Messe chrismale en la basilique St Pierre de Rome

Homélie du Saint-Père durant la messe Chrismale, ce matin jeudi 21 avril en la basilique St Pierre de Rome
Le Pape a rappelé la signification des trois huiles saintes.
Chers frères et sœurs,
Au centre de la liturgie de ce matin, se trouve la bénédiction des huiles saintes – de l’huile pour l’onction des catéchumènes, de celle pour l’onction des malades et du chrême pour les grands Sacrements qui confèrent l’Esprit Saint : la Confirmation, l’Ordination sacerdotale et l’Ordination épiscopale. Dans les Sacrements, le Seigneur nous touche au moyen des éléments de la création. L’unité entre la création et la rédemption se rend visible. Les Sacrements sont l’expression de la corporéité de notre foi qui embrasse corps et âme, l’homme entier. Le pain et le vin sont fruits de la terre et du travail de l’homme. Le Seigneur les a choisis comme porteurs de sa présence. L’huile est le symbole de l’Esprit Saint et, en même temps, elle nous renvoie au Christ : la parole « Christ » (Messie) signifie « l’Oint ». L’humanité de Jésus, à travers l’unité du Fils et du Père, est insérée dans la communion avec l’Esprit Saint et ainsi, elle est « ointe » de manière unique, elle est pénétrée par l’Esprit Saint. Ce qui, dans les rois et dans les prêtres de l’Ancienne Alliance s’était produit de manière symbolique lors de l’onction avec l’huile, avec laquelle ils étaient institués dans leur ministère, se produit en Jésus dans toute sa réalité : son humanité est pénétrée par la force de l’Esprit Saint. Il ouvre notre humanité par le don de l’Esprit Saint. Plus nous sommes unis au Christ, plus nous sommes remplis de son Esprit, de l’Esprit Saint. Nous nous appelons « chrétiens » : « oints » – personnes qui appartiennent au Christ et pour cela participent à son onction, sont touchées par son Esprit. Je ne veux pas seulement m’appeler chrétien, mais je veux aussi l’être, a dit saint Ignace d’Antioche. Laissons justement ces huiles saintes, qui vont être consacrées maintenant, nous rappeler la tâche intrinsèque du mot « chrétien » et prions le Seigneur pour que, toujours plus, non seulement nous nous appelions chrétiens, mais nous le soyons aussi.
Au cours de la Liturgie de ce jour, comme nous l’avons déjà dit, trois huiles sont bénies. Dans cette triade s’expriment trois dimensions essentielles de l’existence chrétienne, sur lesquelles nous voulons réfléchir à présent. Il y a tout d’abord l’huile des catéchumènes. Cette huile indique en quelque sorte une première manière d’être touchés par le Christ et par son Esprit – un toucher intérieur par lequel le Seigneur attire les personnes à lui. Par cette première onction, qui est faite encore avant le Baptême, notre regard se tourne donc vers les personnes qui se mettent en chemin vers le Christ – vers celles qui sont à la recherche de la foi, à la recherche de Dieu. L’huile des catéchumènes nous dit : ce ne sont pas seulement les hommes qui cherchent Dieu. Dieu Lui-même s’est mis à notre recherche. Le fait que lui-même se soit fait homme et soit descendu dans les abîmes de l’existence humaine, jusque dans la nuit de la mort, nous montre combien Dieu aime l’homme, sa créature. Poussé par l’amour, Dieu s’est mis en marche vers nous. « Me cherchant, Tu t’es assis, fatigué… qu’un tel effort ne soit pas vain ! » prions-nous dans le Dies Irae. Dieu est à ma recherche. Est-ce que je veux le reconnaître ? Est-ce que je veux qu’il me connaisse, qu’il me trouve ? Dieu aime les hommes. Il va au devant de l’inquiétude de notre cœur, de l’inquiétude de nos questions et de nos recherches, avec l’inquiétude de son propre cœur, qui le pousse à accomplir l’acte extrême pour nous. L’inquiétude envers Dieu, – le fait d’être en chemin vers lui pour mieux le connaître, pour mieux l’aimer –, ne doit pas s’éteindre en nous. En ce sens, nous devrions toujours rester des catéchumènes. « Recherchez sans relâche sa face », dit un psaume (105, 4). Augustin a commenté à ce propos : Dieu est tellement grand qu’il dépasse infiniment toute notre connaissance et tout notre être. La connaissance de Dieu ne s’épuise jamais. Toute l’éternité, nous pouvons, avec une joie grandissante, continuer sans cesse à le chercher, pour le connaître toujours plus et l’aimer toujours plus. « Notre cœur est inquiet, tant qu’il ne repose en toi », a dit Augustin au début de ses Confessions. Oui, l’homme est inquiet, car tout ce qui est temporel est trop peu. Mais sommes-nous vraiment inquiets à son égard ? Ne nous sommes-nous pas résignés à son absence et ne cherchons-nous pas à nous suffire à nous-mêmes ? Ne permettons pas de telles réductions de notre être humain ! Restons continuellement en marche vers lui, ayant la nostalgie de lui, accueillant de manière toujours nouvelle connaissance et amour !
Ensuite, il y a l’huile pour l’Onction des malades. Nous avons devant nous la multitude des personnes qui souffrent : les affamés et les assoiffés, les victimes de la violence sur tous les continents, les malades avec toutes leurs douleurs, leurs espérances et leurs désespoirs, les persécutés et les opprimés, les personnes au cœur brisé. À propos du premier envoi des disciples par Jésus, saint Luc raconte : « Il les envoya proclamer le Royaume de Dieu et faire des guérisons » (9, 2). Guérir est une tâche primordiale confiée par Jésus à l’Eglise, suivant l’exemple donné par lui-même alors qu’il parcourait les routes du pays en guérissant. Certes, la tâche principale de l’Eglise est l’annonce du Royaume de Dieu. Mais justement cette annonce elle-même doit être un processus de guérison : «… guérir ceux qui ont le cœur brisé », a-t-il été dit aujourd’hui dans la première Lecture du prophète Isaïe (61, 1). L’annonce du Royaume de Dieu, de la bonté infinie de Dieu, doit susciter avant tout ceci : guérir le cœur blessé des hommes. L’homme, de par sa propre essence, est un être en relation. Toutefois, si la relation fondamentale, la relation avec Dieu, est perturbée, alors tout le reste aussi est perturbé. Si notre rapport à Dieu est perturbé, si l’orientation fondamentale de notre être est erronée, nous ne pouvons pas non plus vraiment guérir dans le corps et dans l’âme. Pour cela, la guérison première et fondamentale advient dans la rencontre avec le Christ qui nous réconcilie avec Dieu et guérit notre cœur brisé. Mais en plus de cette tâche centrale, la guérison concrète de la maladie et de la souffrance fait aussi partie de la mission essentielle de l’Eglise. L’huile pour l’Onction des malades est l’expression sacramentelle visible de cette mission. Depuis les débuts, l’appel à guérir a muri dans l’Eglise, ainsi que l’amour prévenant envers les personnes tourmentées dans le corps ou dans l’âme. C’est là une occasion de remercier pour une fois les sœurs et les frères qui dans le monde entier portent aux hommes un amour qui guérit, sans tenir compte de leur position ou de leur confession religieuse. Depuis Elisabeth de Thuringe, Vincent de Paul, Louise de Marillac, Camille de Lellis jusqu’à Mère Teresa – pour ne rappeler que quelques noms – le monde est traversé par un sillon lumineux de personnes, qui tire son origine de l’amour de Jésus pour les souffrants et les malades. C’est pourquoi nous remercions maintenant le Seigneur. C’est pourquoi, nous remercions tous ceux qui, en vertu de leur foi et de leur amour, se mettent aux côtés des souffrants, apportant ainsi, en fin de compte, un témoignage de la propre bonté de Dieu. L’huile pour l’Onction des malades est un signe de cette huile de la bonté du cœur, que ces personnes – avec leur compétence professionnelle – portent aux personnes qui souffrent. Sans parler du Christ, elles le manifestent.
