Communiqué de la Secrétairerie d’Etat du Vatican

La Salle de Presse a diffusé ce midi le communiqué suivant de la Secrétairerie d’Etat:

Le Saint-Siège a toujours étroitement défendu la liberté du Collège cardinalice, à qui revient de droit l’élection du Souverain Pontife. Elle constitue la garantie d’un choix strictement fondé sur le bien de l’Eglise. Au cours des siècles, les Cardinaux ont été soumis à toute sorte de pressions, personnelles ou collectives, destinées à conditionner leur décision en les pliant à des logiques politiques. Jadis ce sont les puissances qui cherchaient à conditionner l’élection papale. On tente aujourd’hui d’utiliser le poids de l’opinion publique, généralement sur la base d’évaluations ignorant la nature spirituelle du moment que vit l’Eglise. On déplore donc qu’avant le conclave, où les Cardinaux exprimeront leur choix librement et devant Dieu, on diffuse des informations non vérifiées ou invérifiables, quand elles ne sont pas totalement fausses, au dam des personnes et de l’institution. Plus que jamais les catholiques se concentrent sur l’essentiel qui est de prier pour le Saint-Père et pour que l’Esprit Saint éclaire les Cardinaux, de prier pour le futur Pape. Ils sont conscients de ce que l’avenir de l’Eglise réside dans les mains de Dieu.

Décès du père Pierre-Marie Delfieux, fondateur des Fraternités Monastiques de Jérusalem

PM-2-©R-VidonneLe père Pierre-Marie Delfieux, fondateur des Fraternités de Jérusalem, retiré à Magdala, la maison des Fraternités de Jérusalem en Sologne, est décédé ce 21 février 2013. La messe d’A-Dieu, présidée par le Cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, sera célébrée le mercredi 27 février, à 10h00, en la cathédrale Notre-Dame de Paris. L’inhumation dans le cimetière de Magdala se fera dans l’intimité en présence de la communauté et de la famille. (source Portail des Fraternités de Jérusalem)

Voici la page officielle sur le portail internet des Fraternités Monastiques de Jérusalem:
http://jerusalem.cef.fr/frere-pierre-marie-delfieux

Vous y trouverez une biographie ainsi que des homélies.

Nous nous unissons en prière avec la famille du père Delfieux ainsi que les frères et sœurs de Jérusalem.

Importante contribution de Sel et Lumière au Vatican

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Greg Burke, conseiller en communication au Vatican, et le père Rosica discutant du prochain conclave, sur la terrasse de la Secrétairerie d’Etat au Vatican. Avec la basilique Saint-Pierre en  arrière-plan.

En ce moment unique dans la vie de l’Église, Sel et Lumière joue un rôle clé. Le père Thomas Rosica a été sollicité par le Vatican pour seconder le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, Federico Lombardi, sj,  en donnant des conférences de presse en anglais les prochaines semaines. Notre collègue Sébastien Gomes, du département anglophone, est également à Rome pour assister le père Rosica. Sel et Lumière prévoit une couverture massive, en français et en anglais, des prochains événements à Rome.

Benoît XVI parle « de la joie du Concile »

Ce jeudi, dans le cadre de sa rencontre avec les curés de Rome et le clergé résidant dans le diocèse, Benoît XVI a longuement évoqué le Concile Vatican II, confiant en particulier des souvenirs personnels d’expert. Voici de larges extraits de son intervention improvisée:

Nous jeunes experts, « nous nous sommes rendus avec joie au Concile, et même avec enthousiasme car cela ouvrait une perspective incroyable. Nous espérions que tout serait rénové, une nouvelle Pentecôte, une nouvelle ère de l’Eglise ». Malgré ses apparences de santé, « on sentait que l’Eglise n’avançait pas, qu’elle se repliait, qu’elle semblait plus une chose du passé qu’un instrument d’avenir. On espérait donc que le rapport au monde se renouvelle, qu’il change, que l’Eglise soit à nouveau une force pour le monde contemporain et celui à venir. Depuis le débit de l’époque moderne le rapport au monde de l’Eglise était ambigu, à commencer par l’affaire Galilée. On espérait…trouver un nouveau lien entre l’Eglise et le mieux des forces de la société, en vue d’offrir à l’humanité un progrès authentique ». On commença par faire connaissance les uns des autres, ce qui n’était pas acquis d’avance. « Ce fut déjà une expérience de l’universalité de l’Eglise et de ses réalités, d’une Eglise qui ne reçoit pas seulement des instructions d’en haut, mais avance de toute manière sous la conduite du Successeur de Pierre ». Les questions avancées par les pères conciliaires étaient la liturgie, la Parole, la Révélation et l’oecuménisme. « Rétrospectivement, j’estime qu’il était très positif de commencer par la liturgie, avec le primat de Dieu et de l’adoration ». Le Concile a parlé de Dieu, et ce sujet fut son premier soucis: « Ouvrir…le peuple des fidèles à l’adoration de Dieu dans la célébration communautaire de l’Eucharistie ». S’est alors posé la question de l’intelligibilité de la liturgie: « Plutôt que de rester close dans une langue oubliée et non parlée, elle devait activement vécue. Malheureusement ce point a été victime de malentendus ». Mais il y avait un second point relatif à l’Eglise: « On voulait dire et comprendre que l’Eglise n’est pas seulement une organisation, quelque chose de structurel, juridique, institutionnel, mais d’abord un organisme, une réalité vitale, qui entre dans mon âme, de sorte que moi-même, justement avec mon âme de croyant je suis un élément constructif de l’Eglise en tant que telle… L’Eglise n’est pas une structure; nous chrétiens, ensemble, sommes tous le Corps vivant de l’Eglise. Et, naturellement cela signifie que nous, le vrai nous des croyants, avec le moi du Christ constituons l’Eglise; chacun de nous, pas un nous, un groupe qui se déclare Eglise”. [Read more…]

Messe des Cendres (vidéo intégrale + texte de l’homélie)

Vénérés frères,

Chers frères et sœurs !

Aujourd’hui, Mercredi des Cendres, nous commençons un nouveau chemin de Carême, un chemin qui se déroule pendant quarante jours et qui nous conduit à la joie de la Pâque du Seigneur, à la victoire de la Vie sur la mort. Suivant l’antique tradition romaine des stations de Carême, nous nous sommes réunis aujourd’hui pour la Célébration de l’Eucharistie. Cette tradition prévoit que la première statio ait lieu dans la Basilique Sainte Sabine sur la colline de l’Aventin. Les circonstances ont suggéré de se rassembler dans la Basilique vaticane. Ce soir, nous sommes nombreux autour de la Tombe de l’apôtre Pierre, pour demander aussi son intercession pour la marche de l’Église en ce moment particulier, renouvelant notre foi dans le Pasteur Suprême, le Christ Seigneur. Pour moi, c’est une occasion propice pour vous remercier tous, spécialement les fidèles du Diocèse de Rome, tandis que je m’apprête à conclure mon ministère pétrinien, et pour demander un souvenir particulier dans la prière. [Read more…]

Audience Générale du mercredi 13 février 2013 (texte de la catéchèse en français)

Chers frères et sœurs,

Comme vous le savez, j’ai décidé – merci pour votre sympathie –, j’ai décidé de renoncer au ministère que le Seigneur m’a confié le 19 avril 2005. Je l’ai fait en pleine liberté pour le bien de l’Église, après avoir longuement prié et avoir examiné ma conscience devant Dieu, bien conscient de la gravité de cet acte, mais en même temps conscient de n’être plus en mesure d’accomplir le ministère pétrinien avec la force qu’il demande. La certitude que l’Église est du Christ me soutient et m’éclaire. Celui-ci ne cessera jamais de la guider et d’en prendre soin. Je vous remercie tous pour l’amour et la prière avec lesquels vous m’avez accompagné. Merci, j’ai senti presque physiquement au cours de ces jours qui ne sont pas faciles pour moi, la force de la prière que me donne l’amour de l’Église, votre prière. Continuez à prier pour moi, pour l’Église, pour le futur Pape. Le Seigneur nous guidera.


Chers frères et sœurs, nous commençons aujourd’hui le Carême, quarante jours de préparation à Pâques. Le nombre quarante revient plusieurs fois dans la Bible. Dans cette catéchèse, je voudrais m’arrêter sur les quarante jours que Jésus a passés au désert, tenté par le démon. Ses tentations invitent chacun de nous à répondre à cette demande fondamentale : qu’est-ce qui compte vraiment dans notre vie ? Sans une réponse à la faim de vérité et de Dieu, l’homme ne peut pas se sauver. Ce n’est pas le pouvoir mondain qui sauve le monde, mais le pouvoir de la croix, de l’humilité et de l’amour. Dieu est le Seigneur de toute chose. Il ne peut pas être instrumentalisé, utilisé pour nos propres intérêts, autrement nous nous substituons à lui. La société actuelle soumet le chrétien à plusieurs épreuves qui touchent sa vie personnelle et sociale. La tentation est toujours présente ; le sacré s’éclipse. Toutefois, la grâce de Dieu continue d’opérer des merveilles dans la vie de beaucoup de personnes qui se convertissent ou qui reviennent à Dieu. Se convertir, c’est faire de telle sorte que la vérité, la foi en Dieu et l’amour deviennent chaque jour la chose la plus importante pour nous.

