Le bras droit de l’Église

par Sébastien Lacroix 

 

Il sont plus de 2000 qui sont débarqués à Québec avec leur épouse, parfois leurs enfants. Le 126e Congrès international des Chevaliers de Colomb débutera demain pour les membres de cet ordre catholique d’hommes. Rassemblement annuel, ce congrès est l’occasion pour les Chevaliers de partout au Canada, aux États-Unis et ailleurs dans le monde de se retrouver pour prier, réaffirmer leur engagement au service de l’Église et faire un bilan de l’année qui vient de s’écouler.

Il est fort à-propos que ce 126e congrès se déroule à Québec. En cette année où la première ville d’Amérique du Nord célèbre sont 400e anniversaire de fondation, les Chevaliers se rassemblent dans le berceau de la foi sur ce continent, alors qu’eux-mêmes ont contribué et contribue encore grandement à la vie des communautés chrétiennes. Le fondateur des Chevaliers de Colomb, le père Michael McGivney est d’abord entré au séminaire de Saint-Hyacinthe en 1868 avant d’étudier deux ans au séminaire St. Mary à Montréal.

Ni mon père, ni mon grand-père étaient chevaliers. Je me souviens toutefois de leur présence à ma paroisse quand j’étais enfant. J’étais très impressionné par les plumes et les épées des membres du 4e degré. Je le suis moins aujourd’hui il va sans dire, mais adolescent, j’ai découvert, et même bénéficié, de l’action de ces hommes. Qui d’entre-nous n’est pas allé à un brunch ou un un souper spaghetti organisé par les Chevaliers? Non seulement ils le font souvent pour une cause charitable, mais ces repas permettent aux gens de fraterniser et d’échanger. Les Chevaliers nourissent la communauté.

Après mon cégep à Sherbrooke, je suis parti pour un programme d’échange international pour une année. Comme j’étais assez engagé en paroisse, le conseil m’a aidé dans ma levée de fonds qui m’a permis de faire cet échange. Les Chevaliers appuient la jeunesse.

En 2001 et 2002, il aurait été impensable de réaliser le pèlerinage de la Croix des JMJ au Canada sans l’aide des Chevaliers de Colomb. De Terre-Neuve à Vancouver, ils ont transporté la Croix donnée par Jean-Paul II aux jeunes du monde dans les endroits parfois les plus reculés de notre pays. Plus récemment, c’est à l’occasion du pèlerinage de l’Arche de la Nouvelle-Alliance que les Chevaliers se sont distingués, en vue du Congrès eucharistique international. Ces contributions plus ‘physiques’ sont sans compter les généreuses contributions financières des Chevaliers: au JMJ, au Congrès eucharistique et pour une foule de projets liés à l’évangélisation dont Télévision Sel + Lumière.

C’est donc une joie d’être à Québec pour cette occasion et de prendre part à la rencontre d’une organisation qui enrichie la vie de l’Église et contribue à démontrer la pertinence de son message.

Tout au long de cette semaine, nous aurons donc la chance de découvrir certains aspects de ce mouvement important au sein de l’Église. En remarquant le nombre d’évêques et de prêtres qui se trouvent ici cette semaine, on comprend vite à quel point il en est ainsi.

S+L diffusera les principaux événements de ce Congrès. Visiter notre page dédié à notre couverture exclusive en français.

De retour de vacances…

Par Jasmin Lemieux-Lefebvre

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Très heureux d’être de retour d’un beau temps de repos, mon premier depuis le Congrès eucharistique international. J’ai eu la chance de voyager avec ma femme et mon petit de 18 mois à Washington où nous avons participé à une célébration eucharistique au magnifique sanctuaire national de l’Immaculée Conception, la plus grande église des États-Unis (la 8e au monde). La chapelle de l’université catholique Georgetown nous a également charmés.

Les vacances estivales sont l’occasion de belles rencontres. Que ce soit sur le bord du Potomac avec un retraité allemand huguenot où nous avons pu échanger sur nos fois respectives ou dans un restaurant afro-américain avec un serveur lui aussi père de famille, c’est souvent notre enfant qui a permis de briser la glace avec des inconnus.