En troisième lieu, il y a enfin la plus noble des huiles ecclésiales, le chrême, une mixture d’huile d’olive et de parfums végétaux. C’est l’huile de l’onction sacerdotale et de l’onction royale, onctions qui se rattachent aux grandes traditions d’onction dans l’Ancienne Alliance. Dans l’Eglise, cette huile sert surtout pour l’onction lors de la Confirmation et lors des Ordinations sacrées. La liturgie d’aujourd’hui associe à cette huile les paroles de promesse du prophète Isaïe : « Vous serez appelés ‘prêtres du Seigneur’, on vous nommera ‘ministres de notre Dieu’ » (61, 6). Le prophète reprend par là la grande parole de charge et de promesse, que Dieu avait adressée à Israël au Sinaï : « Je vous tiendrai pour un royaume de prêtres, une nation sainte » (Ex 19, 6). Dans le vaste monde et pour le vaste monde qui, en grande partie, ne connaissait pas Dieu, Israël devait être comme un sanctuaire de Dieu pour la totalité, il devait exercer une fonction sacerdotale pour le monde. Il devait conduire le monde vers Dieu, l’ouvrir à lui. Saint Pierre, dans sa grande catéchèse baptismale, a appliqué ce privilège et cette tâche d’Israël à l’entière communauté des baptisés, proclamant : « Mais vous, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis pour proclamer les louanges de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière, vous qui, jadis, n’étiez pas un peuple et qui êtes maintenant le Peuple de Dieu » (1 P 2, 9 s.). Le Baptême et la Confirmation constituent l’entrée dans ce peuple de Dieu, qui embrasse le monde entier ; l’onction du Baptême et de la Confirmation est une onction qui introduit dans ce ministère sacerdotal en faveur de l’humanité. Les chrétiens sont un peuple sacerdotal pour le monde. Les chrétiens devraient rendre visible au monde le Dieu vivant, en témoigner et conduire à Lui. Quand nous parlons de notre charge commune, en tant que baptisés, nous ne devons pas pour autant en tirer orgueil. C’est une question qui, à la fois, nous réjouit et nous préoccupe : sommes-nous vraiment le sanctuaire de Dieu dans le monde et pour le monde ? Ouvrons-nous aux hommes l’accès à Dieu ou plutôt ne le cachons-nous pas ? Ne sommes-nous pas, nous – peuple de Dieu –, devenus en grande partie un peuple de l’incrédulité et de l’éloignement de Dieu ? N’est-il pas vrai que l’Occident, les Pays centraux du christianisme sont fatigués de leur foi et, ennuyés de leur propre histoire et culture, ne veulent plus connaître la foi en Jésus Christ ? Nous avons raison de crier vers Dieu en cette heure : Ne permets-pas que nous devenions un non-peuple ! Fais que nous te reconnaissions de nouveau ! En effet, tu nous as oints de ton amour, tu as posé ton Esprit Saint sur nous. Fais que la force de ton Esprit devienne à nouveau efficace en nous, pour que nous témoignions avec joie de ton message !
Malgré toute la honte que nous éprouvons pour nos erreurs, nous ne devons pas oublier cependant qu’il existe aussi aujourd’hui des exemples lumineux de foi ; qu’il y a aussi aujourd’hui des personnes qui, par leur foi et leur amour, donnent espérance au monde. Quand le 1er mai prochain sera béatifié le Pape Jean Paul II, nous penserons à lui, pleins de gratitude,  comme à un grand témoin de Dieu et de Jésus Christ à notre époque, comme à un homme rempli d’Esprit Saint. Avec lui, nous pensons au grand nombre de ceux qu’il a béatifiés et canonisés et qui nous donnent la certitude que la promesse de Dieu et sa charge ne tombent pas aujourd’hui dans le vide.
Je m’adresse enfin à vous, chers confrères dans le ministère sacerdotal. Le Jeudi Saint est de façon particulière notre jour. A l’heure de la Dernière Cène, le Seigneur a institué le sacerdoce du Nouveau Testament. « Consacre-les dans la vérité » (Jn 17, 17) a-t-il prié le Père – pour les Apôtres et pour les prêtres de tous les temps. Avec beaucoup de gratitude pour notre vocation et avec humilité pour tous nos manquements, renouvelons maintenant notre « oui » à l’appel du Seigneur : Oui, je veux m’unir intimement au Seigneur Jésus – renonçant à moi-même… poussé par l’amour du Christ. Amen.