* * *

Je salue avec joie les francophones, en particulier les nombreux lycéens présents ! En ce Carême, je vous invite à renouveler vos engagements pris pour votre conversion. Pour y arriver, ne vous laissez pas envahir par l’égoïsme, la recherche exclusive du succès personnel, l’illusion, l’apparence et les choses matérielles. Donnez plutôt la primauté à Dieu, confiez-vous à lui et regardez les réalités quotidiennes avec ses yeux. Saint temps de Carême !

Benoît XVI

Message de Benoît XVI pour le Carême 2013

ash_wednesday_610x300Croire dans la charité suscite la charité
« Nous avons reconnu et nous avons cru que l’amour de Dieu est parmi nous » (1 Jn 4, 16)

Chers frères et sœurs,

la célébration du Carême, dans le contexte de l’Année de la foi, nous offre une occasion précieuse pour méditer sur le rapport entre foi et charité: entre le fait de croire en Dieu, dans le Dieu de Jésus Christ, et l’amour qui est le fruit de l’action de l’Esprit Saint et qui nous guide sur un chemin de consécration à Dieu et aux autres.

1. La foi comme réponse à l’amour de Dieu.

Dans ma première encyclique, j’ai déjà offert certains éléments pour saisir le lien étroit entre ces deux vertus théologales, la foi et la charité. En partant de l’affirmation fondamentale de l’apôtre Jean: « Nous avons reconnu et nous avons cru que l’amour de Dieu est parmi nous » (1 Jn 4, 16), je rappelais qu’« à l’origine du fait d’être chrétien, il n’y a pas une décision éthique ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive… Comme Dieu nous a aimés le premier (cf. 1 Jn 4, 10), l’amour n’est plus seulement « un commandement », mais il est la réponse au don de l’amour par lequel Dieu vient à notre rencontre » (Deus caritas est, n. 1). La foi constitue l’adhésion personnelle – qui inclut toutes nos facultés – à la révélation de l’amour gratuit et « passionné » que Dieu a pour nous et qui se manifeste pleinement en Jésus Christ ; la rencontre avec Dieu Amour qui interpelle non seulement le cœur, mais également l’esprit: « La reconnaissance du Dieu vivant est une route vers l’amour, et le oui de notre volonté à la sienne unit intelligence, volonté et sentiment dans l’acte totalisant de l’amour. Ce processus demeure cependant constamment en mouvement: l’amour n’est jamais « achevé » ni complet » (ibid., n. 17). De là découle pour tous les chrétiens, et en particulier, pour les « personnes engagées dans les services de charité », la nécessité de la foi, de la « rencontre avec Dieu dans le Christ, qui suscite en eux l’amour et qui ouvre leur esprit à l’autre, en sorte que leur amour du prochain ne soit plus imposé pour ainsi dire de l’extérieur, mais qu’il soit une conséquence découlant de leur foi qui devient agissante dans l’amour » (ibid. n. 31a). Le chrétien est une personne conquise par l’amour du Christ et donc, mû par cette amour – « caritas Christi urget nos » (2 Co 5, 14) –, il est ouvert de façon concrète et profonde à l’amour pour le prochain (cf. ibid., n. 33). Cette attitude naît avant tout de la conscience d’être aimés, pardonnés, et même servis par le Seigneur, qui se penche pour laver les pieds des Apôtres et s’offre lui-même sur la croix pour attirer l’humanité dans l’amour de Dieu.
« La foi nous montre le Dieu qui a donné son Fils pour nous et suscite ainsi en nous la certitude victorieuse qu’est bien vraie l’affirmation: Dieu est Amour… La foi, qui prend conscience de l’amour de Dieu qui s’est révélé dans le cœur transpercé de Jésus sur la croix, suscite à son tour l’amour. Il est la lumière – en réalité l’unique – qui illumine sans cesse à nouveau un monde dans l’obscurité et qui nous donne le courage de vivre et d’agir » (ibid., n. 39). Tout cela nous fait comprendre que l’attitude principale qui distingue les chrétiens est précisément «  l’amour fondé sur la foi et modelé par elle » (ibid., n. 7). [Read more…]