Voyager avec un enfant apporte tellement de joies aux parents! Notre petit s’émerveille devant tout et il est tellement démonstratif. Je me disais que même à la pire des destinations, ce serait de magnifiques vacances grâce à sa présence.

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Au dernier jour de notre périple américain, nous sommes arrêtés à Bethlehem en Pennsylvanie pour le camp d’entraînement de mon équipe de foootball américain préférée. À notre grande surprise, nous ne pouvions y trouver de chambres d’hôtel libres: un festival de musique célébrant ses 25 ans s’y tenait. Comme nous avions notre tente, nous avons trouvé en dernier recours un petit camping en dehors de la ville. Dernière place disponible: un terrain rocailleux… Installation de nuit, mais tout le monde a étrangement bien dormi. J’ai raconté à mon épouse que nous avions vécu une expérience comme Marie et Joseph à Bethléem. Pas d’endroits de libre pour finalement dormir dans un humble lieu…

Quand j’ai appris le matin que le camp d’entraînement des Eagles de Philadelphie était annulé à cause d’un bris d’aqueduc, j’ai réagi avec sérénité…

J’avais la joie d’être en famille, en vacances… mon équipe de football était soudainement si secondaire…

Vive ces beaux moments familiaux!

J’espère que vous avez pris le temps ou prendrez le temps de prendre de belles et saintes vacances…

Messe de la fête de sainte Anne ce jeudi à 21h

Télévision Sel + Lumière diffusera ce jeudi à 21h la messe solennelle de la fête de sainte Anne, célébrée au Sanctuaire de Sainte-Anne de Beaupré le 26 juillet 2008. Des difficultés techniques nous ont empêchés de présenter cette messe il y a deux jours, nous nous reprenons ce soir. Merci pour votre compréhension.

Benoît XVI: un pape surprenant!

par Stefano Cascio
[NDLR: L’abbé Stefano Cascio faisait partie de l’équipe de Télévision Sel + Lumière qui a assuré la couverture des Journées mondiales de la jeunesse 2008 à Sydney. De retour à Rome où il est vicaire paroissial, il nous partage sa réflexion post-JMJ.]

On disait de Benoît XVI qu’il n’avait pas le charisme de Jean Paul II, qu’il ne pouvait attirer les jeunes, qu’il était froid, enfermé dans ses recherches théologiques, trop vieux pour guider l’Église du troisième millénaire…et j’en passe… Or il démontre, voyage après voyage, qu’il est bien différent de l’image que l’on a voulu nous donner de lui.

Après sa visite triomphale aux États-Unis, Benoît XVI vient de remporter une nouvelle bataille contre les préjugés à son égard en Australie.

On annonçait un voyage difficile, dans un pays à majorité protestante et extrêmement sécularisé, mais la joie des jeunes catholiques et les gestes effectués par le pape durant les JMJ ont inversé les sentiments des Australiens. Le pape remporte une victoire sur tous les plans:

Tout d’abord politique, le premier ministre Kevin Rudd a souligné, lors de son discours de bienvenu à Barangooroo, l’importance de la foi dans la vie d’une personne et la richesse de l’héritage chrétien pour son pays. Cette ouverture s’est concrétisée par sa participation bien entendu aux deux cérémonies à l’aéroport mais également aux messes d’ouverture et de clôture et de manière privée au festival de la jeunesse, en allant à la prière de la communauté de Taizé (Cfr. Blogue de soeur Marie-Pierre Delorme). Lorsqu’il a pris congé du Pape, il l’a remercié pour avoir toujours voulu démontrer que la foi ne s’oppose pas à la raison humaine mais qu’elle la complète. Ce n’est d’ailleurs pas le premier leader à être touché par un tel message (Blair, Sarkozy, Bush).

Le Premier ministre a voulu formaliser cette relation amicale en nommant, pour la première fois dans l’histoire diplomatique australienne, un ambassadeur permanent près le Saint-Siège.