Célébrations du triduum pascal au Vatican

Messe chrismale retransmise de la basilique St Pierre présidée par le pape Benoît XVI
Jeudi 8h
Messe de la Cène

Jeudi Saint 15h30 (en direct 11h30 en anglais ; 20h en anglais)
Chemin de Croix
Une procession aux flambeaux, autour du Colisée de Rome, ponctuée par la méditation des stations du chemin de Croix Vendredi Saint à 17h (en direct 11h en anglais; 20h en anglais)
Vigile Pascale
Samedi Saint 20h (en direct 15h en anglais)
Messe de la résurrection du Christ suivie de la bénédiction Urbi et Orbi
Dimanche de Pâques 15h (10h en anglais)
Bonne fête de Pâques !

Homélie du pape Benoît XVI dimanche des Rameaux

La Semaine Sainte a débuté par la célébration des Rameaux avec la procession des Rameaux place St Pierre. Cette procession signifie que nous sommes en marche avec Jésus-Christ.

Le pape Benoît XVI dans son homélie a rappelé que le Christ nous invite à le suivre dans cette montée vers le Dieu Vivant.

Voici la totalité de son homélie

Homélie du pape Benoît XVI lors de la messe des Rameaux

Chers frères et sœurs,
Chers jeunes !
Chaque année, le dimanche des Rameaux, nous sommes à nouveau émus de gravir avec Jésus le mont vers le sanctuaire, et de l’accompagner tout au long de ce chemin vers le haut. En ce jour, sur toute la face de la terre et à travers tous les siècles, jeunes et personnes de tout âge l’acclament en criant : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »
Mais que faisons-nous vraiment lorsque nous nous insérons dans une telle procession – parmi la foule de ceux qui montaient avec Jésus à Jérusalem et l’acclamaient comme roi d’Israël ? Est-ce quelque chose de plus qu’une cérémonie, qu’une belle coutume ? Cela a-t-il quelque chose à voir avec la véritable réalité de notre vie, de notre monde ? Pour trouver la réponse, nous devons avant tout clarifier ce que Jésus lui-même a, en réalité, voulu et fait. Après la profession de foi, que Pierre avait faite à Césarée de Philippe, à l’extrême nord de la Terre Sainte, Jésus s’était mis en route, en pèlerin, vers Jérusalem pour les fêtes de la Pâque. Il est en chemin vers le Temple dans la Cité Sainte, vers ce lieu qui, pour Israël, garantissait de façon particulière la proximité de Dieu à l’égard de son peuple. Il est en chemin vers la fête commune de la Pâque, mémorial de la libération d’Égypte et signe de l’espérance dans la libération définitive. Il sait qu’une nouvelle Pâque l’attend et qu’il prendra lui-même la place des agneaux immolés, s’offrant lui-même sur la Croix. Il sait que, dans les dons mystérieux du pain et du vin, il se donnera pour toujours aux siens, il leur ouvrira la porte vers une nouvelle voie de libération, vers la communion avec le Dieu vivant. Il est en chemin vers la hauteur de la Croix, vers le moment de l’amour qui se donne. Le terme ultime de son pèlerinage est la hauteur de Dieu lui-même, à laquelle il veut élever l’être humain. [Read more…]

Messe des Rameaux et de la Passion retransmise de Rome

La messe des Rameaux et de la Passion présidée par le pape Benoît XVI sera retransmise avec la procession des Rameaux sur la place Saint Pierre

Dimanche 17 avril 15h (9h30 en anglais)

Aujourd’hui à Perspectives un nouveau venu !

