéro de ce magazine consacré à l’histoire. Dans la deuxième partie de l’émission, nous vous présentons une entrevue avec Diane Poirier, directrice de la revue Signes. Elle nous parle de cette revue d’inspiration ignatienne qui a plus de 50 ans.

Reconsidérer le rôle de l’Église en éducation au Québec

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(Photo: Catholic News Service)

Depuis toujours, l’Église catholique s’est consacrée à la mission d’éducation. En effet, selon l’esprit même de son Fondateur, elle a su mettre en pratique sa mission d’aider à faire fructifier toutes les dimensions de la personne humaine qu’elle soit corporelle, intellectuelle ou spirituelle. Au cours de l’histoire, cette implication fondamentale a suscité la création de nombreuses institutions totalement dédiées à l’enseignement et à la formation des nouvelles générations. Des lieux où le savoir et la connaissance de la vérité seraient au cœur de la vie des personnes et qui, par la suite, pourraient améliorer le sort de l’espèce humaine par la découverte de nouvelles applications pratiques. Ces lieux sont ce que l’on nomme encore aujourd’hui « université » c’est-à-dire des lieux où l’universel prend le dessus sur le particulier, où la recherche de la vérité fait norme. C’est au Moyen-Âge et sous l’impulsion et la collaboration de l’Église que de telles institutions reçurent la forme qu’elles ont encore aujourd’hui.

Mais justement, quelle place l’Église doit-elle prendre aujourd’hui dans le domaine de l’éducation. Au Québec, par exemple, l’histoire récente montre que sa présence n’est plus aussi grande qu’elle a pu l’être. Certains diront même que la religion n’a plus sa place à l’école. Cette opinion, que l’on entend souvent, est toutefois quelque peu différente de ce que l’Église elle-même prône. De fait, la liberté de religion demande à ce que soit garantie l’affirmation des orientations fondamentales qu’une religion se donne à elle-même pas de celles qu’elle reçoit de l’extérieur. Ainsi, si l’on regarde partout dans le monde, on trouve dans la majorité des pays du monde des écoles et des universités catholiques qui sont, bien souvent, parmi les plus réputées. Comme le disait le pape François dans Evangelii Gaudium, ne cachant pas sa fierté : « Et combien est grande la contribution des écoles et des universités catholiques dans le monde entier ! » (no 65). Mais revenons à notre sujet de la présence pastorale de l’Église dans les institutions d’enseignement chez nous au Québec et au Canada. Il est clair que le « processus de sécularisation tend à réduire la foi et l’Église au domaine privé et intime » (no 64). Dans ces circonstances, certains croient bénéfique de restreindre la portée des initiatives religieuses puisqu’elles sont considérées comme nuisibles à la paix et à la concorde sociale et à un climat d’étude sain. Toutefois, cette crainte, qu’on peut comprendre si on regarde la présentation qui en est faite dans les médias de masse, n’est pas justifiée.

Selon Sabrina Di Matteo, directrice du Centre étudiant Benoît-Lacroix, l’Église et la pastorale universitaire pourraient jouer un rôle de leadership dans l’offre de services spirituels et intellectuels auprès des étudiants universitaires. Toutefois, cela présupposerait de la part des universités une ouverture au phénomène religieux et une réelle reconnaissance du rôle positif de celui-ci dans la vie universitaire dans son ensemble. De fait, comme l’affirme le pape François « en bien des occasions, l’Église a servi de médiatrice pour favoriser la solution de problèmes qui concernent la paix, la concorde, l’environnement, la défense de la vie, les droits humains et civils, etc. » (no 65). Ainsi, loin d’être un fardeau à porter, les religions doivent être considérées comme des instruments utiles à la vie universitaire et, comme le disait cette semaine le député québécois Amir Kadir, « à la société dans son ensemble ». Que ce soit dans leur souci de recherche de la vérité, la centralité qu’elles accordent à l’éthique, leur ouverture au dialogue et à l’universel sans compter leur souci de situer les différents savoirs à l’intérieur d’un horizon existentiel et des questions de sens, les religions ont une mission essentielle à jouer dans tous les milieux, y compris les universités. De plus, le christianisme et, plus particulièrement, la religion catholique, portant déjà cette mission et ce leadership, ces dernières auraient tout à gagner à lui confier cette nouvelle responsabilité.

Enfin, l’implication de l’Église dans les milieux universitaires n’est pas seulement nécessaire pour les universités, elle l’est également pour l’Église et les chrétiens eux-mêmes qui ont besoin d’être intellectuellement confrontés dans leur croyance et, ce, pour deux raisons principales. D’abord, la raison et les savoirs tels que les sciences humaines et pures, permettent aux croyants, de se défaire de tous les éléments de superstition qui pourraient entacher leur foi et, par conséquent, leur relation avec le Christ. Secondo, cette même confrontation (Disputatio disait-on au Moyen-Âge) permet de mettre en pratique l’appel missionnaire reçu au baptême. En effet, « Les Universités sont un milieu privilégié pour penser et développer cet engagement d’évangélisation de manière interdisciplinaire et intégrée. Les écoles catholiques, qui se proposent toujours de conjuguer la tâche éducative avec l’annonce explicite de l’Évangile, constituent un apport de valeur à l’évangélisation de la culture, même dans les pays et les villes où une situation défavorable nous encourage à faire preuve de créativité pour trouver les chemins adéquats » (no 134).

Comme nous l’avons vu, la mission éducative fait partie intégrante de la mission de l’Église. Celle-ci a donc la responsabilité de s’investir dans ce lieu de recherche et d’étude de la vérité que sont les universités afin de mener non seulement à terme son appel au développement intégral de la personne humaine mais également pour que chaque chrétien puisse, par son engagement missionnaire, grandir dans sa relation avec le Christ. Pour ceux et celles que le sujet intéresse, je vous invite à regarder l’épisode d’Église en sortie du 11 mars 2016 dans lequel nous nous interrogeons, avec le P. André Descôteaux o.p. et Sabrina Di Matteo, sur cette questions ainsi que sur les initiatives concrètes en cette matière, dont le Centre étudiant Benoît-Lacroix.

Église en sortie 11 mars 2016

Cette semaine à l’émission Église en Sortie, Francis Denis reçoit le père André Descôteaux o.p., Prieur de la province canadienne de l’Ordre des Dominicains. On vous présente un reportage sur la célébration eucharistique soulignant le 30e anniversaire du Centre étudiant Benoît-Lacroix et le 800e anniversaire des Dominicains. Dans la deuxième partie de l’émission, nous vous présentons une entrevue avec Sabrina Di Matteo avec qui on discute de l’histoire du CEBL et de l’avenir de la pastorale universitaire.

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