Mais Benoît XVI n’a pas touché seulement l’élite du pays mais l’ensemble de la société civile, en particulier en condamnant les abus sexuels commis par des membres du clergé mais surtout en rencontrant comme aux États-Unis des victimes de ces abus, montrant sa sollicitude pastorale et sa compassion.

La victoire est également pastorale: les jeunes ont démontré cette semaine leur amour pour l’Église et pour son pasteur universel. Ils ont répondu à l’invitation malgré la distance et le coût d’un tel voyage, et s’ils ont été confirmés dans leur foi par les enseignements des catéchèses et des homélies; ils ont eux-mêmes confirmé les évêques et le pape dans leur mission pastorale par leurs cris plein d’enthousiasme et leurs prières.

Benoît XVI n’est pas le fondateur des JMJ et beaucoup disaient qu’il n’appréciait pas ce genre d’événement mais il s’est montré un père spirituel pour un demi-million de pèlerins. Pour la première fois dans l’histoire des JMJ, la veillée a été entièrement dédiée à la prière, les jeunes ont participé en silence et à genoux à l’adoration guidée par un pape qui lentement mais sûrement est en train d’imprimer sa marque.

Durant ces JMJ, le cardinal Pell a associé le nom de Jean Paul II à l’adjectif « grand ». En pensant à Benoît XVI un seul adjectif me vient a l’esprit: « surprenant », il se montre toujours plus un pape surprenant…

Les 40 ans d’Humanae Vitae …

par Jasmin Lemieux-Lefebvre

Demain, nous célèbrerons l’anniversaire d’une des encycliques les plus ignorées de part le monde : la chère Humanae Vitae. « De la vie humaine » nous parle de façon simple, dans un texte succinct, des raisons qui amènent notre Église à s’ouvrir à la planification naturelle des naissances et à revaloriser toutes les vertus d’une vie chaste.

Au grand dam de plusieurs catholiques, l’encyclique fermait aussi la porte à toutes les méthodes de contraception artificielle, incluant la toute nouvelle et populaire pilule, et bien sûr à l’avortement sans exception.

40 ans plus tard, il est tout de même assez incroyable que l’immense majorité des catholiques rejettent en bloc plusieurs aspects de la philosophie d’Humanae Vitae.

Les importants progrès scientifiques entourant les méthodes de planification naturelle des naissances ont démontré que leur usage permettait aux couples de concevoir ou d’espacer les naissances avec grand succès.

De l’autre côté, des études démontraient les problèmes de santé qu’engendrent la pilule chez plusieurs femmes (sans parler de ses caractéristiques avortives dans certains cas) et le mythe du sexe sécuritaire du condom (des taux d’échec fréquents tant pour les grossesses que pour les MTS).

Chez les couple mariés catholiques en Amérique du Nord, ont estime à 3 % le taux de pratique des méthodes naturelles. Au Québec, ce doit être moins de 1 %. Pourquoi ?

On en parle tout simplement pas. Les contraceptifs font partie de notre vie confortable d’occidentaux, d’une commodité bien appréciée à ne pas remettre en question.

Les réflexions à leur sujet sont inexistantes dans la sphère publique. Dans le monde catholique? À peine un peu plus…

Pourquoi ne pas commencer par la lire, cette encyclique. 7 000 mots. 15 minutes fort instructives.

Soulignons aujourd’hui le travail de quelques artisans qui font du bon boulot pour faire la promotion de l’esprit d’Humanae Vitae.

L’organisme catholique pour la vie et la famille.
Leur 2e Symposium national sur la théologie du corps se tiendra au mois de novembre à Québec. C’est le bon temps pour s’inscrire.

L’organisme catholique français CLER amour et famille
Une foule de ressources disponibles en ligne.

La semaine nationale de promotion des méthodes de planification naturelle des naissances.
Une initiative annuelle de la conférence épiscopale américaine.

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« Humanae Vitae est un signe de contradiction » disait récemment Benoît XVI.

