Prier avec le pape François Réflexion – Avril 2025

Mes frères et sœurs : En ce mois d’avril, le pape François nous invite à prier pour l’utilisation des nouvelles technologies : Prions pour que l’utilisation des nouvelles technologies ne remplace pas les relations humaines, mais respecte la dignité des personnes et aide à affronter les crises de notre temps. 

Avec cette intention, nous sommes invités à considérer les technologies d’une manière plus globale : Les développements technologiques peuvent grandement améliorer nos vies, mais nous devons réfléchir à la manière dont ils aident ou entravent ce que nous sommes en tant qu’êtres humains.  

Prenons l’exemple de la messagerie instantanée. Pouvoir communiquer avec nos familles et nos amis à distance est une bonne chose, mais ce n’est pas le cas lorsque nous considérons les messages et les textos comme le signe d’une amitié profonde. 

Lorsque l’interaction humaine en personne fait défaut, des signaux sociaux essentiels sont perdus et nous commençons à nous comporter et à dire en ligne des choses que nous ne disons normalement pas en personne.   

Pire encore, nous commençons à remplacer les moyens humains de tisser des liens, tels que prendre quelqu’un dans ses bras, une épaule sur laquelle pleurer et la poignée de main, par des émojis sans vie. Nos interactions et nos relations se désincarnent, s’appauvrissent et deviennent moins humaines.   

D’autres outils d’intelligence artificielle peuvent regrouper et générer des informations d’une manière incroyable. Les tâches peuvent certainement être accomplies de manière plus efficaces, mais tout n’est pas qu’une tâche, et la productivité ne règne pas en maître. Nous avons souvent besoin de la créativité humaine et de l’indépendance d’esprit ; sans elles, nous nous transformons ironiquement en robots.  

Considérer notre utilisation des technologies de manière critique, c’est en être responsable. Ce qui fait de nous des êtres humains est important parce que Jésus-Christ s’est fait homme pour nous – le Verbe s’est fait chair – rachetant l’humanité et nous donnant une vie nouvelle.  

Adoptons les nouvelles technologies de manière responsable, afin de préserver et d’encourager ce qui fait de nous des êtres humains. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

Prier avec le pape François Réflexion – Mars 2025

Mes frères et sœurs : En ce mois de mars, le pape François nous invite à prier pour les familles en crise : Prions pour que les familles divisées puissent trouver dans le pardon la guérison de leurs blessures, en redécouvrant la richesse de l’autre, même au cœur des différences. 

La famille est le lieu privilégié où l’amour est nourri et appris dans la pratique ; c’est le lieu où la foi est transmise. Elle est notre fondement. Sans la force que nous donne la famille, nous sommes sans fondement, nous nous écroulons.   

Tout le monde souffre dans une famille divisée, et c’est pourquoi le pape François décrit la réalité des familles divisées comme une famille en crise. Il est vraiment regrettable que beaucoup d’entre nous viennent de familles divisées où les parents sont soit séparés, soit divorcés.   

Il peut y avoir de nombreuses raisons derrière la rupture, et je ne suis pas ici pour les justifier ou les vilipender. Ce qui est indéniable, c’est que la blessure et ses effets à long terme peuvent faire beaucoup de dégâts, et nous n’en sommes parfois conscients que bien plus tard.  

Si nous ne pouvons pas revenir en arrière et changer le passé douloureux, nous pouvons nous concentrer sur les blessures qui en résultent pour la personne dans le présent.  

Le Pape François suggère le « pardon » comme moyen de progresser. En effet, Jésus-Christ mentionne explicitement le pardon dans la prière qu’il nous a donnée. Lorsque nous demandons pardon au Seigneur et que nous recevons son pardon, sa miséricorde élargit et vivifie nos cœurs pour que nous puissions pardonner aux autres.  

Aussi, le pardon dépend de nous : C’est nous qui décidons de pardonner ou non à une autre personne ; cela ne dépend pas de facteurs externes incontrôlables. Enfin, le pardon est un processus : Apprenez à pardonner un peu plus, chaque jour, pour qu’il devienne de plus en plus complet au temps de Dieu. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

Prier avec le pape François Réflexion – Février 2025

Mes frères et sœurs : En ce mois de février, le Pape François nous invite à prier pour les vocations sacerdotales et religieuses. Prions pour que la communauté ecclésiale accueille les désirs et les doutes des jeunes qui ressentent l’appel à servir la mission du Christ dans la vie sacerdotale et religieuse. 

Prier pour les vocations sacerdotales et religieuses ne signifie pas que les autres types de vocations n’ont pas d’importance ; en fait, c’est précisément parce que tout le monde n’y est pas appelé que ceux qui ont choisi de discerner cet appel ont besoin de nos prières et de notre soutien.   

