Le congé des Fêtes nous permet souvent de nous rattraper dans nos lectures et dans les films que nous n’avons pus voir au cours de l’année. C’est ce que j’ai fait en regardant Padre Pio: Miracle Man. Ce film italien (sous-titré en anglais, pourquoi pas en français, allez savoir) relate la vie du père capucin qui a porté les stygmates. Il s’agit d’un excellent film. Je notais qu’en entrant dans une maison, Padre Pio, comme les autres gens de cette région du Sud de l’Italie, saluait les gens par un ‘pace e bene’: paix et bonté, dit un peu comme une prière, comme un souhait pour la personne que nous rencontrons.
En ce premier de l’an qui est aussi la Journée mondiale pour la paix, où que vous soyez, puissiez-vous vous sentir aimé, par un parent, un enfant, un ami. Puissiez-vous faire le bien, et être des artisans de cette Paix qui nous est offerte par une naissance aussi surprenante qu’éblouissante.
Pace e bene!

Le fruit de leur prière et de leur rencontre sacramentelle avec Jésus a marqué la soirée de samedi. Ce soir-là, les jeunes ont accueilli les aînés de la communauté francophone du grand Toronto pour un repas des Fêtes et pour le désormais célèbre « Noël académie » – leur spectacle de noël. À l’image de Marie et Joseph qui ont partagé avec les autres « le Verbe fait chair », ces jeunes du secondaire ont accueilli tout le monde, jeunes et moins jeunes, à partager leur expérience de l’Avent. Que ce soit dans leurs conversations autour de la table ou dans les sketchs et les chants qu’ils avaient préparés, ces jeunes rayonnaient d’une authentique joie. Les invités de cette soirée ne pouvaient qu’être charmés !
Chaque année au début de l’Avent, la liturgie nous invite à fêter St François-Xavier, patron des missions. Etant religieuse de l’Institut apostolique La Xavière, cette fête est toujours source d’action de grâces.

Soirée chargée à l’antenne de Sel + Lumière ce soir. D’abord à 19h, Focus catholique présente l’histoire d’Abdelkader Belaouni, ressortissant algérien qui a fui la guerre civile à la recherche de la paix. Aveugle, il s’est vu refuser toute demande d’accueil au Canada. Après avoir reçu un avis de déportation vers les Etats-Unis, Abdelkader s’est réfugié à la paroisse St-Gabriel à Montréal, où il se trouve toujours. Une histoire qui nous amène au coeur d’un enjeu de justice et de dignité humaine.