Aujourd’hui à Perspectives un nouveau venu !

Cyprien Fusco présentera notre capsule quotidienne.

Étudiant en communications à Paris, il sera en stage parmi nous pendant quelques mois.

Sel + Lumière accueille donc son deuxième stagiaire tout aussi curieux et enthousiaste de découvrir l’Église au Canada au sein de notre équipe.

Dans la liberté, chercher la vérité: Chrétiens et Bouddhistes vivent en paix.

A l’occasion du Vesakh/Hanamatsuri. fête de la commémoration de la naissance, l’éveil et la mort de Siddhartha Gautama dit Bouddha, le président du Conseil pontifical pour le dialogue Interreligieux, le cardinal  Jean-Louis Tauran adresse ses vœux aux bouddhistes comme tous les ans.
Cette année,  son message s’intitule « Dans la liberté, chercher la vérité: Chrétiens et Bouddhistes vivent en paix. Et est centré sur la quête d’une paix authentique, dont la condition nécessaire est l’engagement à chercher la vérité:  je cite  « Cette tension humaine vers la vérité offre, à ceux qui suivent différentes religions, l’opportunité d’une rencontre en profondeur et de croître dans l’estime des dons de chacun. Il fait référence aussi au message du pape Benoit XVI du 1er janvier de la journée mondiale de la paix  ou le pape dit que « pour l’Église, le dialogue entre les fidèles des diverses religions représente un instrument important pour collaborer au bien commun avec toutes les communautés religieuses» Le message dans son intégralité se trouve sur notre blogue

A l’occasion du Vesakh/Hanamatsuri,  fête de la commémoration de la naissance, l’éveil et la mort de Siddhartha Gautama dit Bouddha, le président du Conseil pontifical pour le dialogue Interreligieux, le cardinal  Jean-Louis Tauran adresse ses vœux aux bouddhistes comme tous les ans. Cette année,  Il s’intitule Dans la liberté, chercher la vérité: Chrétiens et Bouddhistes vivent en paix.

Ce message est centré sur la quête d’une paix authentique, dont la condition nécessaire est l’engagement à chercher la vérité:    « Cette tension humaine vers la vérité offre, à ceux qui suivent différentes religions, l’opportunité d’une rencontre en profondeur et de croître dans l’estime des dons de chacun. « 

“Au Carrefour des générations et des cultures”

Ce soir 5e épisode de la série sur la vie consacrée au Canada Pour Toi, Seigneur “Au Carrefour des générations et des cultures”
Dans la plupart des communautés religieuses, les relations intergénérationnelles et interculturelles sont monnaie courante.
Découverte de six membres de trois différentes communautés qui nous en partagent les défis.
Lundi 20h
Mardi 13h
Dimanche 3 avril 17h30

Retransmission en direct de la cérémonie d’inauguration du ministère pastoral de Mgr Gérald Cyprien Lacroix

Ne manquez pas ce soir en DIRECT à 19h30 la cérémonie d’inauguration du ministère pastoral de Mgr Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec.

Mgr Gérald Cyprien Lacroix recevra le bâton pastoral des mains de son prédécesseur le cardinal Marc Ouellet.

Emission sur l’Église en Côte d’Ivoire ce soir mardi à 19h35

La Côte d’Ivoire vit une impasse au niveau de la situation politique depuis trois mois. Le président sortant ne reconnaissant pas le nouveau président élu.

Le pays est en train de basculer dans une guerre civile ; depuis quelques semaines le climat de violence a tellement augmenté que des habitants fuient leur pays quand ils le peuvent.

Eglises du Monde donne un éclairage sur cette situation dramatique et sur l’attitude de l’Église.

Samedi 19 mars, messe en la fête de Saint Joseph retransmise en direct de la crypte de l’Oratoire à 9h

samedi 19 mars Fête de St Joseph

La messe en direct de l’Oratoire Saint-Joseph sera retransmise exceptionnellement  à 9h au lieu de 8h30.

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