Le pape François nous rappelle qu’il faut accueillir les « désirs et les doutes » de ceux qui discernent. Il est normal et sain d’avoir des doutes lorsque nous discernons sincèrement à quelle vocation Dieu nous appelle ; il n’est pas nécessaire de les rejeter comme s’ils représentaient une menace pour la vocation.  

Au contraire, nous pouvons les utiliser comme un point d’entrée pour une conversation plus profonde, afin de voir quel type de peur et de manque de liberté peut se cacher sous ces doutes.   

Désirer aimer et servir le Seigneur à travers ces vocations est merveilleux ; souvent, ces désirs ont besoin d’être purifiés : Il se peut qu’au départ, nous voulions les bonnes choses pour les mauvaises raisons. Accueillons ces désirs, mais utilisons-les comme point de départ pour une purification ultérieure.    

Enfin, je vous invite à considérer à ceux de votre paroisse ; il peut même s’agir de membres de votre famille. Qui ferait de bons prêtres ou de bonnes religieuses ? Soyez audacieux et demandez-leur s’ils ont déjà envisagé de telles vocations. On nous pose des questions tout le temps ; pourquoi pas celle-ci ?  

Des recherches ont montré qu’il faut souvent au moins trois « demandes » de la part d’autres personnes pour que les jeunes envisagent une vocation sacerdotale ou religieuse. Plutôt que de simplement prier pour que cela se produise sans notre participation, nous avons un rôle concret à jouer. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

Prier avec le pape François Réflexion – Janvier 2025

Mes frères et sœurs : En ce mois de janvier, le pape François nous invite à prier pour le droit à l’éducation des migrants : Prions pour que le droit à l’éducation des migrants, des réfugiés et des personnes touchées par la guerre soit toujours respecté et garantisse ainsi la construction d’un monde meilleur. 

Les migrants, les réfugiés et les personnes touchées par la guerre sont porteurs d’un héritage culturel et historique dont ils sont fiers, mais aussi de blessures et de cicatrices douloureuses dues aux déplacements et à la violence. Ils ne sont pas seulement des chiffres sur une feuille de statistiques ; ils sont de vraies personnes avec de vraies histoires. 

Pour eux, rien de leur vie ne semble normal ; tout a été bouleversé, y compris des choses aussi élémentaires que de recevoir une éducation. C’est comme si leur monde s’était arrêté et que leur vie, leurs espoirs et leurs rêves avaient été mis en attente indéfiniment, voire détruits. 

Nous devons aller au-delà d’un sentiment de sympathie et nous contenter de déplorer qu’ils soient victimes des circonstances. Ce n’est pas parce qu’ils se trouvent au milieu d’une guerre qu’ils ne méritent pas d’être traités comme des êtres humains. 

Non seulement l’accès à l’éducation leur donne un sentiment de normalité, mais il leur confère un sentiment de dignité humaine. Tel est le fondement de l’enseignement de l’Église sur notre engagement social : Il doit commencer par la dignité donnée par Dieu à chaque personne humaine. 

Il ne s’agit pas seulement de les rendre dignes, mais de les aider à aller de l’avant dans le cadre du développement intégral de la personne humaine. En d’autres termes, leur éducation ne peut être médiocre ; elle doit être suffisamment substantielle pour les aider à contribuer à leur communauté et à la société. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui. 

Prier avec le pape François Réflexion – Décembre 2024

Mes frères et sœurs : En ce mois de décembre, le pape François nous invite à prier pour les pèlerins de l’espérance : Prions pour que le Jubilé qui s’ouvre nous renforce dans la foi, en nous aidant à reconnaître le Christ ressuscité au milieu de nos vies, et nous transforme en pèlerins de l’espérance chrétienne.

La première proclamation du Jubilé a eu lieu il y a plus de 700 ans. Normalement, un Jubilé a lieu tous les 25 ans ; le pape François a fait une exception la dernière fois et a déclaré un Jubilé en 2016, l’Année de la Miséricorde. Il a déclaré que l’année 2025 serait le Jubilé de l’espérance.

Notre espérance chrétienne va au-delà de la psychologie, en devenant simplement plus optimiste. En déclarant le Jubilé, le pape François nous rappelle que l’espérance chrétienne ne trompe ni ne déçoit, parce qu’elle est fondée sur la certitude que rien ni personne ne pourra jamais nous séparer de l’amour de Dieu.

