par Jasmin Lemieux-Lefebvre
Une rencontre internationale de scientifiques ayant pour sujet le suaire de Turin s’est déroulée cette fin de semaine à Columbus en Ohio. De nouveaux détails sur la datation erronée au carbone 14 de 1988 furent dévoilés par le laboratoire scientifique de Los Alamos. On aurait prélevé les échantillons analysés du linceul sur des parties en coton, provenant d’une réparation potentielle à l’époque médiévale. Comme la grande majeure partie du suaire est en lin, les sections en cotons corroboreraient l’hypothèse de la réparation entre le 13e et 14e siècle. Le test du carbone 14 aurait donc visé juste quant aux parties examinées, mais complètement manqué la cible quand au suaire…
Permettrons-nous à une nouvelle équipe de s’attaquer à cette pièce de tissu ? J’aime encore croire en l’empreinte divine, au fort témoignage de cette résurrection qui inspire encore aujourd’hui des chrétiens de part le monde.