Le pape Benoît XVI annonce sa démission

B16_GettyReuters

Grande surprise pour toute l’Église catholique. Le pape Benoit XVI a décidé de quitter ses fonctions comme successeur de saint Pierre et ce, à compter du 28 février prochain. Cette annonce a été faite ce matin lors d’un Consistoire ordinaire convoqué pour annoncer trois canonisations. Le pape estime que sa condition ne lui permet plus d’administrer son ministère. Voici l’intégralité de son annonce faite ce matin, en cette journée des malades et en la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Frères très chers,

Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais
également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Eglise. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les oeuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire.

Frères très chers, du fond du coeur je vous remercie pour tout l’amour et le travail avec lequel vous avez porté avec moi le poids de mon ministère et je demande pardon pour tous mes défauts. Maintenant, confions la Sainte Eglise de Dieu au soin de son Souverain Pasteur, Notre Seigneur Jésus-Christ, et implorons sa sainte Mère, Marie, afin qu’elle assiste de sa bonté maternelle les Pères Cardinaux dans l’élection du Souverain Pontife. Quant à moi, puissé-je servir de tout coeur, aussi dans l’avenir, la Sainte Eglise de Dieu par une vie consacrée à la prière.

Du Vatican, 10 février 2013

BENEDICTUS PP XVI


Crédit: Getty/Reuters

Vêpres en la fête de la Présentation du Seigneur

Samedi 2 février Fête de la Présentation du Seigneur
Journée mondiale de la vie consacrée

Le pape Benoit XVI présidera les Vêpres en présence des membres des communautés religieuses et des laïcs consacrés en la basilique St Pierre à Rome

Diffusion à 15h30

« Réseaux Sociaux: portes de vérité et de foi; nouveaux espaces pour l’évangélisation. »

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Comme le veut la tradition, c’est en la fête de St Francois de Sales, patron des journalistes, que le message de Benoit XVI pour la Journée mondiale des Communications sociales est publié par le Conseil pontifical pour les Communications Sociales.

Pour cette 47ème journée,  le Pape souligne les défis de l’utilisation des réseaux sociaux qui demandent un engagement. Ces moyens peuvent susciter le dialogue et le débat afin de faire connaitre le message de Jésus-Christ.

Cette journée est célébrée le jour de l’Ascension, qui sera le 12 mai 2013

Voici le message « Réseaux Sociaux: portes de vérité et de foi; nouveaux espaces pour l’évangélisation. » dans son intégralité:

Chers frères et sœurs,

A l’approche de la Journée mondiale des Communications sociales de 2013, je voudrais proposer quelques réflexions sur une réalité toujours plus importante concernant la manière dont les personnes communiquent entre elles aujourd’hui. Je voudrais examiner le développement des réseaux sociaux numériques qui contribuent à mettre en évidence une nouvelle « agora », un espace public ouvert où les personnes partagent des idées, des informations, des opinions, et où peuvent naître aussi de nouvelles relations et formes de communauté.

Ces espaces, quand ils sont bien valorisés et de manière équilibrée, contribuent à promouvoir des formes de dialogue et de débat qui, si elles sont effectuées avec respect, attention pour la vie privée, responsabilité et dévouement à la vérité, peuvent renforcer les liens d’unité entre les personnes et promouvoir efficacement l’harmonie de la famille humaine. L’échange d’informations peut devenir une réelle communication, les liens peuvent se développer en amitié, les connexions faciliter la communion. Si les réseaux sont appelés à réaliser ce grand potentiel, les personnes qui y participent doivent s’efforcer d’être authentiques, parce que dans ces espaces on ne partage pas seulement des idées et des informations mais en définitive on se communique soi-même.

Le développement des réseaux sociaux exige de l’engagement : les personnes participent à construire des relations et à trouver de l’amitié, dans la recherche de réponses à leurs questions, en se divertissant mais aussi en se stimulant intellectuellement et dans le souci du partage des compétences et des connaissances. En unissant les personnes en fonction de ces besoins fondamentaux, les réseaux font de plus en plus partie du tissu social même. Les réseaux sociaux sont donc alimentés par des aspirations enracinées dans le cœur humain. [Read more…]

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