Il est normal que les saisons de l’Avent et de Noël nous conduisent au Jubilé : Comme nous le rappelle l’Évangile de Jean, Jésus-Christ est la lumière qui brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée. Nous avons besoin de cette lumière dans notre monde qui continue d’être entaché par la violence et le péché ; nous avons besoin de l’amour de Dieu pour dissiper les ténèbres.

Lorsque nous choisissons d’espérer, les résultats souhaités échappent à notre contrôle ; c’est pourquoi la vertu de la patience est nécessaire. Le voyage pour rencontrer Jésus-Christ et pour que nos cœurs soient touchés et transformés par lui est un processus ; soyons patients, car Dieu est patient avec nous. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

Regardez ici, les vidéos précédentes de Prier avec le pape François.

Prier avec le pape François Réflexion – Novembre 2024

Mes frères et sœurs : En ce mois de novembre, le pape François nous invite à prier pour ceux qui ont perdu un enfant ; prions pour que tous les parents qui pleurent la mort d’un fils ou d’une fille trouvent un soutien au sein de la communauté et obtiennent de l’Esprit consolateur la paix du cœur.

Cette intention de prière peut toucher une corde sensible. En effet, la perte d’un enfant peut être trop douloureuse pour être évoquée, et que les autres ont trop peur d’en parler. Aucun mot de consolation ne semble suffisant à la mort d’un enfant.

Rappelez-vous le massacre des saints innocents par le roi Hérode, comme le décrit saint Matthieu :  « Un cri s’élève dans Rama, pleurs et longue plainte : c’est Rachel qui pleure ses enfants et ne veut pas être consolée, car ils ne sont plus. ».

Luttons contre la tentation de transformer le besoin de prière et de solidarité en un problème à résoudre. Il y a des moments où il n’y a rien à « faire », et où nous sommes simplement invités dans la situation inconfortable de souffrir avec ceux qui souffrent. Que faire alors ?

Commençons par écrire un petit mot aux parents pour leur exprimer notre peine et leur dire que nous prions activement pour le repos de leur enfant et pour leur consolation au milieu de leur chagrin. Nous pouvons les orienter discrètement vers des groupes de soutien pour les parents endeuillés lorsque le moment est venu.

Nous pouvons également offrir un chapelet à cette intention les mardis et vendredis de ce mois, lorsque nous contemplons les mystères douloureux. Notre Dame des Douleurs connaît bien notre douleur, puisqu’elle a pleuré la mort de son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ. Invoquons l’intercession de la Vierge Marie, notre Mère. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

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Prier avec le pape François Réflexion – Octobre 2024

Mes frères et sœurs: Dans ce mois d’octobre, le Pape François nous invite à prier pour une mission partagée, que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.

Comment comprendre l’intention de prière de ce mois-ci, pour une mission partagée dans l’Église dans l’esprit de la synodalité ? Nous pouvons commencer par ceci : En tant qu’Église, nous avons une mission partagée, qui consiste à partager la Bonne Nouvelle de notre Seigneur Jésus-Christ, c’est-à-dire à évangéliser nos voisins et, en fin de compte, le monde. 

Il ne s’agit pas d’une tâche exclusivement réservée à certains et pas à d’autres. Nous tombons souvent dans la tentation de penser que l’évangélisation est la tâche de ceux qui semblent être plus saints ou plus capables que moi ; ou nous pouvons penser que ma façon d’évangéliser est la meilleure, et que toutes les autres méthodes sont indignes de considération.

Comme l’écrit l’apôtre Saint Paul dans sa première lettre aux Corinthiens, nous sommes les différentes parties qui composent le même corps qu’est l’Église. 

L’esprit de la synodalité ne consiste pas à s’assurer que nous crions le plus fort pour obtenir ce que nous voulons ; il consiste plutôt à penser et à sentir avec l’Église parce que nous sommes un seul corps dans le Christ et que nous avons reçu la mission d’évangéliser le monde, une mission dont nous faisons tous partie intégrante, même si c’est de manière différente. 

Mes frères et sœurs : Souvenons-nous de cette mission commune d’évangélisation, jouons activement notre rôle et travaillons les uns avec les autres, afin que la puissance vivifiante de l’Évangile soit connue et expérimentée dans le monde entier. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

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Prier avec le pape François Réflexion – Septembre 2024

Mes frères et sœurs: Dans ce mois de septembre, le Pape François nous invite à prier pour que chacun d’entre nous écoute avec son cœur le cri de la Terre et les victimes des catastrophes environnementales et de la crise climatique, en s’engageant personnellement à prendre soin du monde qu’il habite.

Certains d’entre nous peuvent considérer les climats extrêmes comme des événements qui surviennent et disparaissent au cours de l’histoire de l’humanité. Mais la situation peut être très différente dans de nombreuses autres parties du monde, où les populations sont frappées par des climats extrêmes en vagues incessantes. 