L’Église se doit parfois de tenir bon face à une société dite moderne qui prône une vision de la sexualité qui s’éloigne souvent beaucoup trop du cadeau merveilleux que Dieu a voulu nous donner.

Jetez un coup d’oeil à la plus ancienne copie du Nouveau Testament…

Le Codex Sinaiticus vaut vraiment le détour. Depuis aujourd’hui, l’Évangile selon saint Marc et le Livre des Psaumes sont en ligne sur le site de la British Library.
Le texte des photographies du manuscrit est en grec, mais des traductions sont disponibles en anglais et en allemand. Soyez patients, car beaucoup de personnes tentent d’y accéder en même temps!

Les audiences générales de Benoît XVI au bout d’une télécopie…

Il est désormais beaucoup plus simple de réserver un accès gratuit aux audiences générales du pape Benoît XVI.

La Préfecture de la Maison pontificale a mis en ligne aujourd’hui un formulaire facile à remplir que vous pouvez transmettre par télécopie.

Simple. Pratique. Disponible ici.

Retourner chez soi et garder l’esprit

par Marilena Berardinelli

Les JMJ se suivent et ne se ressemblent pas. Chaque JMJ est colorée par la vision de son comité organisateur, le charme de sa ville hôte et par l’esprit des pèlerins eux-mêmes. Mon expérience à Rome (2000) a été différente de celle de Toronto (2002) et ces deux expériences sont très différentes de celle vécue ici à Sydney.

La JMJ de Rome a changé ma vie. Elle a déclenchée une série d’événements qui me ferait changer de majeure à l’université (de l’économie à la théologie), poursuivre une vocation d’enseignante dans une autre province (du Québec à l’Ontario) et éventuellement me permettrait de rencontrer mon mari (le journaliste Sébastien Lacroix à S+L). À cause de toutes ces choses remarquables, il serait injuste d’espérer répéter l’expérience de Rome. La JMJ de Sydney a été incroyable à sa façon. Plus important encore, elle a été une source de renouveau dont j’avais bien besoin. Les temps de prières et les catéchèses, le festival de la jeunesse et les témoignages des pèlerins me donnent ce dont j’aurai besoin pour faire face aux défis qui m’attendent à mon retour. 

Ceci étant dit, je dois admettre que cette JMJ est fort probablement ma dernière. Avec l’aide d’un ami, j’ai compris que les JMJ ne se veulent pas sans fin. Le but d’un pèlerin ne devrait pas être de participer au plus grand nombre de JMJ possible. L’objectif des JMJ est plutôt d’allumer l’étincelle ou de rallumer la flamme que vous ramènerez avec vous pour la partager avec la famille, les amis, la communauté, qu’elle soit paroissiale ou scolaire. Les JMJ existe pour vous transformez afin que vous transformiez le monde à votre tour. C’est ainsi que l’esprit des JMJ vivra au-delà des pèlerinages eux-mêmes, et c’est en quelque sorte de cette manière que nous vivrons continuellement la JMJ.

Une JMJ sur le terrain

par Sébastien Lacroix

On pourrait croire que je suis un vétéran des JMJ, et il m’est arrivé de le croire moi-même parfois. Pourtant, Sydney était ma première participation aux JMJ en tant que pèlerin. Pèlerin-journaliste certes, mais pèlerin quand même.

Je suis venu en Australie avec certaines attentes et beaucoup d’éléments de comparaison. Lorsqu’on pense aux JMJ de Toronto, la première chose dont on se souvient est la Croix des JMJ. C’est grâce à cette Croix confié par Jean-Paul II aux jeunes du monde, qu’un pays tout entier s’est rallié pour accueillir ces jeunes et le pape, ensemble. Nous étions tous très fiers, tant au sein de l’équipe nationale que dans les diocèses, de ce qui avait été accompli. Nous étions des instruments entre les mains du Seigneur, qui a rejoint ainsi des milliers de jeunes.