Des gens voient leurs moyens de subsistance, leur logement et, en fin de compte, leur sécurité constamment menacés. Le cri de la Terre s’accompagne toujours du cri des pauvres. 

Ceux d’entre nous qui vivent dans les régions plus riches du monde peuvent se permettre de prendre des mesures pour atténuer les effets des climats extrêmes : nous pouvons acheter un climatiseur pour lutter contre une vague de chaleur, ou nous pouvons nous permettre de déménager dans un quartier moins sujet aux inondations locales ou aux glissements de terrain en cas de tempête majeure. 

Les pauvres n’ont pas les moyens de prendre ces mesures. En outre, nous devons nous méfier d’une mentalité fataliste et nous laisser paralyser par un sentiment de désespoir. Faire notre part et apporter notre contribution du mieux que nous pouvons est méritoire en soi. Écoutons donc le cri des pauvres dans le cri de la Terre et ne leur soyons pas indifférents. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

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Prier avec le pape François Réflexion – Août 2024

Mes frères et sœurs : Dans ce mois d’août, le Pape François nous invite à prier pour que les dirigeants politiques soient au service de leur peuple ; qu’ils œuvrent en faveur du développement humain intégral et du bien commun, tout en se souciant de ceux qui ont perdu leur emploi et en donnant la priorité aux plus pauvres.

La relation entre la religion et la politique peut être un sujet brûlant, mais le pape François a consacré un chapitre entier à la politique dans son encyclique Fratelli Tutti. Il parle de la nécessité d’une meilleure politique qui n’est pas une question de pouvoir ou de stratégies de marketing visant à rendre nos dirigeants politiques plus populaires. L’engagement politique doit plutôt découler de la charité. 

Le Pape François nous met au défi de réfléchir et d’approfondir les raisons pour lesquelles nous nous engageons dans la politique en premier lieu. L’engagement politique enraciné dans la charité cultive une véritable préoccupation pour la vie des autres de manière globale. Nous passons à côté de l’essentiel si nos politiques sont motivées par des idéologies ou des théories plutôt que par des êtres humains réels. 

Il s’agit de prioriser ce qui contribue à l’épanouissement de l’homme, le bien commun, plutôt qu’à la politique partisane. Pratiquer la politique de cette manière exige une conversion du cœur. Cela va certainement à l’encontre d’une grande partie de la culture politique qui nous est familière, mais l’Évangile est toujours contre-culturel. 

C’est pourquoi le pape François dit que la pratique de la politique peut même être considérée comme une chose noble. Prions donc pour nos dirigeants politiques, pour qu’ils continuent à convertir leurs cœurs. Que Dieu vous bénisse tous aujourd’hui.

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Prier avec le pape François Réflexion – Juillet 2024

Mes frères et sœurs : En ce mois de juillet, le Pape François nous demande de prier pour la pastorale des malades, pour que le sacrement de l’onction des malades donne aux personnes qui le reçoivent, ainsi qu’à leurs proches, la force du Seigneur, et qu’il soit de plus en plus pour tous un signe visible de compassion et d’espérance.

La pastorale des malades nous offre le temps et le lieu pour rencontrer les autres au moment où ils en ont le plus besoin, où ils se sentent le plus vulnérables. Le sacrement de l’onction est un moyen puissant de recevoir les grâces de Dieu en cette période critique. 

Le Pape François nous dit que ce sacrement confère « la force du Seigneur » aux malades et à leurs proches. L’onction d’huile nous rappelle que le pouvoir de guérison de Dieu n’est pas un jeu dans la tête ; sa consolation nous réconforte de manière tangible.

Cependant, les grâces de Dieu peuvent aussi nous aider dans une guérison intérieure, au niveau du cœur. Lorsque je commence à penser que Dieu n’est pas avec moi dans ma douleur et mon agonie, et que personne ne se soucie de moi, c’est le signe que j’ai besoin d’une guérison intérieure. 

Non seulement Jésus-Christ guérit, mais c’est par ses blessures sur la Croix que nous sommes guéris. La souffrance n’est pas dénuée de sens parce que Jésus l’a traversée et l’a rachetée ; nous ne sommes pas seuls dans notre souffrance parce que nous sommes unis à Jésus sur la Croix. Tout cela nous enseigne et nous permet de « bien souffrir », parce que nous imitons ainsi la vie du Christ. 

Mes frères et sœurs : Apprenons à ouvrir nos cœurs pour recevoir les grâces de Dieu, surtout lorsque nous sommes malades. Que Dieu vous bénisse aujourd’hui.

Regardez ici, les vidéos précédentes de Prier avec le pape François.

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