Deux moments forts m’ont marqué cette semaine. Le premier, qui ne surprendra personne, fut l’arrivée de la Croix des JMJ dans la baie de Sydney lundi. La JMJ ne débutait officiellement que le lendemain, mais des milliers de jeunes étaient déjà en ville et plusieurs sont venus marcher avec la Croix qui a ainsi traversé le quartier des affaires de Sydney. Il ne s’agit que d’une croix, pourtant tout s’est arrêté pour un moment. Les gens sortaient des bureaux pour prendre des photos. Les jeunes chantaient. Comme d’autres l’avaient fait à Toronto, et aussi à Rome, Paris, Denver… Les JMJ faisaient leur œuvre.

Samedi, nous avons pu réaliser le pèlerinage à pied jusqu’à Randwick pour la veillée. Nous étions ensemble S. Marie-Pierre, Stefano, Marilena et moi pour cette marche d’environ deux heures. Loin d’être pénible, la marche fut agréable, ponctuée de prières tirées du guide du pèlerin, et de rencontres avec d’autres jeunes. Nous avons rejoint un contingent du diocèse de Montréal avec Isabel Correa tout au fond, loin de la scène. Les gens s’installaient pour une nuit froide. Un ami salésien nous a reçus dans son «condo» : matelas pneumatique et banc de plastique : le luxe quoi!

Emmitouflés dans nos manteaux et foulards, nous avons veillé avec le Saint-Père pour prier, nous étions 235 000. Nous nous sommes réveillés 400 000 pour la messe de clôture. Benoît XVI nous a ainsi posé les vraies questions au cours de son homélie :

Comment utilisez-vous les dons qui vous ont été faits, la « force » que l’Esprit Saint, aujourd’hui encore, est prêt à répandre sur vous ? Quel héritage laissez-vous aux jeunes qui viendront après vous ? Comment vous distinguerez-vous?

Fortifiée par l’Esprit et s’inspirant d’une riche vision de foi, une nouvelle génération de chrétiens est appelée à contribuer à l’édification d’un monde où la vie est accueillie, respectée et aimée, non rejetée ou ressentie comme une menace et par conséquent détruite. (…) Chers jeunes amis, le Seigneur vous demande d’être des prophètes de cette nouvelle ère, des messagers de son amour, capables d’attirer les personnes au Père et de bâtir un avenir plein d’espérance pour toute l’humanité.

C’est ainsi que chacun des jeunes présents retourne chez soi : en tant que prophète, habité par l’Esprit et prêt à œuvrer pour un monde meilleur.

Photo: Le pèlerinage vers Randwick le 19 juillet au matin. WYD 2008/Getty Images

Merci d’être venus !

par S. Marie-Pierre Delorme

Que dire à la fin d’une expérience si grandiose, sinon un simple merci…

Merci à Dieu de nous avoir rassemblés. Le chant d’offertoire de la messe d’hier disait : « nous t’adorons Seigneur dans notre communion ». Ce matin-là, c’était un Dieu présent dans une communion de gens de toutes les couleurs, de toutes les musiques.

Merci à l’Australie de nous avoir accueillie. Routes bloquées mais portes ouvertes et coeurs émerveillés: c’était « la grande terre australe de l’Esprit Saint » dans toute sa beauté !

Merci à Benoît XVI de s’être prêté au jeu. Ses paroles de sagesse nous ont lancés au-delà de nous-mêmes : « Qu’allez-vous transmettre aux futures générations? »

Merci aux pèlerins d’être venus. Pour reprendre l’idée du Cardinal Pell, vous avez mis de grands efforts et fait de nombreux sacrifices pour vous rendre jusqu’aux extrémités de la terre. Soyez assurés que vous y avez planté une semence qui, assurément, grandira et rendra cent pour un.

Et finalement, merci à vous qui nous avez suivis depuis votre téléviseur ou votre ordinateur. Votre intérêt et vos encouragements nous ont permis de tenir jusqu’au bout. Vous retrouverez des jeunes transformés au retour de l’Australie : merci aussi de les aider à poursuivre l’oeuvre que le Seigneur de la vie a commencée en eux.

Photo: Messe de clôture dimanche matin à Randwick. WYD 2008/Getty Images

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